Conflit étudiant - un pas vers l'indépendance

Conflit étudiant

Campagne contre le fédéralisme canadien



Les groupes étudiants, provenant de trois universités et de quatre cégeps, jugent que le fédéralisme « est un éléphant dans la pièce dont personne n’ose parler et qu’il a été presque entièrement éludé tout au long de la lutte étudiante ».

Des étudiants veulent ramener la question nationale à l’avant-plan



Heureux que la bataille contre Jean Charest soit gagnée, un regroupement d’étudiants indépendantistes s’attaque maintenant au fédéralisme canadien. Selon les sept groupes étudiants indépendantistes, issus de trois universités et de quatre cégeps et appuyés par le réseau Cap sur l’indépendance (RCI), il est temps d’élargir le combat étudiant au palier fédéral, puisque celui-ci détiendrait «une responsabilité cachée d...

Conflit étudiant

La diversité dans la rue



Il y a d’intéressantes leçons à tirer du conflit social actuel sur les rapports entre majorité et minorités. L’engagement des nouvelles générations issues des minorités démontre qu’elles ne s’intéressent pas qu’aux seuls enjeux de leurs communautés respectives. Plutôt, leur mobilisation contribue au renforcement de notre démocratie et illustre leur attachement profond au Québec.

Carré bleu sur fond rouge

La reconquête du Québec

Les étudiants ont sonné l’éveil ! C’est l’heure de la reconquête du Québec.


Lors des manifestations qui ne dérougissent pas, depuis l’annonce par le gouvernement Charest d’une hausse des droits de scolarité, il est frappant de constater que la majorité des participants parlent français, portent un drapeau du Québec ou celui des Patriotes. Bien plus qu’une contestation étudiante, les Québécois revendiquent leur différence. Les études coûtent plus cher au Canada ? Et alors, qu’est-ce que ça peut...

Sous le bruit des casseroles la voix de l'indépendance



La colère qui s'exprime chaque soir depuis des semaines dans les rues de Montréal s'expose maintenant au grand jour, amplifiée par un déficit démocratique patent. Partout dans nos pays, les citoyens constatent l'impuissance des Parlements et des gouvernements vis-à-vis de la dictature des marchés financiers et subissent, avec plus ou moins de fatalisme, les crises à répétition provoquées par les dérives du capital...

Conflit étudiant

Du carré rouge au drapeau du Québec

En admirant cette jeunesse qui découvre et qui se révolte (...), en même temps je me dis que, avec ce clivage historique gauche-droite, les débats et les référendums vont se durcir au Québec, dangereusement.


Jacques Parizeau est impressionné par la grève étudiante : « 200 000 jeunes qui manifestent dans les rues sans un seul drapeau canadien, c’est du jamais vu ! », dit-il. Ce qui se passe, en fait, c’est que le Canada, pour notre jeunesse d’aujourd’hui, n’est plus le pays haï qu’il était pour la génération séparatiste des Parizeau, un pays qui nous jetait dans le désarroi en clamant qu’il nous aimait, il est devenu ...

La moins pire des solutions?



Selon les sondages, le Parti québécois ne profite pas vraiment du mécontentement et du haut taux d'insatisfaction à l'égard du régime Charest. Il manque, de toute évidence, un vrai ou une vraie leader, ce que Pauline Marois malheureusement n'est pas. S'il avait joui d'un leadership énergique, le Parti québécois se serait retrouvé largement en tête dans les intentions de vote, ce qui n'est pas le cas actuellement.

Le mouvement indépendantiste et la crise

La propagande néolibérale a fait son œuvre dans la population qui a déjà accepté sa thèse économique frauduleuse, soit que l’État ne peut plus payer les mêmes services publics et que chacun doit faire sa part individuellement.


J’ai fait des études universitaires dans les années soixante, les frais de scolarité étaient beaucoup plus élevés que maintenant et j’ai complété ma maîtrise avec des dettes importantes. Je n’ai absolument pas envie de dire aux jeunes qu’ils devraient faire comme moi et payer le gros prix pour leurs études ou qu’il y avait quelque chose de bon dans ce système qui forçait la responsabilisation. J’ai encore des pages de ...

Mouvement étudiant et l'indépendance

L'obligation politique de profiter du «kairos» actuel

Les indépendantistes du Québec sauront-ils mettre de côté leurs chicanes et faire preuve d’imagination et de courage


Conflit étudiant

Nous sommes arrivés à ce qui commence



Nous revoilà dressés les uns contre les autres, en grand danger de tout perdre pour sauver ce qui va mourir. Ces heures inquiétantes, il faut les vivre, car dans le face-à-face de deux Québec se dévoile, un moment, ce qui nous unit envers et contre tout et qui est immortelle : la liberté.

Crise sociale au Québec

Le Québec a repris sa marche vers l’indépendance

Les pillards vont s’accrocher le plus longtemps possible


l’Opposition officielle (doit lancer) un avertissement public à toutes les parties faisant affaires avec le Gouvernement du Québec que toutes les ententes conclues d’ici aux prochaines élections générales feront systématiquement l’objet d’une vérification de conformité aux intérêts supérieurs du Québec et au bien commun advenant son élection, et que toute entente ne répondant pas à ces critères sera annulée sans compensation.

L’opposition divisée sur le maintien de la ligne dure

La chef du Parti québécois, Pauline Marois, juge que la ligne dure et les interventions policières ne régleront aucunement la crise engendrée par la grève étudiante.


Le député de Mercier, Amir Khadir de Québec solidaire, réclame aussi un moratoire, mais il tient à son carré rouge et ne veut pas porter le blanc. QS propose l’imposition d’une taxe de 0,8 % sur le capital des sociétés financières qui permettrait à terme d’assurer la gratuité scolaire.

Le PQ : complice des “injoncteurs” … et d’un coup de force gouvernemental ?

Ce qui apparaît comme un manque de jugement conjugué à un étonnant manque d’information sur la crise étudiante, est extrêmement décevant


Ce mardi 15 mai, le Parti québécois a déposé une motion, qui a été adoptée par l'Assemblée nationale du Québec, et qui est ainsi libellée (dans un français douteux…): «Conformément aux principes de la séparation des pouvoirs, que l'Assemblée nationale exprime [sic] que dans une société de droit, les injonctions doivent être respectées». Cet exercice de vertu n’en est pas un, si l’on consid...