Corruption politique

Une priorité : l'amiante chrysotile !

À force d’ausculter les choix des libéraux, que ce soit en matière d’environnement ou d’éducation, il est de plus en plus aisé de brosser un portrait de leurs intérêts, qui ne sont certainement pas du côté des Québécois…


« Heureux celui qui joint la santé à l’intelligence. » Ménandre Alors que les libéraux font fi de la crise sociale et du cas de la langue française au Québec, qui risque de s’égrener si rien n’est fait pour la préserver, ils accordent un prêt de 58 millions à Mine Jeffrey afin de relancer l’amiante. Ainsi donne-t-il son appui à cette industrie controversée en assurant son renouveau à Asbestos, dans les Canton-de-l’E...

La NÉBULEUSE



La NÉBULEUSE

Moins de béton, plus de démocratie

Quand la corruption gangrène l’espace vital de notre citoyenneté


La Commission Charbonneau – enquêtant sur l’octroi et la gestion des contrats publics dans l’industrie de la construction – prendra des vacances pendant une saison estivale qui s’annonce caniculaire. Et, la chaleur risque de monter sur tous les fronts politiques d’ici septembre prochain. Le patronage La nation québécoise se réveille brutalement...

"Aider les amis": on a compris! Vous savez, l'Italie, c'est un beau pays!

Les politiciens « ont peur de leur ombre »

Donato Tomassi ne croit pas que Line Beauchamp ignorait l’identité du présumé mafieux ayant participé à son activité de financement


Le vrai danger, ce sera à l’élection générale », prédit celui qui reste malgré tout libéral.

l’illusion de la démocratie électorale bourgeoise

Une autre commission d'enquête pour préparer les élections

Quand une telle commission d’enquête (Commission Charbonneau) est instituée c’est le signal que la grande bourgeoisie s’apprête à donner congé à l’un de ses partis de pouvoir, pour le retourner momentanément dans l’opposition, et appeler l’autre parti d’alternance à la barre de gouvernance.


Chers électeurs et chères électrices bientôt vous aurez le choix entre trois partis bourgeois au service des riches et aux programmes identiques, ou encore, entre trois partis politiques souverainistes sans solutions à vos problèmes économiques et ne risquant nullement de former le prochain gouvernement. C’est cela l’illusion de la démocratie électorale bourgeoise.

Point chaud

Collusion: «rien n'a changé», dit Taillibert

M. Taillibert pointe en effet en direction de certains dirigeants du PLQ, dont un ami proche du premier ministre Jean Charest.


Les bureaux de génie sont les «pourvoyeurs de fonds de la politique», estime l’architecte Roger Taillibert, ici photographié dan...

Le Québec mérite mieux que Jean Charest!

le Plan Nord et le PLQ représentent une manne pour les acteurs de la collusion


Le climat de corruption dans l'octroi des contrats gouvernementaux entache la réputation et la crédibilité du Québec à l'échelle nationale et internationale.

Jacques Parizeau à Bazzo.tv

Le temps de changer de gouvernement

Quand les Québécois commencent à se percevoir comme des incapables, il est grand temps pour eux de se débarrasser de leur gouvernement.


Quand les Québécois commencent à se percevoir comme des incapables, il est grand temps pour eux de se débarrasser de leur gouvernement.

JJC ne pourra s'en tirer que par le mensonge, l'évitement, l'esquive - il a perdu toute crédibilité!

L'Unité anti-corruption ne peut enquêter sur Montréal, dit le PQ



Enquêtes à Montréal - À qui se fier?



Cette semaine, le ministre de la Sécurité publique Robert Dutil a fait part de son «inquiétude profonde» face à «ce qui se passe à la Ville de Montréal». L'inquiétude profonde, les Québécois connaissent, sauf que la leur s'étend à l'ensemble du Québec, et qu'elle a cours depuis deux ans. L'histoire que rapporte notre collègue Kathleen Lévesque aujourd'hui ne les indignera que davantage. Non seulement la Ville d...

Un zèle suspect

Si le gouvernement Charest croyait se refaire une crédibilité en dépêchant l'Uni­té permanente anticorruption (UPAC) à Mont­réal, c'est raté.


Il n'importe pas seulement de restaurer la confiance des Montréalais à l'égard de leur administration, mais aussi de restaurer la confiance de tous les Québécois à l'égard de leurs institutions.

BCIA: le Mouvement Desjardins porte plainte à la SQ

BCIA a obtenu 12,5 millions de dollars du Mouvement Desjardins dans les deux ans qui ont précédé sa faillite.


Desjardins, Investissement Québec et les Fiers ont perdu environ 15 millions dans cette affaire. La Presse a révélé que ces organismes ont investi dans BCIA sur la base d'états financiers non vérifiés en bonne et due forme par une firme comptable.

L'enquêteur «enquêté»

Les locaux des deux corps de police les plus importants du Québec sont surveillés par une entreprise qui n'est pas au-dessus de tout soupçon. Renversant.


C'est du joli. Le quartier général de la Sûreté du Québec est surveillé par une firme de sécurité privée, Sécur-Action, que la police de Montréal a décidé de mettre à la porte. Sécur-Action surveille non seulement les locaux de la SQ, mais aussi ceux de la police de Montréal. Du moins jusqu'au 30 septembre, jour où Sécur-Action ne fera plus affaire avec la Ville. Les locaux des deux corps de police les plus ...

La SQ a-t-elle un problème de sécurité?

La Sûreté du Québec est dans une situation délicate: son quartier général est surveillé par une agence de sécurité que la police de Montréal a décidé de chasser après une enquête, a appris La Presse.


PLQ - on dirait un repère de crapules en tout genre

Le PLQ écarte un membre de son comité de direction



Aucune accusation n'a été portée contre M. Yun ou des dirigeants de KL dans cette affaire. La Presse a donné plusieurs jours à M. Yun pour s'expliquer mais, au moment de mettre sous presse, la réplique n'était toujours pas venue.

TOUS POURRIS, sauf Charest qui est propre, le PLQ qui est propre, la mafia qui est propre...

La soue nationale

De salaire et de Slinky

Exploiter la maladie d'un élu, sabrer la rémunération d'un autre: telle est la politique au Québec ces temps-ci. Tout est permis. L'Assemblée nationale est devenue étable. La soue nationale.


Reprocher à M. Charest d’avoir gardé secrète cette rémunération était certainement légitime. De même, s’interroger sur le bien-fondé d’une telle pratique. Mais forcer un politicien à se priver d’une part substantielle de son salaire relève de la mesquinerie.

«Pas si facile» de rencontrer le ministre Dupuis



L'homme d'affaires Luigi Coretti est-il un membre privilégié de la «clientèle» du ministre Jacques Dupuis? C'est ce que croient le syndicat des policiers de la Sûreté du Québec (SQ) et les procureurs de la Couronne.

SCANDALES POLITIQUES

Les « amis » de Jean Charest

Le temps ne joue plus pour Jean Charest, mais bien contre lui


Les révélations de La Presse aujourd’hui sur les ramifications de l’affaire Tomassi-BCIA-Coretti ont de quoi faire dresser les cheveux sur la tête. En effet, on apprend entre autres que ce M. Coretti rencontrait régulièrement au restaurant le chef démissionnaire de la police de Montréal, Yvan Delorme ! Le même qui trouvait normal que son adjoint exploite une entreprise de construction ! On comprend mieux maintenant le ...

Just what, if anything, were these Liberals thinking?



The daily drip, drip, drip of questionable behaviour is eating away at the Liberal government's credibility. You can't govern the province decisively and effectively when you're spending half your time, or more, trying to patch up holes in your image. There have been two new mis-steps (so far) this week alone. One involves Public Security Minister Jacques Dupuis, who met with a businessman who wanted...

D'un permis à l'autre



(Québec) Lorsque la crédibilité d'un gouvernement frôle le zéro, il arrive ce qu'a vécu mardi le ministre de la Sécurité publique, Jacques Dupuis. Quoi qu'il dise ou qu'il apporte comme preuve, personne ne croit et ne retient sa version des faits. Qu'il conserve la confiance du premier ministre n'y change rien. Bien au contraire. Les deux hommes ne réussissent qu'à entretenir la spirale d'allégations de favoriti...

ben voyons...

Le cabinet de Dupuis est intervenu plusieurs fois auprès de la SQ



Le citoyen Coretti se disait «mal traité» par la SQ dans sa demande de permis de port d'arme. M. Dupuis estime qu'il est normal qu'un politicien entende ce genre de doléances.

Coretti: Dupuis assure ne pas avoir exercé de pression «indue»



Devant les journalistes, M. Dupuis a soutenu avoir fait son devoir en acceptant de rencontrer le patron de l'agence de sécurité controversée BCIA, qui se plaignait du refus de la SQ de lui émettre un permis de port d'arme à feu.

Jacques Dupuis contredit : les aléas du financement



Denis Lessard, dans La Presse, démontre que Jocelyn Turcotte, chef de cabinet de Jacques Dupuis, a bel et bien appelé à la SQ à propos du dossier du permis de port d’arme de Luigi Coretti, grand patron de l’agence de sécurité BCIA.