A Middle East Regime Needing Change
If the Middle East is to be spared another disastrous explosion of violence, one might argue, the one regime that urgently needs changing is that of Ehud Olmert and Ehud Barak, says Patrick Seale.
If the Middle East is to be spared another disastrous explosion of violence, one might argue, the one regime that urgently needs changing is that of Ehud Olmert and Ehud Barak, says Patrick Seale.
En revanche, l'extension de Guivat Zeev n'amuse pas du tout la communauté internationale qui a unanimement dénoncé la décision israélienne de poursuivre la colonisation tout en négociant un accord de paix avec l'Autorité palestinienne. «La sécurité d'Israël dépend du gel de la construction dans les territoires», a par exemple dit Nicolas Sarkozy lors de la visite de Shimon Pérès en France.
Ces fanatiques qui menacent la civilisation
Le Mercaz HaRav : un centre d’entraînement à l’occupation illégale, aux assassinats et au principe : « Les Arabes, direction les chambres à gaz ! »
par Mick Napier * Site ouèbe de la Scottish Palestine Solidarity Campaign (Ecosse – Grande-Bretagne) traduit de l’anglais par Marcel Charbonnier Un (jeune) Palestinien (Hisham Abu Dhei...
LE SOLEIL - RÉPLIQUE
Ainsi, la politique d'endiguement que Washington tente de mettre en place rencontre certes, encore, des difficultés avec la multitude d'acteurs internationaux, bien que l'ensemble des pays, que j'ai cités dans mon premier article, ne peuvent qu'acquiescer à une Realpolitik que les circonstances imposeront dans un scénario de guerre régionale, car il y va en premier de leur survie !
Des répliques aux idées défendues par Alain-Michel Ayache
Si on voulait analyser et non pas receler des mensonges officieux, il serait plus exact de dire que la véritable provocation, c'est la présence de la marine américaine dans le golfe Persique; l'occupation illégale de l'Irak et de l'Afghanistan, la déstabilisation du Pakistan et la complicité explicite dans l'humiliation et la destruction de la Palestine. Il serait plus juste d'affirmer que le véritable danger pour le monde, c'est le président américain et le régime qu'il dirige.
Dans un [article publié cette semaine dans Le Devoir, Alain-Michel Ayache tente de démontrer->11177], en reprenant des arguments directement sortis du lexique néoconservateur de l'administration Bush, que l'Iran représente une menace à la sécurité internationale. Il est important de remettre en perspective certains arguments avancés par l'auteur. Premièrement, en ce qui concerne les manoeuvres iraniennes dan...
De simplement répéter la vision Bush de la situation au Proche-Orient ne la rend pas plus compréhensible.
Photothèque Le Soleil Dans une [analyse parue le 15 janvier sur ce site, Alain-Michel Ayache->11177] a tenté de démontrer pourquoi «L'Iran représente un véritable danger» pour le monde. Mais cette analyse consistait en réalité à répéter que l'Iran est un danger parce que les Américains le disent, et repose sur trois points plus que discutables : Premièrement, M. Ayache jette la seule responsabilité p...
Décrire la "dynamique conflictuelle du Proche et Moyen-Orient" sans même faire allusion au "danger sioniste", c'est étonnant. Plus étonnant encore, le faire sans être sur le "payroll des services secrets américains"... Ça ne saurait tarder...
A priori, quelqu'un qui pose cette question est souvent accusé d'anti-iranisme primaire, mais surtout d'être sur le payroll des services secrets américains! Or, il est tout à fait légitime de parler de danger émanant de Téhéran et qui pourrait même être imminent et pour cause! Premièrement, nul n'ignore que la dynamique actuelle au Proche et Moyen-Orient est non seulement conflictuelle, mais surtout explosiv...
(Photo Reuters) Laurent Lozano - Agence France-Presse - Abou Dhabi, É.A.U. - Le président américain George W. Bush a affirmé l'engagement des États-Unis à assurer la sécurité dans le Golfe face à l'Iran, dénoncé comme une «menace» pour le monde, et s'est adressé directement aux Iraniens pour leur dire qu'ils avaient droit à la démocratie. Dans une allocution à Abou Dhabi présentée comme ...
LE SOLEIL - ANALYSE
Il est évident que la vente d'armes pour les pays producteurs s'insère dans la politique industrielle et économique et constitue un pôle d'investissement créateurs de richesses. (Photothèque Le Soleil) Deux événements majeurs ont marqué dernièrement l'actualité politico-stratégique au Proche-Orient en matière de la course à l'armement. D'une part, l'administration Bush a dévoilé, le 30 juillet dernier, un...
il a créé un nouveau mot - truthiness - qui décrit assez bien les années sous la présidence de George W. Bush.
Le 16 octobre, Stephen Colbert, animateur de l'émission de télévision satirique The Colbert Report, a fait un Coluche de lui-même: âgé de 43 ans, l'humoriste a annoncé sa candidature à la présidence de son pays.
Voyage de Vladimir Poutine en Iran, voyage d'Ehud Olmert à Moscou, déclarations de George W. Bush et de Mahmoud Ahmadinejad, rencontre entre Angela Merkel et Vladimir Poutine: la question du nucléaire iranien est au centre de l'activité diplomatique des six chefs d'Etat se préoccupant du dossier à l'ONU (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité -- France, Russie, Chine, Etats-Unis, Grande-Bretagne -- plu...
- Quand la télévision d'État iranienne défend les Juifs - Le Figaro 1 novembre - La guerre arrive et les préparatifs doivent commencer, Al-Quds Al-Arabi 22 octobre - La troisième guerre mondiale de Bush, Michel Chossudovsky - Mondialisation 23 octobre - Le mur de fer - www.lautjournal.info 24 octobre - Jean Chrétien et l’Irak - Zylag 24 octobre
Nucléaire iranien
Le président américain George W. Bush, en désaccord patent avec son collègue russe Vladimir Poutine, s'est dit convaincu mercredi des ambitions nucléaires militaires de l'Iran, une perspective synonyme selon lui de Troisième Guerre mondiale potentielle.
Ahmadinejad at Columbia University
Global Research brings to the attention of our readers a selection of photos from "the large anti-Iran protest movement" at Columbia University during the talk of the Iranian President, Mahmoud Ahmadinejad. The US media provided an utterly distorted picture of this protest movement.
Les deux discours du président iranien Mahmoud Ahmadinejad cette semaine à New York, le premier à l'Université de Columbia, le second devant l'Assemblée générale des Nations unies, ont déchaîné le torrent habituel d'indignations dans les médias occidentaux. C'est un homme curieusement naïf, et sa façon de nier à moitié l'Holocauste est tout aussi étrange que sa négation de l'existence d'homosexuels en Iran. Toutefoi...
It's this matter of who gets to laugh at whom, who gets to classify whom as joke or toxin, that may have led to those panicky overreactions during the Ahmadinejad visit. It's about who defines reality, a conflict far more important than some fictitious war of civilizations.
Nicolas Sarkozy, George W. Bush et Mahmoud Ahmadinejad à l'Assemblée générale des Nations Unies.
C'est l'occasion pour le nouveau président français amateur de sunlights de satisfaire ses vices, c'est-à-dire se placer devant les caméras du monde entier, cotoyer les puissants de ce monde et faire parler de lui. Ce d'autant plus que la rencontre se déroule en pleine crise internationale sur le nucléaire iranien et que, après ses déclarations va-t-en-guerre -- la bombe iranienne ou le bombardement de l'Iran -- c'est sa modeste personne elle-même qui présidera mardi matin une séance spéciale du Conseil de sécurité consacrée à "l'Afrique face aux défis de la paix et de la sécurité internationale", en présence de George W. Bush et du secrétaire général de l'ONU Ban Ki Moon.
Une étude de quatre-vingt pages publiée le 28 août dernier par deux analystes en matière de sécurité britanniques fait une estimation à glacer le sang de la violence destructrice que les Etats-Unis emploieraient lors d’une attaque contre l’Iran. « Les Etats-Unis ont fait des préparatifs dans le but de détruire les armes de destruction massive de l’Iran, son énergie nucléaire, son régime, ses forces armées, son app...
L'Iran veut-il vraiment conquérir la bombe atomique? Les États-Unis et leur nouveau proche allié, la France de Nicolas Sarkozy, pourraient-ils aller jusqu'à «la guerre, monsieur!» pour tenter de prévenir cette éventualité, évoquée en ces mots par le controversé Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères de la France? Ces questions se posent sérieusement, alors que, de part et d'autre, on semble jouer l'...
LE SOLEIL - ANALYSE
Rafinerie située à Basra, au sud de Bagdad (Photothèque Le Soleil) On ne peut pas dire que le ministre australien de la Défense, Brendan Nelson, ait inventé la poudre. On n'a donc pas vraiment été surpris quand il a lâché, au mois de juillet, que le véritable motif de l'invasion de l'Irak était le pétrole : «Évidemment, le Moyen-Orient, et pas seulement l'Irak, mais la région tout entière, est un impo...
Quand deux chefs d'État se rapprochent et éprouvent de la chaleur l'un pour l'autre, la tradition et le cynisme en politique étrangère invitent l'observateur à regarder au-delà des personnalités pour chercher des causes plus systémiques, plus structurelles car, dit-on, les États ou ceux qui les représentent n'ont pas des amis mais des intérêts. Et les intérêts sont souvent conçus en termes de puissance. Au re...
Dans Le Devoir du 17 août, on fait état d'un crédit de 30 milliards alloués à Israël par les États-Unis pour l'achat d'armes. Le sous-secrétaire d'État du gouvernement états-unien, M. Nicholas Burns, a expliqué à cette occasion qu'il s'agissait d'un «investissement dans la paix»! Je me suis demandé comment un haut responsable politique pouvait exprimer pareille ineptie sur la place publique comme s'il s'agiss...
Peter Beinart, expert de politique étrangère du Council on Foreign Relations, un centre de réflexion indépendant basé à Washington, analyse les doutes de la superpuissance.
-- Pourquoi cette montée de l'antiaméricanisme? L'antiaméricanisme a toujours existé, mais il s'est accentué après l'invasion de l'Irak en 2003 et il est resté à peu près au même niveau depuis. -- Est-il plus fort que pendant la guerre du Vietnam? Il était très fort en Europe et en Amérique latine pendant la guerre du Vietnam, mais assez insignifiant au Moyen-Orient à la même époque. Jamais l'antiaméricani...
L'image des États-Unis a perdu du lustre auprès de la majeure partie des pays du monde
Les conséquences du fiasco de l'invasion de l'Irak, en 2003, font aujourd'hui douter l'Amérique. (Photo: Agence Reuters) Les sportifs américains sont rentrés très secoués du Brésil, où ils participaient le mois dernier aux Jeux panaméricains, notait gravement la semaine dernière le Chicago Tribune. Ils ont essuyé des huées lors de la cérémonie d'ouverture, des «USA, allez en enfer» durant un match de volley-ball...
LE SOLEIL - ANALYSE
Il est impossible de savoir si les États-Unis attaqueront l'Iran avant que le président Bush ne quitte le gouvernement dans 17 mois. Même à la Maison Blanche, personne n'en sait encore rien. On peut néanmoins prédire aisément ce qu'il se passerait si les États-Unis attaquaient l'Iran. Et tout laisse penser que les faucons de la Maison Blanche sont en train de gagner cette bataille. Le signe le plus alarman...
Comme Ciamak Moresadegh, dirigeant juif iranien, le fait observer : « Si vous pensez que le judaïsme et le sionisme ne font qu’un, c’est comme si vous pensiez que l’Islam et les Talibans c’est la même chose, et ce n’est pas la même chose. ». Les dirigeants de l’Iran dénoncent le sionisme qu’ils accusent de discrimination aggravée contre les Palestiniens, mais ils ont également déclaré à plusieurs reprises qu’ils n’avaient aucun problème avec les Juifs, le judaïsme ni même avec l’Etat d’Israël.