Le Devoir publie aujourd'hui deux éditoriaux, "Trois fois dommage" et "Ignorance collective", sans oser faire les liens qui s'imposent, sans oser conclure que le gouvernement libéral de JJC pratique une politique culturelle destructrice dont l'objectif est d'anéantir la conscience nationale des Québécois. Il y a 50 ans, les choses se passaient autrement, même au Devoir... Alors, comment Le Devoir peut-il aujourd'hui se permettre ce manque flagrant de rigueur, et du même coup et sans vergogne, blâmer le "manque d'audace et de vision" du gouvernement actuel? Chez GESCA, on comprendrait cette triste "collaboration" avec les ennemis du Québec, mais au Devoir... - Vigile ---- A défaut d'un changement de politique qu'on ne peut espérer avec ces personnages, une chose simple : demander "naïvement" pourquoi il ne se passe jamais rien à la Délégation du Québec à Paris : ni projections de films, ni théâtre, ni conférences, ni expositions, ni concerts, ni bibliothèque de prêt ... [Pourquoi ? ... - DG 6 octobre 2011->http://www.actualitte.com/actualite/28795-jean-charest-quebec-france-francophonie.htm] ----
Centre culturel du Québec à Paris
Trois fois dommage
On se refuse un instrument capital de promotion de la culture québécoise sur la France et sur l'Europe. Et on laisse la bibliothèque Gaston Miron, faute de lieu propre au Québec, quitter la Délégation qui a besoin d'espace pour aller se perdre au fin fond d'une bibliothèque universitaire française. Il y a là un manque d'audace et de vision.