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La folie linguistique universitaire contamine le fédéral
C’est une catastrophe intellectuelle
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Pour empêcher le subterfuge, la loi devrait imposer un spécifique français
Tout le monde parle de francisation en pensant au service offert ou à la langue de communication, mais qui s’inquiète des raisons sociales ou des noms de festivals ou d’événements qui défigurent Montréal en particulier et le Québec en général ?
La langue commune selon QS est le « bilingue »
Alors que le déclin du français au Québec retient une fois de plus l’attention lors de la campagne électorale, la candidate de Québec solidaire dans Notre-Dame-de-Grâce suscite la controverse avec des publications bilingues.
La fausse solution de l’immigration pour sauver l’Ontario français, préfiguration d’un Québec agonisant : « La première génération parlera français, la seconde parlera bilingue, et la troisième sera anglaise... »
L'ethnocide des Canadiens français de la Basse-Ville d'Ottawa a été largement fouillé dans le livre Ottawa, lieu de vie français* mais la disparition de TOUS les autres milieux urbains francophones de l'Ontario fait rarement partie des discussions ou des conférences.
« Je subodore la mauvaise foi parce que le recul d’une langue n’est pas une fatalité, c’est un choix politique »
En début de campagne, les chefs des partis ont beaucoup parlé de l’état du français au Québec, mais très peu de sa situation au Canada. Le sujet aurait mérité plus d’attention, car, là aussi, le français va mal. Très mal.
« De 1995 à 2022, le secteur anglais a doublé son poids par rapport à celui de la communauté anglophone (8,8 %), pour atteindre près de 19 % de la clientèle du réseau »
Le 8 septembre dernier, les délégués de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ), réunis à Trois-Rivières en conseil extraordinaire, ont voté pour l’assujettissement du réseau collégial à la loi 101.
« Le dualisme institutionnel […] permet aux unilingues anglos ou à ceux qui choisissent de s’angliciser de le faire en tout confort et en toute impunité »
Éditorial de septembre 2022
La folklorisation est en marche, elle avance au pas de l’assimilation qui gruge le rapport démographique.
« Le taux d’anglicisation des jeunes adultes de langue maternelle française est de nouveau nettement plus élevé que celui de leurs aînés »
LANGUE
Le long déclin
Les données du recensement de 2021 sont sans appel. Tous les indicateurs sont au rouge. Au point de discréditer totalement les politiques préconisées par les gouvernements Legault et Trudeau. Loin d’assurer l’avenir du français, elles garantiront, au contraire, l’anglicisation du Québec comme du Canada.
Des mesures efficaces réclamées aux partis politiques
Élections Québec 2022
Mesdames, Messieurs, des partis politiques québécois : À l’approche des élections québécoises 2022, Impératif français vous pose les questions suivantes de grand intérêt public.
« Cette “ ouverture à l’autre ” n’est en fait qu’une soumission au rouleau compresseur “ globish ” »
N’oublions pas la dévalorisation systémique (pour reprendre un mot à la mode) de notre langue officielle depuis de nombreuses années au Québec.
Le remplacement du bilinguisme par le multilinguisme pour gommer le déclin du français
Ces organismes émanant du fédéral sont d’abord, en premier, au service de la raison d’État canadienne.
Le chercheur Frédéric Lacroix très inquiet
Entretien
Le dernier recensement de Statistique Canada pour 2021 dresse un portrait sombre de l’état du français au Québec. Comment expliquer cette chute? Des mesures peuvent-elles renverser la vapeur? Le chercheur indépendant Frédéric Lacroix se prononce.
Le déni caquiste
Tribune
Comme tant de Québécois ces derniers jours, je suis profondément consterné devant l’ampleur de la débandade du français constatée dans le dernier recensement fédéral.
Difficile de nier la réalité démolinguistique : l'immigration entraîne le déclin du français
LANGUE
Le français est la première langue officielle parlée d'un nombre croissant de Canadiens, mais la proportion qu'ils représentent à travers le pays a diminué depuis 2016, selon des données du recensement 2021 publiées mercredi par Statistique Canada. Le Québec n'échappe pas à cette tendance.
De 2016 ...
La langue est toujours politique au Québec
LANGUE
Quand mes étudiants ne comprennent pas, je répète.
S’ils ne comprennent toujours pas, je change d’approche.
Après de nombreuses tentatives, s’ils ne comprennent toujours pas, c’est que le problème est de leur côté.
Le débat linguistique me fait penser à cela. Il y a du monde lent, et j...
Le recul du français est une conséquence de l'immigration massive
LANGUE
Les résultats du recensement sont effarants.
Nous ne sommes pas contemporains d’un affaissement linguistique tranquille, mais d’un effondrement brutal. Tout se passe plus rapidement que prévu.
Mais point de sursaut chez nos élites. Plutôt un déni morbide.
Elles veulent bien reconnaître que le français sera...
Seul l’État du Québec nous donne une prise sur notre destin (cf. Daniel Johnson)
Déclin du français partout.
Humiliation linguistique
Les unilingues francophones ont le plus faible revenu d’emploi au Québec
Parler français et anglais, mais aussi seulement l’anglais, au travail, c’est généralement plus payant au Québec que de parler uniquement le français. Voilà le constat d’une étude qui vient d’être publiée.
« Notre conseil municipal (je suis Gatinois) a démoli à lui seul un pan entier de la loi 101 en portant jusqu’à la Cour suprême du Canada son droit (confirmé d’ailleurs) de déterminer elle-même la nécessité de l’anglais dans la fonction publique municipale »
Gatineau, quatrième ville du Québec, s'anglicise à vue d'oeil. N'importe quel résident le constatera s'il ouvre ses yeux et ses oreilles. Ceux et celles qui préfèrent des preuves plus scientifiques n'ont qu'à consulter les données linguistiques implacables des recensements fédéraux.
Envahissement de l’anglais dans Charlevoix
L'équipage du Svanoy, le navire qui assure la traversée entre Saint-Joseph-de-la-Rive et L'Isle-aux-Coudres dans Charlevoix, communique en grande partie en anglais.
Envahissement de l’anglais à Gatineau
Ici la situation en Outaouais
Le trafic identitaire, la fraude fiscale et l’anglicisation y progressent à un rythme exponentiel avec la complicité active des élus, des administrations publiques, de la Sûreté du Québec, de Revenu Québec, des Villes et Villages.
Frédéric Bastien frappe encore
Un groupe de citoyens a déposé une requête en Cour supérieure pour rendre invalide la nomination de Mary Simon à titre de gouverneure générale du Canada, estimant que son incapacité à parler français – l’une des deux langues officielles – viole la Constitution canadienne.
La démagogie hypocrite de B’nai Brith Canada : pour inciter à la haine ?
Lundi dernier, une organisation juive s’en est prise aux lois 96 et 21. B’nai Brith Canada a déclaré qu’elles causeraient un exode des Juifs québécois. Ceci ne serait pas nouveau puisque certains israélites auraient quitté le Québec dans le passé pour cause de discrimination. Sans le dire explicitement, on nous accuse d’antisémitisme.
Insulte suprême — il faut sévir
Au début, quand j’ai vu le titre de l’article de Thomas Gerbet de Radio-Canada, j’ai pensé que c’était une blague : Des employés des Francos se plaignent de devoir utiliser l’anglais au travail.
Le bilinguisme humiliant de l’appareil fédéral vise l’anglicisation du Québec
En septembre 2020, lors du discours du Trône, le gouvernement fédéral s’avance comme il l’a rarement fait et reconnaît l’inégalité qui existe entre les anglophones et les francophones au pays. Le français, explique-t-il, est dans une « réalité particulière » et Ottawa a la responsabilité de protéger la langue « non seulement à l’extérieur du Québec, mais également au Québec ».
Trahisons linguistiques
Le gouvernement Legault n’a pas préparé la mise à jour de la loi 101 avec la commission d’enquête et le livre blanc que cela méritait. Ce qui devait arriver arriva. L’exercice a fini en foire d’empoigne. Avec quelques dérapages, même, parmi ceux qui voient le français en difficulté.
Le PQ enfonce les bons clous
Loi 96
Seulement 22 % des Québécois estiment que la loi 96 que le gouvernement Legault a fait adopter est suffisante pour renverser le déclin du français au Québec, selon un récent sondage Léger. Mais le tiers des sondés n’avaient pas d’opinion sur la question.
Une nouvelle échappatoire
Des collèges anglos offrent cette option qui mène directement à l’université
Des collèges privés s’attendent à une hausse de la demande pour leur programme de 6e secondaire, qui permet d’éviter les obligations de la nouvelle loi sur la langue officielle dans les cégeps anglophones.
« Le poids démographique des francophones au Canada hors Québec a subi une baisse de pratiquement 50 % depuis le début des années 1970 »
Le 25 mai dernier, monsieur Trudeau eut le mauvais goût de comparer les Franco-Canadiens, communautés historiquement opprimées et dont la survivance représente un épineux combat quotidien, aux anglophones du Québec, communauté représentant historiquement l’élite financière de la Belle Province et dont le poids démographique des locuteurs ne cesse de croître.
Elle rejette donc le français comme langue commune
On n’avait jamais refusé de la servir en anglais
La Québécoise anglophone à l’origine de l’appel au boycottage viral d’un boulanger de Montréal, qui aurait refusé de servir des clientes en anglais, affirme n’avoir aucun regret au lendemain de la controverse qu’elle a créée.