Réponse à Antoine Robitaille
Extrême-droite, dites-vous?
Dans un article publié le 4 novembre 2010, à propos de la lettre des «136», Le Devoir et le journaliste Antoine Robitaille me présentent comme un «signataire embarrassant pour Pauline Marois» et affirment erronément que je suis un «militant condamné pour vandalisme [qui] caresse des idées d’extrême droite». Permettez-moi de rétablir les faits: je n’ai jamais été condamné, je n’ai jamais commis d’actes de vandalisme et ...