Traduire ou trahir
Le français «coast to coast»
Louis Côté
En page 12 du Soleil de Québec, le 21 novembre dernier, nous apprenions que TransCanada Pipelines ne se sentait pas suffisamment forte en traduction pour garantir la concordance exacte entre les deux versions des 30 000 pages de documents qu’elle entend soumettre à L’Office national de l’énergie au soutien de sa demande d’autorisation de construction d’un pipeline sur le territoire du Québec. Alors, certains intéressés...