LE CANADA - BURLESQUE GROTESQUE DE DÉMOCRATIE
Il est inconcevable qu’en 2008 la population de la moitié d’un continent s’agenouillera devant la reine d’Angleterre dans cette parodie de démocratie qu’est la nôtre. Est-ce que la sympathique Mme. Jean comprend que son poste, vestige d’une ère coloniale, est pour plusieurs, dépassé et inutile, et dans une période d’austérité budgétaire, dangereusement dépenseur? Franchement je serai gêné à sa place de faire courir autant de monde, et couler autant d’encre pour pas grande chose!
Je n’ai jamais compris le rôle du Bloc Québécois dans ce gouvernement étranger à Ottawa. Je ne vois pas l’utilité d’envoyer des représentants à la législature mexicaine ou ils seront pour toujours minoritaires et sans pouvoir réel. Il sera bien plus rentable pour le Québec d’envoyer les représentants à l’Organisation des États américains et aux Nations-Unis.
Nous sommes coincés entre ces marionnettes le très fédéral contrôleur Stephen Harper qui s’en fout des élections au Québec; le mesquin Stéphane Dion qui croit que les Québécois ne possèdent pas les capacités requises de rédiger leur propre question référendaire, et n’ont certainement pas les capacités de se gouverner eux-mêmes; et le valet conservateur (oups Libéral) James Jean Charest, politicien très professionnel, maître du statut quo.
Donc, rapatrions les ressources gaspillées du Bloc à Ottawa, des méninges supplémentaires ne nuiront pas ici; et arrêtons de faire confiance en ces criminels en col blanc du Parti conservateur, Parti libéral du Canada, Parti libéral du Québec, et j’en passe - qui s’assurent la mainmise d’Ottawa sur toutes décisions relatives à la sécession du Québec.
La vérité est que le ROC, à l’image de son maître colonial, a abandonné le Québec il y a 141 ans sauf pour ce qu’il peut en retirer; et il ne cherche depuis que de le minoriser par n’importe quel moyen légal ou quasi-légal. Il faudra que nous trouvions la force morale d’admettre que nos chemins se sont séparés - mieux que nous nous mettions à table immédiatement pour signer un divorce à l’amiable. FINI LES CHANCES AU COUREUR.
Cette parodie de démocratie
La vérité est que le ROC, à l’image de son maître colonial, a abandonné le Québec il y a 141 ans sauf pour ce qu’il peut en retirer
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