Comment l’islam radical veut soumettre le monde

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Dénonciation de la méthode de soumission à l’islam


Jeudi se tenait le Sommet national sur l’islamophobie, organisé par le gouvernement Trudeau.


Les mots sont importants.


Il est regrettable que le gouvernement Trudeau reprenne un terme souvent utilisé pour mettre dans le même panier la détestation de tous les musulmans, évidemment inacceptable, le questionnement légitime de cette religion comme de toutes les autres, et la vigilance qu’il faut avoir à l’endroit du radicalisme islamiste.


Méthode


L’islam vient en plusieurs versions. 


Tant qu’il se limite à une démarche spirituelle individuelle, il n’est ni plus ni moins discutable que toute autre foi.


Il mérite tolérance, respect et protection.


Les problèmes commencent quand il devient une croisade pour s’imposer à tous et partout, donc quand il se politise.


Le but visé par ces croisés est l’imposition de la Charia, donc de la loi divine, par définition supérieure à la loi humaine. 


Quel est le mode opératoire des radicaux qui épousent ce projet ?


Il faut d’abord raffermir la foi de chaque croyant pour en faire un activiste convaincu.


On travaillera simultanément dans les pays musulmans et dans le reste du monde.


Dans les pays musulmans, les dirigeants politiques seront dépeints comme des valets de l’Occident impie.


Il faut donc les chasser par les urnes ou par la violence.


Dans les pays non musulmans, la stratégie est occasionnellement violente, mais c’est surtout un travail de prosélytisme sur le long terme. 


Il faut d’abord marquer une présence visible dans l’espace public, nettement différenciée des non-croyants, donc tout le contraire de se fondre dans la masse.


On utilisera comme marqueurs les barbes, les vêtements et autres signes distinctifs.


On travaillera ensuite à normaliser cette présence et diverses pratiques.


On revendiquera des lieux de prière dans les établissements, la ségrégation hommes-femmes lors d’activités publiques, la refonte des programmes scolaires, etc.


Forcément, plus tout cela sera banalisé, plus il deviendra mal vu de critiquer, ce qui favorisera encore son expansion. 


On pénétrera progressivement les milieux politiques, économiques, culturels, associatifs, récréatifs, etc.


On fera un lobbying intense auprès des élus pour qu’ils sanctionnent toute critique et octroient des statuts particuliers. 


L’immigration et la natalité augmenteront le poids démographique, donc l’influence politique.


Si beaucoup d’activistes sont clairement identifiés, d’autres joueront profil bas. 


On capitalisera beaucoup sur la culpabilité et la naïveté occidentales, de même que sur les tragédies authentiques, comme les tueries.


On misera aussi gros sur cette constellation d’idiots utiles, dans les sphères médiatique et académique, étouffés par leurs bons sentiments, ignorants et dépourvus de lucidité, tétanisés à l’idée d’être accusés de graves fautes morales.


Soumission


Les islamistes voient à long terme, savent qu’ils ont du temps devant eux, sont déterminés et disciplinés.


Au passage, ils font des victimes collatérales : tous ces musulmans parfaitement pacifiques et respectables, pas revendicateurs pour deux sous, qui veulent vivre leur foi dans la discrétion, et qui se font regarder avec méfiance.


Ils s’en fichent : ceux-là aussi se soumettront.











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