François Gendron comme chef intérimaire du PQ

Un homme de conviction et de droiture

Tribune libre

« Chacun et chacune de nous doit poser sa pierre pour faire du Québec un pays ». François Gendron

Dans l’optique où les militants du Parti québécois doivent se donner tout le temps pour refaire le plein à la suite de la dégelée de leur parti le 7 avril, je suis d’avis que François Gendron est le meilleur candidat pour occuper le poste de chef intérimaire du PQ.

À preuve ces quelques notes biographiques : « François Gendron est né le 3 novembre 1944 à Val-Paradis. Il est député de la circonscription d’Abitibi-Ouest pour le Parti québécois depuis l'élection de 1976. Il a été ministre dans les gouvernements du Parti québécois, de 1979 à 1985, de 1994 à 1996, de 2002 à 2003 et depuis 2012. En 2007, il a été chef par intérim de l'aile parlementaire du PQ. Il a été, du 21 octobre 2008 au 13 janvier 2009, président de l’Assemblée nationale. Enfin, il devient vice-premier ministre, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, et ministre responsable de la région de l'Abitibi-Témiscamingue dans le gouvernement péquiste minoritaire de Pauline Marois en 2012 et est réélu en 2014 dans son comté. » Source : Wikipédia

En plus d’un tel parcours pour le moins empreint d’une constance inégalée à l’intérieur des rangs d’une même formation politique, François Gendron bénéficie d’une crédibilité à toute épreuve autant au sein de l’aile parlementaire du PQ qu’auprès des militants de la base.

Une expertise qui lui confère sans contredit toute l’expérience nécessaire pour assurer une réflexion nécessaire aux militants du PQ qui ont besoin d’un temps d’arrêt pour se réaligner de façon adéquate vers les défis qui les attendent, en particulier la reconquête de leur base souverainiste.

Un grand ménage du printemps s’impose dans la maison péquiste…Confions-en sans crainte la direction à François Gendron qui saura confier les bonnes tâches aux bons acteurs […]

En terminant, je laisse la parole à François Gendron lui-même s’adressant aux électeurs de son comté : « Je tiens toujours à rester un gars simple et accessible. Je suis aussi un gars de conviction et de droiture. L’intégrité et l’honnêteté sont des valeurs importantes qui m’ont toujours habité. Je suis persuadé que cela a contribué à bâtir ce lien de confiance qui existe entre vous et moi. Je suis fier d’avoir bâti ma carrière sur ces bases solides et, dans ma tête et mon cœur, il est clair que ça doit continuer dans le même sens. »
http://www.francoisgendron.qc.ca/presentation

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Henri Marineau2091 articles

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Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com




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3 commentaires

  • Pierre Cloutier Répondre

    10 avril 2014

    Message à M. Simon
    Vous me faites rire avec votre discrimination positive "jeune". En politique comme ailleurs ce n'est pas l'âge qui compte. C'est l'intelligence, le charisme, la culture, le savoir-faire, la capacité de diriger etc. Un jeune con, comme un vieux con, demeure un con.
    D'autre part, un chef charismatique seul ne suffit pas. Il nous faut une doctrine indépendantiste. Pas un semblant de doctrine mollassonne et ronronnante comme la gouvernance "souverainiste" des dernières années : "oui, non, peut-être, bien au contraire".
    Pierre Cloutier

  • Archives de Vigile Répondre

    10 avril 2014

    Un seul mot.
    UN JEUNE ou UNE JEUNE !!!
    Véronique Hivon par exemple, quelqu'un qui s'exprime bien aussi.
    Sur son blog du JDM Michel Hébert, pas vraiment un partisan du PQ, parlait ironiquement de la marchette vers l'indépendance.

  • Pierre Cloutier Répondre

    10 avril 2014

    Tout cela est secondaire monsieur Marineau. C'est la prochaine mouture du PQ qui m'intéresse. Est-ce que ce sera un PQBouchard, un PQBoisclair, un PQMarois, c'est-à-dire un PQ provincialeux, provincialiste et électoraliste ou un PQParizeau indépendantiste?
    C'est cela la question. Le reste, sincèrement et avec respect on s'en fout. C'est bien beau l'intégrité et personne n'est contre la vertu, mais c'est l'indépendance qu'on veut.
    Le reste c'est juste de la petite politique provinciale de merde.
    Pierre Cloutier