Rien à voir avec le référendum péquiste, la raison d'être de la cause souverainiste est de relever un défi existentiel
- « Depuis 1759, depuis 1760, depuis 1763, et même depuis 1840, selon la date que vous choisirez, jamais notre peuple n’a été autant en danger. La noyade migratoire entraînée par la politique folle d’immigration d’Ottawa, qui ne date pas d’hier, soit dit en passant, fait converger dans une même entreprise le combat pour l’indépendance et celui pour la survivance: la première est désormais la condition de la seconde.»
- « Si nous ne tranchons pas rapidement, nous deviendrons en quelques décennies minoritaires chez nous. Nous passerons de maîtres chez nous à de trop chez nous. Le développement d’un racisme anti-québécois dans nos écoles, documenté par Jean-François Lisée (qui le nomme autrement, je prends la peine de le noter), dans une récente chronique, nous rappelle que cette expulsion symbolique des Québécois francophones de leur propre pays n’est pas à venir, mais déjà engagée.»
- « Un pays ne saurait être indifférent à la population qui le compose. Si la majorité historique francophone devient minoritaire, ou faiblement majoritaire, elle verra l’ensemble de ses structures identitaires s’effondrer devant elle.»
https://www.journaldemontreal.com/2024/04/01/la-derniere-chance-des-quebecois
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