Pierre Curzi - Sans rire et sans honte

La Grande Marche de l'indépendance - 2009 et 2010

Texte publié dans Le Devoir du mercredi 27 mai 2009
Selon Pierre Curzi (bulletin de nouvelles de 17 heures à la radio de Radio-Canada), la Grande marche vers l’indépendance du Québec, organisée par un groupe de jeunes militants indépendantistes avait le défaut de n’être pas partisane, autrement dit de n’être pas péquiste.
Sans rire et sans honte, il a déclaré que le seul véhicule apte à mener à l’indépendance était le Parti québécois. Comme si celui-ci n’avait pas renoncé depuis belle lurette à s’en faire le porte-étendard, en dehors de ses campagnes de financement.
Est-ce par un manque inquiétant d’intelligence politique que l’ex-président de l’union des artistes n’a pas été gêné de faire une telle déclaration, alors que si son Parti, avec ses puissants moyens financiers et organisationnels, avait convoqué une telle manifestation, les marcheurs se seraient comptés par milliers plutôt que par centaines.
Est-ce par l’effet dévastateur de la corruption du pouvoir, que l’acteur Pierre Curzi, à peine élu, et ne siégeant que dans l’opposition, se croit autorisé à jouer le rôle de grand moralisateur des forces indépendantistes qui, encore vives, parce que vives, comprennent que le combat ne peut plus être abandonné aux mains partisanes d’un Parti.
Andrée Ferretti.
Brigham, 24 mai 2009

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Andrée Ferretti124 articles

  • 121 200

"Rien de plus farouche en moi que le désir du pays perdu, rien de plus déterminé que ma vocation à le reconquérir. "

Andrée Ferretti née Bertrand (Montréal, 1935 - ) est une femme politique et
une écrivaine québécoise. Née à Montréal dans une famille modeste, elle fut
l'une des premières femmes à adhérer au mouvement souverainiste québécois
en 1958.Vice-présidente du Rassemblement pour l'indépendance nationale, elle
représente la tendance la plus radicale du parti, privilégiant l'agitation sociale
au-dessus de la voie électorale. Démissionnaire du parti suite à une crise
interne, elle fonde le Front de libération populaire (FLP) en mars 1968.Pendant
les années 1970, elle publie plusieurs textes en faveur de l'indépendance dans
Le Devoir et Parti pris tout en poursuivant des études philosophiques. En 1979,
la Société Saint-Jean-Baptiste la désigne patriote de l'année.
Avec Gaston Miron, elle a notamment a écrit un recueil de textes sur
l'indépendance. Elle a aussi publié plusieurs romans chez VLB éditeur et la
maison d'édition Typo.





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21 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    1 juin 2009

    Suite
    « Il est à peu près temps que les péquistes indépendantistes (s’il en reste quelques-uns) se réveillent ! Ils doivent joindre les rangs du seul parti résolument indépendantiste, le PI. »
    Ça, je le ferai quand Jacques Parizeau le fera. Pour l'heure, le PQ n'a pas comme l'ADQ renoncé à faire le Pays. Pour l'heure il n'a pas annoncé qu'il ne se contenterait de se rabattre comme l'ADQ sur une souveraineté sectorielle renonçant au projet de pays. Rapatrier les Plaines peut se faire par des fédéralistes. Nous, nous voulons les Rapatrier comme étant une avancée nous permettant de faire le pays. Vous ne voyez pas la distinction ? Ou vous faites semblant de ne pas la voir ?
    « Quant aux indépendantistes, ils devront combattre à tout prix les propositions autonomistes de Marois et du futur chef de l’ADQ. »
    Vous avez raison.
    Mais seulement dans la mesure où la souveraineté sectorielle est bien non pas renoncer au pays mais un moyen de plus, appuyé entre autre par le RRQ dans le cas du rapatriement des Plaines, pour faire des avancées importantes capables d'emporter l'adhésion du peuple souverain du Québec afin qu'il répudie l'État unilatéral du Canada jamais nommément soumis à ses voix libres et afin qu'il fonde de ses voix libres hors les odieuses menaces de représailles, l'État valide et légitime qu'il désire fonder depuis la Conquête.
    Vous avez raison
    Il faut combattre l'autonomisme qui n'est qu'un leurre. Il faut combattre la souveraineté sectorielle si elle n'est pas partie d'un PROGRAMME de SOUVERAINETÉ endossé par toutes les composantes de la mouvance souverainiste dont le PQ, QS, le PI et si possible les Verts et l'ADQ.
    Car jamais le PI seul ne pourra faire le pays. C'est fini le parti unique. Les Québécois maintenant votent pour le pays, pour la souveraineté à travers différents partis politiques de différentes obédiences, de gauche jusqu'au centre, ne manque qu'un parti de droite. L'ADQ pourrait être celui-là, à moins que ce soit le PI.
    Ce qu'il nous faut c'est un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ pour faire l'UNION SOUVERAINISTE pour que l'essentiel ne soit plus prétexte à la division de nos forces et facteur de division du vote souverainiste qui permet d'élire les canadianisateurs qui par cette division s'en donnent à coeur joie pour détruire la CDPQ, et engraisser BAY STREET, à coups de primes aux affairistes qui détournent les fonds des FIERs pour se payer une allégeance purement circonstancielle et factice.
    Nous reste 15 mois pour parvenir à concevoir et discuter les termes de ce PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ endossé par nous et par le Congrès du PQ. Quelles sont vos propositions ? Plusieurs sont déjà sur la table. Quelles sont les vôtres ?

  • Archives de Vigile Répondre

    1 juin 2009

    @ Suzanne Lachance
    Vous citez La Presse qui assimile la souveraineté sectorielle à l'autonomisme de l'ADQ pour l'instant fédéraliste, elle ne l'a pas toujours été et a voté OUI en 1995.
    « Je suis content de voir que Mme Marois nous donne raison », a lancé Éric Caire, député de La Peltrie et candidat à la direction de l’ADQ. »
    La Presse-2009 05 31-Martin Croteau et Tommy Chouinard-« Charest accuse Marois de diviser les Québécois »
    Comme si tout cela, titre et reportage sur une nouvelle de La Presse, annonçant ce qui n'a jamais été confirmé par le PQ, sont des sources fiables permettant sans distance critique d'en tirer des conclusions valides. Au fait, où est la confirmation du PQ, l'ont-il seulement demandé au PQ ces « journalistes » ? N'est-ce pas une règle de la déontologie journalistique de faire confirmer les nouvelles avant de la publier ? La Presse n'hésiste pourtant pas à le faire. Et pourquoi donc si ce n'est pas pour faire sa propagande canadianisatrice ?
    Jean Charest dit qu'il combattra férocement tout ce qui n'est pas le statu quo canadianisateur, contre le PQ et l'ADQ, qui elle dit que le PQ est devenu... fédéraliste, et vous vous abondez dans cette propagande. Comme si le but du PrattiGescagnatiévisme n'était pas de diviser les forces de la mouvance souverainiste, et vous, sur la base d'une nouvelle non confirmée vous ne trouvez rien d'autre que d'abonder. Car, c'est bien de cela qu'il s'agit, creuser des tranchées pour faire élire Ignatieff. Pour cela il faut diviser nos forces souverainistes pour affaiblir le Bloc québécois et faire de la députation du peuple souverain du Québec une députation majoritairement canadianisatrice. Pourquoi ? Pour faire adopter par cette députation comme l'a fait Trudeau, un Constitution amendée mais toujours aussi tutélaire.
    Et vous vous plaignez par ailleurs que GESCA est propagandiste et que c'est ce système-là qu'il nous faut abattre... Où est la congruence ? Moi je ne la vois pas. Ce que je vois c'est une partie de la mouvance souverainiste qui d'un point de vue strictement clientéliste et électoraliste veut tirer profit de cette situation qu'inventent de toutes pièces les forces canadianisatrices afin d'attirer au PI des votes qui sont aujourd'hui donné au PQ en marchandant en quelque sorte le pays à l'ombre d'un mirage planté là pour vous dans le désert d'un Canada qui ne parvient à s'imposer qu'en se soustrayant au verdict des voix du peuple souverain du Québec qui répudie ce Canada unilatéral de l'abus de force et d'autorité depuis la Conquête. Et vous vous abondez dans le mirage. Dans l'illusion.
    L'ADQ a déjà voté pour le OUI. Ensuite, elle a annoncé qu'elle se donnait 10 ans avant de revenir avec la question de la souveraineté, après la défaite de 1995 dont on peine à faire le deuil. Entretemps elle a opté pour le fédéralisme-rénovateur appelé autonomisme, c'est-à-dire en somme, pour la position du PLQ historique hérité des Lesage et autres Bourassa opposé au Canada tutélaire qui s'impose de force et d'autorité depuis la Conquête sans se jamais nommément soumettre aux voix du peuple souverain du Québec.
    En ai-je manqué des bouts ? Le PQ aurait comme l'ADQ renoncé à faire le pays et serait devenu fédéraliste-rénovateur ?
    Suite ici-bas

  • Archives de Vigile Répondre

    31 mai 2009

    Monsieur Curzi, qui fait la morale aux indépendantistes, a travaillé à élaborer un programme que les adéquistes ont reconnu comme étant le leur:
    "La stratégie de Pauline Marois a également suscité bien des réactions au conseil général de l’ADQ, à Québec.
    « Sa position ? Vous parlez de l’autonomie ? Je suis content de voir que Mme Marois nous donne raison », a lancé Éric Caire, député de La Peltrie et candidat à la direction de l’ADQ. Au sujet de sa proposition d’avoir une seule déclaration de revenus, il lui suggère de lire le programme électoral adéquiste."
    http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/200905/31/01-861541-charest-accuse-marois-de-diviser-les-quebecois.php
    Il est à peu près temps que les péquistes indépendantistes (s'il en reste quelques-uns) se réveillent! Ils doivent joindre les rangs du seul parti résolument indépendantiste, le PI. Quant aux autres, ils pourraient joindre les rangs de l'ADQ. Ils auront le fardeau de convaincre les Québécois que l'autonomie est préférable à l'indépendance. Quant aux indépendantistes, ils devront combattre à tout prix les propositions autonomistes de Marois et du futur chef de l'ADQ.

  • Archives de Vigile Répondre

    31 mai 2009

    Suite
    RAPATRIER LES PLAINES
    Une telle possibilité, peut être un facteur de mobilisation important. Cela peut l'être maintenant pour se préparer à dans un mois le manifester clairement autour du 24 juin, fête nationale du Québec, si le mouvement souverainiste décidait maintenant dans la foulée de la manifestation du 24 mai dernier, de se mobiliser dans un crescendo stimulant à Québec le 23 juin prochain pour La Marche de Vigile du 24 juin ( Signez la pétition dans jesignequebec.com ), et pour faire du 13 septembre 2009 l'apothéose de cette année d'un mobilisation souverainistes en ébullition depuis que l'outrance activiste canadianisatrise s'est déployée avec tant d'odieuse arrogance pendant de 400e anniversaire de fondation de Québec.
    C'est une excellente chose que d'évoquer l'appel aux voix du peuple autrement que par le seul référendum sur la souveraineté dont ne voudrait pas supposément les Québécois ( voir article précité ). Le Canada et sa Constitution lui aussi pourrait être par exemple soumis aux voix du peuple... Ce sont des avenues à mettre de l'avant dans le but de rompre avec une stratégie qui donnait à nos adversaires dans le menu, ce que nous comptions faire à quel moment et de quelle manière. Cela a fait long feu et c'est tant mieux. Ainsi dans le contexte pédagogique partie d'un ensemble plus grand de Programme de souveraineté le développement de l'hypothèse « souveraineté sectorielle » permet d'ouvrir toutes les portes, de manière à ne plus annoncer à l'avance ni l'échéancier, ni la stratégie permettant à ce peuple de fonder l'État valide qu'il désire.

  • Archives de Vigile Répondre

    31 mai 2009

    @ M. Anonyme
    Vous avez raison, commenter un article de La Presse canadianisatrice est pertinent. Ce qu'il l'est moins, c'est ne ne pas avoir de distance critique suffisante en prenant pour acquis ce qui y est dit.
    Que M. Lessard soit tombé sur un document ou des déclarations développant l'idée de M. Parizeau concernant des référendums sectoriels est une chose, que cela soit considéré comme étant le Programme électoral du PQ pour les prochaines élections approuvé par un Congrès qui n'aura lieu que dans 17 mois c'en est une autre, et plusieurs « critiques » ne font pas la distinction. On est loin du compte.
    Et, s'il est question de dire qu'il n'est pas question que cela puisse être en mesure de rallier toutes les composantes de la mouvance souverainiste, j'en suis. S'il est question d'affirmer qu'en aucun cas cela ne peut constituer une plate-forme électorale suffisante et productive, j'en suis.
    Le commentaire de Jean Charest est éloquent à cet égard. Charest accuse Marois de diviser les Québécois Il n'a qu'à agiter le spectre de la division et de l'instabilité pour démontrer à quel point ce projet de programme ne peut constituer un argument permettant de faire l'unité du peuple souverain du Québec seule capable de fonder l'État valide qu'il désire. À quel point ce seul projet ne permet en rien de marquer des points pour faire élire le PQ aux prochaines élections à Québec et le Bloc à Ottawa.
    La publication de cette nouvelle a pour but de tuer dans l'oeuf ce recours aux référendums sectoriels hors contexte du point de vue canadianisateur. Mais elle sert aussi à démontrer que désormais l'attirail des souverainistes ne sera plus limité à un seul référendum portant sur la fondation de l'État souverain du peuple souverain du Québec.
    Rapatrier les Plaines au Québec - Souveraineté sectorielle !?
    Le tollé général et l'action du RRQ contre la canadianisation du 250e anniversaire de la Bataille de Plaines d'Abraham par la CCBN activiste, a mis en évidence à quel point la tutelle canadianisatrice pouvait s'imposer dans tous les secteurs de notre activité sociétale, jusque dans notre souveraineté territoriale et culturelle dans le secteur crucial de notre souveraineté historique et mémorielle. Antidote sur lequel se sont entendu les souverainistes : dès maintenant Rapatrier les Plaines d'Abraham au Québec ( Signez la pétition dans jesignequebec.com ).
    N'est-ce pas un fait de souveraineté sectorielle ? N'est-ce pas une revendication à laquelle se sont ralliées des personnes qui aujourd'hui nous disent qu'il ne saurait en être question ? OUI. Et, dans un contexte ou cela n'est qu'une partie de la donne, la souveraineté sectorielle est une avenue qui peut faire consensus dans toutes les composantes de la mouvance souverainiste.
    Suite ici-bas

  • Archives de Vigile Répondre

    31 mai 2009

    Au contraire de ce que prétendent les défenseurs inconditionnels du PQ présents sur Vigile (et que dénonçait M. Payne), il est tout à fait pertinent de commenter l'article de M. Lessard, même si la proposition du PQ n'a pas encore été faite officiellement, il est vrai. C'est que la proposition péquiste concoctée par Curzi et consorts se situe en droite ligne avec celle de Madame Marois lors de la dernière campagne électorale: "une gouvernance nationale dans le respect de la constitution canadienne".
    Une bouillabaisse constitutionnelle immangeable!
    Je la laisse aux péquistes qui se contentent de n'importe quoi depuis le départ de Jacques Parizeau.
    Et qu'on ne vienne pas me servir comme argument que ce dernier a déjà proposé lui-même les rapatriements sectoriels: c'était une si mauvaise idée qu'il l'a abandonnée rapidement.
    Voici ma proposition aux péquistes: fusionnez-vous le plus rapidement possible avec l'ADQ. Celle-ci, sous l'égide de M. Taillon, proposera aux Québécois une union confédérale. Vous devriez y trouver votre compte.

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2009

    @ Suzanne Lachance
    Attention madame Lachance, cela n'a pas été annoncé par madame Marois, mais par La Presse propagandiste par la voix de Michel Lessard...
    Voyez ce qu'en dit M. Barberis-Gervais... Méfiez-vous de Denis Lessard
    Et, même. Reste 17 mois pour le faire adopter par le Congrès... ET, ce n'est pas gagné. Reste 17 mois pour qu'un Congrès du PQ endosse un PROGRAMME de SOUVERAINETÉ, partie d'un PROGRAMME de GOUVERNEMENT SOUVERAINISTE de COALITION qui puisse emporter l'adhésion de toutes les composantes de la mouvance souverainiste, vous et madame Ferretti comprises.
    « ... nous savons aujourd’hui pourquoi le PQ ne pouvait organiser une telle marche » dites-vous. Vous ne savez rien pour l'heure si vous cessez de vous fier à ce qu'en dit La Presse canadianisatrice. ET, non, le PQ n'a pas organisé cette marche, c'est une initiative citoyenne et tant mieux, sauf que... le PQ y était.
    « Ce parti a adopté le programme adéquiste ! Rien de moins ! ». Vous allez vite en affaire... Le PQ n'a rien adopté ni même annoncé. Et, ce que le PQ adoptera ce sera dans 17 mois...
    « On sait d’ores et déjà que le PQ voudra manger à tous les rateliers et nous faire croire que" tout est dans tout". » Vous en savez des choses, vous avez une boule de cristal ?
    Tout ça n'est que spéculation, procès d'intention, prévisions qui n'ont pas lieu d'être puisque nous avons le pouvoir de faire en sorte que toutes les composantes de la mouvance souverainiste profitent de ces prochains 15 mois pour mettre au point un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ qui nous agrée, qui emporte notre adhésion de manière telle qu'elle pourra emporter l'adhésion du PQ, de QS, du PI, du Bloc québécois qui d'ici là sera en élection, voire des Verts et de l'ADQ justement qui a déjà voté OUI au référendum de 1995, puisque vous en parlez. ET, de quelle ADQ vous parlez ? Elle aussi est en pleine réflexion et mis à niveau de son programme avec ce que suppose l'élection de son nouveau chef. Toute les conditions sont réunies pour qu'émerge de ce processus auquel vous pouvez participer un momentum nous permettant de faire des prochaines élections à Ottawa et Québec des élections décisives.
    Voulez vous que cela advienne ? Savez-vous que c'est ce que vous voulez. Si vous le savez, dites-le, et ensuite ayez le courage de faire un geste pour matérialiser votre VOLONTÉ en ACTE comme le décrit bien M. Sauvé.
    Voir les titres suivants et mes contributions afférentes.
    - Ne dites plus de stupidités - René Marcel Sauvé 28 mai 2009
    Dont la citation de Georges Clémenceau déposée par M. Grand-papa
    « Il faut savoir ce que l’on veut. Quand on le sait, il faut avoir le courage de le dire. Quand on le dit, il faut avoir le courage de le faire. »
    - « Gouvernance souverainiste » - Daniel Roy C.A. 30 mai 2009

  • Archives de Vigile Répondre

    30 mai 2009

    Madame Ferretti,
    Vous avez tellement raison de dénoncer les propos de M. Curzi!
    Par ailleurs, nous savons aujourd'hui pourquoi le PQ ne pouvait organiser une telle marche:
    http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/200905/29/01-861342-gouvernance-souverainiste-le-pq-jouera-la-carte-du-rapatriement-des-competences.php
    Ce parti a adopté le programme adéquiste! Rien de moins!
    L'article dit que M. Curzi a travaillé sur le projet: "Le plan auquel ont travaillé quelques députés - Alexandre Cloutier, Camil Bouchard et Pierre Curzi, notamment - a été présenté vendredi soir à la réunion du comité exécutif du parti, à Montréal."
    On sait d'ores et déjà que le PQ voudra manger à tous les rateliers et nous faire croire que" tout est dans tout".

  • Archives de Vigile Répondre

    27 mai 2009

    Message du fondateur du Parti République du Québec
    re: A Andrée Ferriti au Sujet de Pierre Cursi
    Le Directeur général de Élections du Québec accceptera bientôt notre avis de dissolution du PRQ.
    Sa brève existence de quelques 28 mois aura réussie en sa véritable mission qui était de parler concrètement du pays du Québec lui-même et de sa transformation en République du Québec plutôt que de rêver de souveraineté et de déclaration d'indépendance... vide de substance!
    Je vous invite à visionner mon tube d'un discours donné à la SSJB, maison Ludger Duvernay, le avril dernier à l'invitation des autorités de la SSJB au HTTP.WWW/tagtele.com
    Gilles Paquette

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    25 mai 2009

    @ Monsieur Dostie,
    Il n'est jamais facile de déboulonner une statue vénérée. Mais la tâche ne vous a jamais rebuté. On se souvient de l'an dernier où votre persévérance nous a permis de voir le vrai visage du grand dramaturge Micone au sujet de la nation québécoise. Et on peut se fier sur vous pour éviter la mesquinerie tout autant que la flatterie. Merci

  • Archives de Vigile Répondre

    25 mai 2009

    Chère Andrée,
    Ton propos ajoute seulement à la confusion et n'éclaire en rien. Tu nous jettes dans la marge, dans l'impuissance, dans la diversion, dans le rien du tout.
    Tes affirmations sont à côté de la réalité, et pourquoi toi, n'étais-tu pas présente à cette marche? Et te voilè à dénigrer tes alliés statégiques... Mais peut-être n'es-tu gère une stratège mais une confusionnaire.
    La noblesse de ton combat qui est aussi le nôtre, devrait t'inciter à y participer non à être la juge obtue qui ne cherche que la pureté d'une cause.
    Poutant, le PQ et peut-être QS par ricochet, sont les seules forces qui nous permettent d'agir. Tout le reste c'est ton propre aveuglement!
    Gaëtan Dostie

  • Raymond Poulin Répondre

    25 mai 2009

    La marche était organisée par des indépendantistes dont l’objectif était un rassemblement populaire, pas un événement partisan. Reprocher au PQ de ne pas l’avoir organisée à leur place est un non-sens. Par ailleurs, on peut le constater, le PQ y était, mais sans prendre les devants, ce qui convenait à l’objectif du rassemblement. Sans doute, comme le prétend Mme Ferretti, y aurait-il eu plus de gens si cela avait été une organisation de parti, mais, justement, il s’agit d’unir les indépendantistes indépendamment de leur affiliation partisane, de convaincre les citoyens de manifester en leur propre nom leur volonté de réaliser l’indépendance. Cela relève d’une saine pédagogie politique jusqu’à maintenant très peu pratiquée au Québec. Il faut lui donner le temps de produire de plus gros fruits. Il existe suffisamment de choses à reprocher au PQ sans lui tomber dessus (en citant hors-contexte), simplement pour le plaisir de le faire, surtout lorsqu’il se conduit correctement. La patrie passe avant le ressentiment.

  • Archives de Vigile Répondre

    25 mai 2009

    Une marche pour l'indépendance non partisanne organisée par des jeunes de la société civile et Québec Solidaire n'y est pas et n'a même personne sur le comité d'appui!
    Vous pouvez nous expliquer ça, M. Montmarquette ?

  • Archives de Vigile Répondre

    25 mai 2009

    Non, non, non. On ne va pas commencer à taper sur M. Curzi. S'il vous plait arretez, la cour est pleine... Lui il a quand meme participé à cette marche. Ou était Madame David ? Ou étaient les milliers de membres de Québec Solidaire ?
    On pourrait commencer à pointer du doigt ici et là mais n'est-ce pas faire le jeu des fédéralistes ?
    Moi aussi j'ai souvent des doutes par rapport au Parti Québécois et j'aimerais tellement qu'il, lui ou un autre parti, puisse nous mener à la victoire mais je refuse de m'em prendre à mes soldats et à mes alliers. Je refuse de m'en prendre à ceux et celles qui de bonne foi participent à ce genre d'évènement.
    Bravo aux jeunes pour cette initiative, pour ce bon début. Ils ont besoin d'un coup de main pour l'organisation et c'est là que nous pouvons etre très utile, non pas en blamant un ou l'autre. Dans cette marche il y a eu quelques erreurs, il ne faut pas blamer personnne mais plutot apprendre et conseiller les jeunes. Supportons ces jeunes. Trouvons leurs la logistique nécéssaire pour leurs prochaines activités. Mobilisons nous pour eux car eux le font pour nous.....nous qui ne sommes pas capable de s'entendre.
    Bravo à M. Curzi pour sa présence ainsi qu'à d'autres comme M. Larose, M. Falardeau, M. Landry et l'émouvante présence de M. Parizeau.

  • Michel Laurence Répondre

    25 mai 2009

    Merci Monsieur Archambault.
    Madame Ferretti, je veux aussi apporter quelques nuances, comme monsieur Archambault l’a fait.
    Je sais que je ne vais rien vous apprendre, mais je veux seulement vous rappeler qu’il faut faire la différence entre les députés et le parti, les gouvernements et les peuples. Bush était et est encore un imbécile; est-ce que cela faisait des Américains des imbéciles ? Certainement pas.
    Cette marche semblait être le fait spontané d’un groupe de jeunes avec qui j’ai pu discuter un peu lors de cette marche. Très positif.
    Je sais à cause du poste que j’occupe dans ma vie professionnelle qu’ils ont beaucoup insisté pour convaincre des personnalités de se joindre à eux, ce qui est normal, je crois. Ils ont aussi décidé de ne laisser leur tribune à personne d’autre qu’à eux-mêmes, ce qui est très bien aussi. Et pourtant, j’y ai vu messieurs Pierre Curzi, Daniel Turp, Gérald Larose, Bernard Landry, Jacques Parizeau (au lieu d’arrivée) et Pierre Falardeau. Ils les ont salués, mais aucun d’eux n’a pris la parole.
    C’était un événement festif, ludique; j’y ai vu des indépendantistes de toutes les générations, de toutes les couleurs, des hommes, des femmes, des jeunes, des enfants; j’y ai vu une belle vivacité, beaucoup d’énergie positive et une grande détermination.
    Je vous demande de prendre connaissance de mon « Manifeste pour un Québec fier ! » et j’aimerais beaucoup que vous me fassiez part de votre opinion à michel.laurence@gmail.com
    Vous pourrez le lire dans Vigile ou en suivant le lien indiqué par monsieur Archambault ou aller l’écouter ici.
    Manifeste pour un Québec fier - Vidéo
    Merci beaucoup.

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mai 2009

    Suite
    N'est-il pas temps pour nous aussi d'en parler de manière à convenir dans et hors le PQ de ce qu'il faut pour que le congrès à se tenir dans 17 mois soit bien celui qui permette d'établir pour le PQ une plateforme électorale indépendantiste digne de ce nom et endossée par l'ensemble de la mouvance souverainiste dans ses points essentiels à mettre en commun ? Cela de manière à faire l'UNION souverainiste qu'il faut pour susciter l'UNION du peuple souverain du Québec. Un peuple uni jamais ne sera vaincu. Ne doit-on faire cette union pour vaincre ?
    Personnellement, je propose que nous mettions de l'avant un projet de Programme commun de souveraineté endossé par toutes les composantes souverainistes, partis politiques, organisations et groupes réunis.
    17 mois, ce n'est pas trop pour étudier, discuter, nous entendre sur le contenu de tel Programme commun que pourrait adopter le Congrès national du PQ.
    Un projet lancé par M. Michel Laurence dans son blogue - Manifeste pour un Québec fier, propose d'abord la réunion de nos forces et composantes ( organisations, groupes et personnes ) sous la bannière emblématique du RIN, de manière à favoriser l'UNION souhaitée. Il tente avec madame Nicole Hébert de vous joindre pour vous inviter à joindre les rangs de ce RIN - PRISE 2, vous qui êtes une figure emblématique du RIN historique. Soit dit en passant, madame Hébert vous a écrit ici dans Vigile à cet égard.
    Lettre à Andrée Ferretti - Tribune libre de Vigile - 14 mai 2009

    Madame Ferretti, j’éprouve le besoin de vous exprimer mes regrets.

    J'appuie son projet. Et vous ?

    Sinon, comment voyez vous les choses pour la suite des choses ?
    Certes, on s'entend là-dessus, le PQ doit être prêt pour la prochaine élection à mettre de l'avant un projet de pays, et nous pouvons, nous, de notre côté, dans et hors le PQ, QS, et le PI, travailler à décrire le contenu de ce projet. Quel pourrait-il être d'après vous ? Comment doit-il se mettre en place ?
    Je pense aussi que nous devons travailler à faire l'UNION souverainiste qu'il nous faut pour faire des prochaines élections à Ottawa et Québec, des élections décisives qui enclenchent le processus permettant au peuple souverain du Québec d'invalider l'État du Canada jamais nommément soumis à ses voix et qui s'impose de force et d'autorité à Québec depuis 250 ans le 13 septembre 2009.
    Le logo ci-haut n'est qu'une proposition de ma part, faite à partir du travail graphique de :
    Patriotes-Citoyens - Collectif IQ-Identité québécoise - © 2009

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mai 2009

    Madame Ferretti,
    Je ne comprends pas trop ce que veux dire M. Curzi, du moins pas de la façon dont vous la rapportez.
    On rapporte qu'il a dit aussi : «On dit que la souveraineté n'est que pour les baby-boomers. Ce n'est pas vrai. C'est bien de voir du sang neuf. C'est bien de voir que les jeunes nous poussent pour nous donner de la vigueur. » La Presse - Manifestation souverainiste à Montréal
    Il a déclaré d'après vous « que le seul véhicule apte à mener à l’indépendance était le Parti québécois ». Je ne comprends pas que vous le lui reprochiez. N'est-ce pas ce que tant de gens disent vouloir, exige devoir entendre du PQ depuis si longtemps, souvent avec tant de hargne ? Or, quand le PQ dit qu'il est « le véhicule de l'indépendance », ne faut-il pas applaudir ?
    Cela dit, que M. Curzi dise que le PQ est le seul parti politique « apte à mener à l'indépendance », il préjuge que QS ne pourra obtenir les appuis qu'il faut, cela certes est discutable, mais bon... Cependant le dire, dire le mot indépendance, n'est-ce pas affirmer que le PQ désire être ce que nous voulons qu'il soit, n'est-ce pas affimer qu'il dit l'être, qu'il veut l'être ce parti politique que nous voulons. N'est-ce pas ce que nous voulons qu'il dise ce PQ qu'on accuse de ne pas le dire.
    N'est-ce pas ce mot indépendance qu'on veut voir proclamé par le PQ ?
    Quel est le problème qu'il le fasse ?
    N'est-ce pas le signe que le PQ est ce que nous voulons qu'il soit ? Ou recommence à l'être ? Cela dans la foulée de l'annonce faite par madame Marois en avril dernier qui annonçait que chaque comté préparait la mise à niveau du Projet de souveraineté « Pauline Marois promet de rafraîchir le projet de souveraineté pour le congrès national de 2010 » Le Soleil - 2009 04 17
    N'est-ce pas ce qu'on veut : que le PQ parle de souveraineté, d'indépendance ?
    N'est-ce pas ce qu'il fait ou promet de faire dans chaque comté, et aujourd'hui par la voix de M. Curzi marchant avec les jeunes initiateurs de cette marche, en appui à leur démarche ?
    Cela dit, effectivement, M. Curzi devrait considérer que le PQ n'est plus le seul en piste, même s'il pense ou veut qu'il soit le seul apte à le faire, cela est discutable. QS est aussi de la partie maintenant, pour ne parler que des partis politiques représentés à l'Assemblée nationale. Le PQ n'est plus le seul et il doit pour l'être encore, déboucher dans 17 mois sur autre chose que ce qu'il a mis de l'avant depuis après le référendum perdu de 1995.
    Ce qui change tout. Le PQ doit désormais quoiqu'il advienne, devoir composer avec cette nouvelle donne. Cela parce que les éventuels succès futurs de QS devront obliger même la formation d'une coalition pour que les souverainistes puissent gouverner dotés des pouvoirs d'un gouvernement majoritaire. Cela devrait se préparer maintenant, à commencer par ne pas ignorer les autres composantes de la mouvance souverainiste.
    Et nous, de cette mouvance dans et hors du PQ, qu'est-ce qu'on fait ?
    Suite ici-bas

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mai 2009

    Plusieurs des nouveaux élus au pq se pensent encore dans un parti indépendantiste dans lequel, pourtant, on n'y retrouve, surtout, que des «indépendantristes» comme le disait si bien Charlebois
    Ils vont trouver cela difficile à prendre lorsqu'ils vont se réveiller de leur cauchemar; à moins qu'ils ne soient contaminés par le «pouvoir pour le pouvoir» comme plusieurs l'ont déjà été.

  • Christian Montmarquette Répondre

    24 mai 2009

    Bonsoir Madame Ferretti,
    Quel plaisir de vous retrouver et de vous entendre.
    On s'explique assez mal ce qui passe avec Monsieur Curzi. Ou enfin, on ne le sait peut-être que trop.
    Curzi est sans doute un politicien dans le sens le plus conventionnel du terme ; partisan, il prêche pour sa paroisse, tout simplement.
    D’un certain point de vu,ne pourrions-nous pas aller jusqu'à dire, qu'il est «loyal» envers son parti ; un parti qui, faute de pouvoir défendre l'indépendance avec un projet de société progressiste, n'a guère rien d'autres choses à se mettre sous la dent qu'un vague «nationalisme culturel» et encore... Car c'est bien le PQ lui-même qui avait à toutes fins pratiques, mis la hache dans le Ministère des relations avec les citoyens et de l'Immigration (MRCI) dont un des rôles les plus fondamentaux consistait à franciser les nouveaux arrivants.
    Outre la notoriété et la grasse pension à vie après de deux mandats, je ne comprends pas comment cet ex-président de l'Union des artistes (UDA) fait pour appuyer le PQ et ne pas appuyer Québec Solidaire, puisque les trois quarts du Bottin des membres de l'UDA ne sont pas loin de côtoyer la misère, sinon de crever de faim.
    Ici comme ailleurs, il faut croire que le carriérisme et l'opportunisme poursuit l'insipidité son oeuvre...
    Avec tous mes respects et toute mon admiration,
    _____________________

    Christian Montmarquette
    Membre Québec Solidaire depuis ses origines
    Musicien et membre de l’Union des Artistes (1977 / 1991)
    Militant pour l’éradication de la pauvreté et l’indépendance du Québec
    Courriel : chmontmarquette@yahoo.fr
    Références :
    [Appuis saisissants des artistes à Québec solidaire
    La Gauche marque encore des points !->http://www.vigile.net/La-Gauche-marque-encore-des-points]

  • Charles Laflamme Répondre

    24 mai 2009

    Bonjour Mme Ferretti,
    Un bateau n'ira jamais plus loin que ce que le capitaine et ses conseillés décideront et ce, malgré toutes les bonnes volontés investies par ceux qui l'ont construit et affretté, malgré les efforts escroquées à ceux qui y investissent leur coeur et leur temps.
    À l'heure actuelle tous ceux et celles qui ont le souci du peuple et de son foyer national avant tout confrontent le PQ face à son immobilisme et le font mal paraître. Dire la vérité ne devrait pas être considéré comme de l'acharnement contre le navire mais une dénonciation de ceux qui le retiennent en otage et s'en servent comme bateau de croisière. Et l'on voit appraître ces spécialistes de la déliquescence qui essaient de noyer ou dévier les sujets initiés par ceux qui s'inquiètent pour la patrie et son patrimoine.
    Le souci du peuple fait naître les causes. Les causes donnent naissance à des mouvements de solidarité où chacun investit de lui même selon ses talents.
    Les mouvements génèrent parfois des partis politiques en appui à la cause qui elle, existe par le peuple et pour le peuple. PAS EN SENS INVERSE!!! Sinon le peuple est oublié et ses intérêts fondamentaux sacrifiés.
    En 1995 Jacques Parizeau, au référendum, avait établi une communication directe entre le Peuple du Québec et l'État. Il était donc non seulement de son droit mais aussi de son devoir d'informer directement ce peuple de ce qui n'avait pas été honnête ( Les dizaines de miliers d'immigrants reçus citoyens avant le référendum). Jacques Parizeau a un respect du peuple qui n'a son égal que dans l'amour, la fidélité et le dévouement qu'il a toujours eu pour le Québec. Si ceux de son entourage l'avaient appuyé en élaborant ses affirmations au lieu de déchirer leurs chemises, c'est DEUX MILLIONS de personnes qui seraient restés debout. Ce sont ces tacticiens peureux et à courte vue qui se sont littéralement excusés d'avoir appuyé un référendum qui ont fait reculer la destinée du Québec et dispersé ses forces vives. Plusieurs d'entre gravitent encore malheureusement dans le giron des décideurs.
    Ce ne sont pas ceux qui veulent continuer à se battre pour protéger ce que les Québécois ont construit qui trahissent le peuple et le Pays.
    La consigne du silence avec la complicité de ses défenseurs face à la duperie a toujours eu quelque chose d'incestueux.

  • Archives de Vigile Répondre

    24 mai 2009

    Bravo tout de même à M. Curzi pour être venu.
    Bravo aux organisateurs et organisatrices.
    Mais honte au Parti Québécois pour ne pas avoir appuyé officiellement cette marche. Je pourrais dire la même chose pour toutes les centrales syndicales à part la CSN qui était la seule présente.
    La marche était superbe. Il y avait plus que seulement 500 personnes comme le mentionne Cyberpresse.ca. Nous étions quelques milliers.
    Il doit y avoir d'autres manifestations cette année pour le pays du Québec. Il faut aussi manifester à chaque jour dans chacun de nos actes. Nos députés doivent aussi manifester dans chacune de leurs interventions. Il faut exiger le service en français. Il faut exiger que nos amis, nos voisins, les étrangers, nos collègues de travail, et nos patrons nous parlent en français. Il faut faire le rapport entre l'actualité et la nécessaire indépendance, chose que nos députés souverainistes ne font pas.
    Si on s'y mettait, le pays, on l'aurait en un rien de temps.
    Daniel Roy, C.A.