Bataille électorale dans Mercier

Serrons-nous les coudes pour l’avoir enfin, notre pays

il n’y aura pas de gros progrès au Québec tant que le Canada va décider à notre place

États généraux sur la souveraineté

Avec les travailleurs d’Avéos, jetés à la rue dans l’indifférence de Stephen Harper et Jean Charest, cela fait un an que je critique, que je m‘oppose, que je résiste, beau temps, mauvais temps, dans la rue, en cour ou dans les comités parlementaires. Et, depuis des mois, j’ai usé mes bottines sur l’asphalte de Montréal avec les étudiants.
Mais là, je suis tanné de protester. Je suis, comme vous, tanné d’être insatisfait. Je veux m’impliquer pour que les choses changent pour vrai. Et c’est pourquoi je plonge en politique. Et pas n’importe-où: dans Mercier, qui a toujours été le phare de l’indépendance et du progrès social au Québec.
S’il y a une chose que j’ai appris de la mésaventure d‘Avéos, c’est que notre monde écope quand c’est le Canada qui décide à notre place. Pendant tout le temps qu’on perd à se chicaner et se diviser entre-nous, Stephen Harper continue sa job de bras contre le Québec, notre culture, nos travailleurs, l‘environnement, la solidarité. Et ce n’est pas Jean Charest qui va lever le petit doigt pour l’arrêter.
Il est temps de mettre Jean Charest à la porte. Et pour cela, il faut que le Parti Québécois remporte plus de sièges que le Parti Libéral. C’est mathématique: chaque siège compte, Mercier compris!
Quand j’entends quelqu’un dire qu’il ne s’intéresse pas à la question nationale mais qu’il veut tirer le Québec à gauche, je viens hors de moi. Il est temps de le dire franchement: il n’y aura pas de gros progrès au Québec tant que le Canada va décider à notre place. On n’a même pas d’État pour réaliser un projet de société! Laisser Harper diriger le Québec à partir d‘Ottawa, ça ne peut pas nous faire pas avancer. On n’a plus rien à voir avec ce pays-là.
Nos divisions, même pleines de bonnes intentions, c’est du temps qu’on perd. Québec Solidaire, je suis d’accord avec plusieurs de leurs idées mais depuis leur création, les libéraux n’ont jamais été battus. Tant que Jean Charest était bien en selle, l‘opposition radicale, c‘était utile. Mais maintenant qu’on a la chance de le mettre à la porte et de remettre le Québec en marche, faut sortir de l‘opposition et être à la pointe du mouvement qui s‘amorce.
Pierre Bourgault a été candidat du Parti Québécois en 1970 dans Mercier. Gérald Godin a été député ici pendant près de 20 ans. Le Plateau a une longue histoire des députés péquistes qui sont plus proche de leur monde que des officines du Parti, des députés qui ont choisi de ne pas s’exclure du jeu et d’être au cœur du mouvement indépendantiste pour pouvoir l’influencer.
C’est assez le niaisage et les chicanes de famille! Serrons-nous les coudes dans Mercier. Réintégrons le mouvement indépendantiste et faisons comme nous avons toujours fait: tirons-le par en-avant.
Pour ma part, je n’ai pas envie d’attendre 10 ans, les bras croisés, que les conditions gagnantes tombent du ciel. Dans les mois suivant mon élection, je compte bien organiser un sommet indépendantiste du Plateau et du Mile-End.
Passons par-dessus nos différences partisanes, travaillons fort tous ensemble et soyons la locomotive de l’indépendance. On est capable, on l‘a déjà fait. C‘est bien d‘être debout mais c‘est mieux d‘avancer.
Jean Poirier
Candidat du Parti Québécois dans Mercier


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21 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    6 février 2013

    Monsieur Poirier, je remarque comme toujours, les gens parlent mais ne réfléchissent pas.
    On Critique Mde Marois, mais je vous dirais que n'impote qui serait refroidi quand on apprend, Que dans
    la police Provincial il y a une taupe !
    Je comprends mainteant la crainte de certains Premiers ministre Sauf bouchard ... ?
    Nous avons la mauvaise habitude de tout chargé sur le ou la Première ministe (les fédé en bavent de rire !)
    Si nous voulons la souveraineté, dans la rue dès qu'un événement s'y prêtera on dit Avril tant mieux.
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  • Archives de Vigile Répondre

    24 août 2012

    Se rassembler pour jeter à la rue Charest est un objectif de changement de gouvernement. On peut se rassembler derrière cet objectif, mais changer de gouvernement pour un autre ne nous fera pas nécessairement avancer vers l'indépendance.
    Il faut viser un changement de régime, un changement de pays, pas un changement de gouvernement.
    On peut être très sceptique sur l'ACTION que va mener Madame Marois si elle prend le pouvoir: ce sera pour gérer la province ou nous amener vers la souveraineté? Même des conflits avec Ottawa ne nous amènent pas vers l'indépendance si les solutions trouvées sont dans le cadre du régime fédéral.
    Si elle nous fait avancer vers l'indépendance, très bien, mais avec ce qui est écrit dans le programme du PQ sur la gouvernance souverainiste, il faut avoir la foi que Madame Marois va faire autre chose que ce qui est prévu au programme pour nous faire avancer vers l'Indépendance.
    M. Poirier a confiance, mais combien de gens ont été déçus par les Johnson, Bouchard, Morin et compagnie?
    Un des arguments qu'avancent ceux qui font confiance au PQ est qu'une fois élue, si elle n'obéit pas aux impératifs indépendantistes, les militants vont lui botter le...,s'en débarrasser, la mettre sur la touche, la faire changer d'idée...etc...
    Est-ce si facile? Est-ce si simple d'imposer un changement de direction à quelqu'un qui devient premier ministre et qui contrôle l'appareil du parti et des centaines d'attachés politiques?
    Or, avec ce qu'on vient de voir avec les référendums d'initiative populaire où madame Marois a changé d'idée aujourd'hui d'avec les déclarations du début, on peut se poser la question: que font ceux qui veulent la remettre sur le droit chemin? N'est-ce pas plus facile d'agir maintenant avant qu'elle devienne première ministre? Comment lui faire changer d'idée une fois qu'elle sera devenue première ministre et aura tous les pouvoirs? Et si le projet de loi sur les RIP mourait au feuilleton...
    M. Christin Larose-Nguyen, écrit à M. Poirier:"
    Vous avez mon vote, monsieur Poirier, même si le programme d’ON est celui qui me rejoint le plus. Mais vous êtes mieux de ne pas me décevoir !"
    Et s'il vous déçoit, que ferez-vous? Il sera en poste, avec Madame Marois, que ferez-vous pour que la parole donnée soit respectée? Il sera trop tard. Il faut donc s'assurer avant l'élection que les politiciens mettent leurs têtes sur le billot et que les gestes posés soient dans le sens de l'indépendance: par exemple, Madame Marois a-t-elle causé des problèmes à M. Saint-André ou à M. Breton? A-t-elle coupé les vivres au journal Le Québécois ou à La presse ou au Journal de MOntréal? A-t-elle adouci ou non le programme du PQ en 2012 par rapport à celui de 2008?
    Si vous votez PQ pour battre Charest, vous ne serez probablement pas déçu! Mais les indépendantistes doivent désirer plus et agir plus pour le pays.
    J. Binette
    Montréal

  • Henri Marineau Répondre

    23 août 2012

    @ André vincent
    "Il est une chose, une phrase qui a été dite et répétée et répétée je ne sais combien de fois, et qui, je ne sais trop pourquoi, ne semble pas être entendue, ni comprise. C’est une phrase toute simple, pourtant facile à comprendre et qui tombe sous le sens : POUR FAIRE L’INDÉPENDANCE’ IL FAUT D’ABORD PRENDRE LE POUVOIR !"
    Encore faudrait-il que le parti qui PREND LE POUVOIR, à savoir le PQ selon vous, veuille FAIRE L'INDÉPENDANCE...avant la semaine des quatre jeudis!

  • Archives de Vigile Répondre

    23 août 2012

    C'est drôle, tout le monde dit que les politiciens sont croches, qu'ils répètent les mêmes formules pré-formatées. Or, ici, le seul texte où je sens un fond d'honnêteté, c'est celui de monsieur Poirier. Les commentaires ne font que répéter les mêmes radotages que leurs partis nous rabâchent sans cesse. Un peu de grandeur, de grâce!
    Il veut votre aide pour faire l'indépendance? Vous répondez "va chier, tu fais pas partie de ma chapelle".
    Il déplore que ni Québec ni Ottawa n'aient fait quoi que ce soit pour faire respecter la loi qui exigeait d'Air Canada qu'elle maintienne ici ses activités d'entretien d'avion? Vous dites: y-a rien à faire, tu te bats pour rien, pis en plus c'est presque de ta faute. De toute façon, tu mérites pas considération, tu fais pas partie de ma chapelle. (et à celui qui dit que 2 000 emplois à 60 000$ par année, c'est des pinottes, je ne vous dirai pas ce que je pense de votre turpitude morale pour en pas écrire des grossièretés sur ce blogue respectable)
    Si je n'étais pas un indépendantiste convaincu, je voterais fédéraliste, juste à voir à quel point le bien commun semble absent du schème de pensée des indépendantistes contributeurs à cette page. La congrégation pour la doctrine de la foi fait montre de plus d'ouverture.
    Monsieur Poirier a frappé à ma porte durant la campagne. De quoi m'a-t-il parlé? Eh bien exactement de la même chose qu'il écrit ici. Pas de faux-fuyants, pas de messages différents selon la langue du dépliant, pas de flou calculé pour racoler des votes.
    Je crois en son honnêteté. Et je sais que, par-dessus les points de doctrine, il met deux choses en tête de tout: le bien-être des gens qu'il a pour mandat de défendre et l'indépendance du Québec. Je le veux comme député. Et malgré la partisanerie de certains, je vais travailler fort pour lui d'ici la fin de la campagne. Pour qu'il gagne, malgré les doctrinaires.
    Marc-André Roche
    Maintenant bénévole pour Jean Poirier sur le Plateau

  • Archives de Vigile Répondre

    23 août 2012

    Mais nous l'avons déjà, notre pays!! Il lui manque seulement d'être INDÉPENDANT. On dirait que tout le monde a peur du mot INDÉPENDANCE. Même Jean-Martin Aussant, sur ses affiches électorales, n'inscrit pas le mot. La vraie question est : «Voulez-vous que votre pays devienne enfin un pays indépendant?» Bien sûr que pour pouvoir poser une question aussi claire, il faut d'abord prendre le pouvoir. Et ensuite il ne faut pas la poser le lendemain des élections parce qu'il y a d'abord un sérieux travail «pédagogique» à faire. Il faut en effet persuader beaucoup de monde que ce serait avantageux d'être un état indépendant... du Canada.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 août 2012

    M. Poirier, avez-vous perdu la boussole électorale ? En votre appel "cri du coeur", vous vous faites partisan d'Option nationale, pas d'un PQ devenu quêteux de pouvoirs provinchiots depuis des lustres ayant renoncé au projet du pays Québec.
    Les péquêteux de pouvoirs d'intendance coloniale-provinciale, tout comme les caquêteux, veulent nous voir revenir à la même dynamique politique vécue durant les années s’échelonnant de 1981 à 1992 sur la question nationale, en proposant de raviver les vieilles chicanes d'une quête de lestage de pouvoirs constitutionnels par le Rocanada en faveur de sa colonie Kwibek, dynamique stérile ayant mené à l’Acte constitutionnel de 1982. Ignorez-vous que depuis 50 ans le Rocanada ne cesse de nous répondre NO: “The ONLY way is MY way, is NO way !”
    Seuls les partis ON et QS proposent une suite logique à notre lutte nationale pour l’indépendance, une stratégie autre qu’un retour à la quête stérile d'un statut colonial "particulier" en une reconnaissance floklorique par le Rocanada de la nation en sa colonie Kwibek, une stratégie réductrice interrompue, même par le Roi Ubu Bouchard, en 1996 suite au référendum de 1995 où nous n’étions qu’à un demi point d’une majorité absolue de Québécois en faveur du rejet de la domination politique du Rocanada sur sa colonie Kwibek, en faveur de l’abolition du statut politique colonial-provincial du Québec légué par le Conseil privé de Londres (l’Angleterre) au Rocanada en 1982.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 août 2012


    Il est une chose, une phrase qui a été dite et répétée et répétée je ne sais combien de fois, et qui, je ne sais trop pourquoi, ne semble pas être entendue, ni comprise. C'est une phrase toute simple, pourtant facile à comprendre et qui tombe sous le sens : POUR FAIRE L'INDÉPENDANCE' IL FAUT D'ABORD PRENDRE LE POUVOIR !

  • Archives de Vigile Répondre

    23 août 2012

    "S’il y a une chose que j’ai appris de la mésaventure d'Avéos, c’est que notre monde écope quand c’est le Canada qui décide à notre place."
    Dans le cas d'Aveos c'est totalement faux. Le gouvernement fédéral n'a rien à voir avec la disparition de Aveos mais les coûts de la main d'oeuvre, les avantages sociaux et la syndicalisation probablement oui.
    Ces "emplois" dans les domaines tel que l'aéronautique, l'informatique, etc sont beaucoup trop grassement subventionnés par TOUS les paliers de gouvernement donc par les contribuables particulièrement au Québec.
    Aveos ne faisait pas de création de produits ou d'innovation mais faisait uniquement de la maintenance de moteurs, de composants, etc, activités qui peuvent tout aussi bien être effectuées avec les mêmes technologies et certifications dans des pays avec un coût global inférieur de 50 % à ceux de Montréal. D'accord pas d'accord ainsi va la vie dans le système néolibéral.
    Tant qu'au candidat de QS dans Mercier il a largement prouvé, à l'assemblée nationale et ailleurs qu'il était un excellent député et je ne vois aucune raison pour laquelle les électeurs de Mercier ne l'élirait pas de nouveau. Que je sache il est du côté du oui, mais pas dans les jupes à Pauline....

  • Archives de Vigile Répondre

    23 août 2012

    QS est plus occupé à frapper sur le PQ que sur les partis de la droite fédéraliste. Face à ce reproche, les "solidaires" mettent la cassette de la proportionnelle.
    Certains regrettent que Jean Poirier se présente contre Khadir. Mais si Françoise David avait trouvé autre chose à faire que d'essayer de battre Nicolas Girard, Jean Poirier serait sans doute dans une autre circonscription.
    QS fait la guerre au PQ et il faudrait que le PQ soit magnanime!!

  • Archives de Vigile Répondre

    22 août 2012

    Croyez-vous sincèrement que Bourgault ou Godin appuieraient la plateforme du PQ aujourd'hui?
    Pas du tout! Ils seraient indignés de voir l'indépendance reléguée à l'arrière-plan.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 août 2012

    ici la terre , ici la terre me recevez-vous dans la huitième dimension ? Pauline Marois veut le vote des fédéralistes , je répète Pauline veut le vote des fédéralistes , quel riche idée pour créé un pays don't you think my friend ?
    Après cette brillante idée , je vote Option nationale le PQ c'est de la scrap depuis LULUcien Bouchard

  • Archives de Vigile Répondre

    22 août 2012

    "Quand j’entends quelqu’un dire qu’il ne s’intéresse pas à la question nationale mais qu’il veut tirer le Québec à gauche, je viens hors de moi. Il est temps de le dire franchement : il n’y aura pas de gros progrès au Québec tant que le Canada va décider à notre place."
    Monsieur Poirier,
    Pensez-vous sérieusement que si le Québec décide seul, tout va s'arranger comme par enchantement.
    Il y a plein d'Elvis Gratton au Québec qui mette la faute sur les assistés sociaux à 589$ par mois pour tout ce qui va mal et cela ne changera pas de sitôt. Ça fait trop partie de la personnalité du Québécois "pure laine". Pierre Falardeau l'avait bien compris.
    C'est notre riche aristocratie québécoise de la finance et des affaires qui doit bien rire alors qu'elle détourne le bien commun à son profit avec la bénédiction des innombrables Elvis Gratton que compte la province...

  • Frédéric Picard Répondre

    22 août 2012

    Un Syndicat, c'est réactionnaire de nature. Strict, rigide, mu par la convention de l'article 35.1 a bis tiret IV, annexe rose.
    Pas étonnant de voir un syndicaliste au parti Québécois et qui plus est, essayer de défaire Amir Khadir. Amir Khadir propose un modèle de gauche moins institutionalisé, plus anarchiste que le modèle ronronnant étatique du PQ ou des syndicats du SCFP.
    En tout respect, dans Mercier, c'est VOUS, monsieur Poirier, qui divisez le vote. Si Amir Khadir a tous les votes du PQ dans Mercier, le libéral ne passera jamais. Si on se base sur l'argumentaire de la division (donc de la peur), c'est celui qui a moins de votes qui doit céder, pas celui qui a moins de sièges. Donc, vous !!!
    Jean Poirier, contrairement à Amir Khadir, aurait du se lever pour supporter l'aréna du Labeaumistan pour faire plaisir au bichon maltais.
    Jean Poirier, contrairement à Amir Khadir, croit à la souveraineté dans la semaine des 4 jeudis, parce que c'est la position du chef et que, dans un syndicat, faut être solidaire.... so so so... Ce que vous appeller le serrage de coudes.
    Moi, je me suis fait bousculer par les gros bras du PQ, est-ce que ça compense? Que le PQ truque une assemblée d'investiture en y dépechant des videurs de bars, ça me répugne.
    Je ne voterai pas dans Mercier. Mais si j'y résidais, je voterais surement pour QS.
    Je voterai pour ON, dans St-Jean... et diviserai le vote. J'aime mieux voter avec mon coeur qu'avec la peur.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 août 2012

    Ça transpire l'honnêteté!
    Et si, après tout, l'unité se faisait à l'extérieur des chicanes orchestrées par les officines des partis et se faisait, comté par comté, par des gens qui mettent la cause avant le parti? Ça vaut la peine d'essayer, non?
    Vous avez mon vote, monsieur Poirier, même si le programme d'ON est celui qui me rejoint le plus. Mais vous êtes mieux de ne pas me décevoir!
    Christin Larose-Nguyen

  • Jean-Pierre Bouchard Répondre

    22 août 2012

    À cette heure du 22 août tout est ouvert pour une victoire libérale ou caquiste tout simplement parce que le vote francophone n'est pas divisé mais balkanisé, en voie d'émiettement. L'avance du PQ dans les sondages n'est qu'une avance précaire. Il semble que le ciment a pris pour ce vote balkanisé. Un sondage canadien mais sondage quand même met les libéraux en avance, c'est peut être plus qu'une tactique aléatoire. Quel est l'intérêt d'un groupe de presse de là bas de favoriser les libéraux dans un sondage dont le gouvernement est si contesté?
    Une chose puisque le ciment semble là. Si les libéraux sont réélus le 4 ou les caquistes, Quelle sera votre position détracteurs du PQ?
    La faute au PQ, oui et non. Le PQ ne pourra être tenu complètement responsable de la victoire d'un des partis appuyé par la famille Desmarais ni secondairement Pauline Marois qui n'est pas une personne politique imbuvable ou nulle totale. Les nouveaux partis de la gauche ou de la souveraineté auront leurs parts de responsabilité.
    Et penser le contraire ne serait pas scientifique.
    Salutations à M.J.Poirier et aux candidats péquistes du Montréal centre et de l'Est.

  • Serge Jean Répondre

    22 août 2012

    Dites au peuple tout ce qui lui appartient, dites -lui qu'il n'est pas un locataire sur cette planète,que tout lui appartient sur son territoire, absolument tout. Dites-lui que se faire voler,son pays et ses richesses génère beaucoup d'emplois fumistes et serviles, mais que posséder la richesse de son pays génère beaucoup d'occupations saines et agréables, et aussi beaucoup de richesses, de liberté et de santé avec des citoyens équilibrés qui ont le temps de vivre et de se parler entre-eux, qu'ils n'ont pas à courir après l'argent qu'on leur vole à chaque instant puisque c'est eux la richesse et qu'ils sont les seuls propriétaires de cette richesse.
    Dites-leur que se faire promettre des emplois et plus de médecins,ou tout ce que vous voudrez,est un aveux qu'effectivement tout ça ils se le font voler à chaque jour. Dites-leur ne vous gênez pas et le peuple ne tardera pas à s'accouder pour reprendre TOUT son bien.
    Jean

  • Marcel Haché Répondre

    22 août 2012

    Bonne chance Jean Poirier.Toute l'industrie de l'aéronautique au Québec mériterait bien d'avoir l'A.N. quelqu'un qui connaît cette industrie à partir du point de vue de la main d'oeuvre.
    Les emplois bien payés existent déjà.Pas besoin de Plan Nord pour rêver et pas besoin de la baguette magique de Legault pour les créer.Mais Nous aurions bien besoin de vous pour empêcher que le Canada Nous en vole.
    Bonne chance.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 août 2012

    C'est bon d'avoir des illusions et de montrer de la bonne volonté, mais voyez-vous on a été échaudé pas mal avec le PQ et on est méfiant. Avons-nous le droit de l'être?
    Pierre Cloutier

  • Gilles Ouimet Répondre

    22 août 2012

    Entièrement d'accord. Je suis un électeur beaucoup plus près de Québec Solidaire idéologiquement mais jamais ils n'auront mon vote avant qu'on ait réglé notre problème existentiel. On n'a pas les moyens de mélanger nos combats. Il y a un ordre à suivre. Quand on aura un pays, je voterai pour eux.
    Et là, je me demande si cela arrivera..

  • Mario Boulet Répondre

    22 août 2012

    Monsieur Poirier,
    Je vous souhaite bonne chance dans votre combat. Reprenez ce comté perdu aux mains de Québec Solidaire. Des lanceurs de souliers à l'Assemblée nationale, c'est révolu. N'est-ce pas ce lanceur qui a déclaré la semaine dernière que la souveraineté n'est pas nécessaire?

  • Nestor Turcotte Répondre

    22 août 2012

    Et comment pouvez-vous avancer, quand le chef de votre parti à mis au rancart l'article I du programme du parti Québécois? Je vous trouve bien drôle. A moins qu'on ne vous l'ait pas dit que l'article I était disparu...
    Et cet article I a été biffé sans passer par un Congrès général. On avance ou on recule?
    Lisez le programme de 2005 et lisez le programme de 2011...et vous verrez que vous reculez...
    Nestor Turcotte