SPEAK WHITE. Encore.
Et dire qu'on entend chez certains citoyens québécois francophones un discours d'auto flagellation qui laisse entendre que le nationalisme québécois et la défense de la langue française (tout comme le projet de charte sur la laïcité) conduisent à la xénophobie, au racisme, à l'intolérance et qu'au final les pauvres anglophones sont mal traités au Québec.
Et dire que certains anglophones québécois se plaignent du manque de service et de mauvais traitements du fait de voir la langue française être sauvegardée à bout de bras par la majorité francophone. Certains fous furieux disent même avoir peur de parler anglais dans les rues de Montréal...
Et dire qu'on entend même que les anglophones du Québec sont moins bien traités que les minorités francophones au Canada. Oui j'ai entendu ça lors d'un échange brûlant avec de jeunes Universitaires gau-gauche hyper brillants et qui au fond méprisent leur propre peuple en harmonisant leur pensée avec les messages du brainwashing multiculturel Kanadian à la Taylor aussi endossé en partie par une certaine gau-gauche politique et ce autant concernant la langue, l'indépendance ou la laïcité. Cette gau-gauche qui traite les Québécois de xénophobes ou d'intolérants, ou le laisse entendre ce qui n'est pas mieux... Je me le suis fait dire encore hier, «interdire le voile islamique chez les employées de l'état ou les profs mènerait à la guerre», on m'a même fait un lien avec le nazisme et les juifs pour être certain que je comprenais bien l'allusion psychotique.
Voilà où conduisent les prises de positions répétées de certains politiciens que je ne nommerai pas parce que ça m'attriste trop et parce que la liste est trop longue, voilà où nous conduisent les papiers de ces torchons comme La Presse et qui pisse sur le peuple Québécois à répétition depuis si longtemps, voilà où conduisent les grandes pensées de ces vendeurs de balais comme Taylor, voilà où nous conduit le mauvais souvenirs de Trudeau.
Mais en attendant la réalité, elle qui nous ramène toujours à l'ordre, la réalité est tout autre. La vérité est ailleur.
Je vous invite à suivre le lien plus bas et a aller lire ce texte du Devoir. C'est tout frais ! Et tentez d'imaginer ensuite qu'une chose pareille se passe au Québec face à des anglophones!
IMAGINEZ CE QUI SE PASSERAIT???
De quoi nous traiterions-nous ?
Le brainwash du multiculturalisme à déjà fait ses dégâts. Il y a toute une jeunesse qui par manque de sérieux cours d'histoire et par amalgames de certaines idées attrayantes, je devrais dire par confusion et par perversion du sens et de la réalité, ce qui serait plus juste, il y a toute une jeunesse dis-je qui mélange, lutte au capitalisme, antiaméricanisme, nationalisme québécois, xénophobie, ouverture sur le monde, acceptation des autres et de leurs libertés individuelles au prix du mépris des droits collectifs et font une soupe avec tout ça sans même savoir vraiment ce qui se passe en réalité. Ça me jette par terre. Ça me révolte.
Regardez le dérapage avec le débat sur la charte, regardez les prises de positions de personnes comme Madame David. Ce n'est pas n'importe qui quand même. Ou écoutez certains aspirants maires de Montréal évocant les tribunaux pour briser une loi sur la laïcité. C'est pas rien. Tout ça ne fait que valider la confusion dans la tête des jeunes convertis. C'est une catastrophe nationale.
Non les Québécois ne rêvent pas. Ils doivent défendre leur langue, leur culture et leur choix sociaux tel la laïcité et l'égalité homme-femme. Même si il faut se battre contre des personnes qui se sont pourtant dit féministes pendant des années.
Les Québécois ont en plus le devoir de se battre contre le fameux multiculturalisme Kanadian. Il faut l'arracher comme de la mauvaise herbe, cachée en arrière de fausses bonnes pensées.
Non, nous ne rêvons pas et les anglophones québécois, tout autant que toutes les minorités linguistiques et culturelles sont bien traitées au Québec. Et c'est tant mieux. Soyons-en fières. Soyons même meilleur encore si c'est possible, nous n'en serons que plus fières encore collectivement.
Mais réalisons ici que pour nos amis francophones du reste du Canada c'est une tout autre réalité.
Parlez moi encore d'intolérance.
SPEAK WHITE.
http://www.ledevoir.com/politique/c...
Parlez-moi encore d'intolérance... Parlez-moi de mépris.
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8 commentaires
Archives de Vigile Répondre
28 octobre 2013Ajoutez, à votre carnet d'adresses la liste des entreprises du speak white en sol Québécois.
http://www.oqlf.gouv.qc.ca/francisation/entreprises/ententes.html
Dans cette liste vous trouverez avec étonnement deux entreprises unilingues anglo américaines, dont les subventions de dix et quatre millions financées par nos impôts, ont été approuvées par Pauline Marois et les péquistes du PQ.
Éricsson Canada inc. a obtenu son certificat de l'apartheid le 11 mai 2012. Lockheed Martin Canada inc. le 26 avril 2013. Après 35 ans de Loi 101.
Ce matin, Pauline Marois annonce une subvention 20 millions, cette fois à une autre des entreprises du speak white, Pratt & Whitney.
Les conseillers politiques des péquistes au gouvernement du Québec n'appellent pas ces entreprises qui pratiquent le racisme par l'unilingue anglais au travail, en sol québécois, de l'apartheid. Mais, bien des « ententes particulières ».
Comme quoi nous sommes tous des francophones imbéciles, mais heureux.
Plus lapidaire que le PQ, contre le travail en français au Québec, tu meurs !...
SP
Archives de Vigile Répondre
21 octobre 2013« Le brainwash du multiculturalisme à déjà fait ses dégâts. Il y a toute une jeunesse qui par manque de sérieux cours d’histoire et par amalgames de certaines idées attrayantes, ...il y a toute une jeunesse dis-je qui mélange, lutte au capitalisme, antiaméricanisme, nationalisme québécois, xénophobie, ouverture sur le monde, acceptation des autres et de leurs libertés individuelles au prix du mépris des droits collectifs... »
Aucun surprise, ici.
Il suffit de constater qu'il y a, a Québec en ce moment, un gouvernement de souverainistes auto colonisés qui ne sont plus francophones, mais bailingues.
Pauline Marois, Bernard Drainville, Jean François Lisée, répondent en anglais aux anglophones, comme les immigrants. Renforçant ainsi l'unité anglo canadienne, au Québec.
La perpétuité du colonialisme au Québec, langue et culture anglaise obligatoire pour tous dès l'âge de six ans, à l'école française, ne provient pas des libéraux du PLQ ou des caquistes de la CAQ.
Elle est bien imposée par les chefs du PQ, Jacques Parizeau, Lucien Bouchard, Bernard Landry, Pauline Marois et ses souverainistes bailingues.
Le speak white est une norme au PQ.
Le mois dernier la PM Pauline Marois annonçait des subventions, au maintient ou à la création d'emplois. Dix millions à Ericsson, quatre millions à Lockeed Martin et dix millions à Ubisoft.
Toute des entreprises du speak white. Qui pratiquent la ségrégation contre les francophones, en imposant l'unilingue anglais au travail. Sinon, c'est la peine de mort. Pas d'anglais = par d'emploi. Tout comme au Canada, au Zimbabuwe et en Afrique du Sud.
Quand les immigrants allophones de Montréal voient aux nouvelles de la CBC et de la CTV ou Global, un Québécois souverainiste du PQ répondre en anglais aux anglophones, tout comme un Canadien libéral du QLP ou de la CAQ, devinez pourquoi ils ne s'intègrent pas et envoient leurs enfants aux collèges et universités unilingues anglaises du Québec.
Jean Francois Lisée a le profil de Justin Trudeau, au sein du PQ. Il propose des services en anglais aux anglophones, plutôt qu'un plan d'intégration à la majorité française du Québec.
Tout comme Rima Elkouri, Sophie Cousineau, André Pratte et Pat Lagacer, de la libérale pesse de Geska, des bilingues, assimilés de l'anglo saxon canadien.
SP
Laurent Desbois Répondre
15 octobre 2013Il y a cinquante ans les québécois francophones étaient moins scolarisés que les noirs américains!
Effectivement, je vois un lien entre le mouvement souverainiste au Québec et l’émancipation des noirs, aux États-Unis et en Afrique du Sud. Personnellement, Nelson Mandela et Martin Luther King m’ont beaucoup inspiré durant les années ’60.
Speak White
Film de Pierre Falardeau en 1980, inspiré du poème de Michèle Lalonde
http://www.onf.ca/film/Speak_White/
Je vous souligne le livre « Nègres blancs d’Amérique » de Pierre Vallière.
http://bilan.usherbrooke.ca/bilan/pages/evenements/1986.html
Plusieurs Québécois ont été emprisonnés par PET pour avoir eu ce livre dans leur bibliothèque en octobre 1970.
Archives de Vigile Répondre
13 octobre 2013Archives de Vigile Répondre
12 octobre 2013Bien dit ! Et le mauvaise herbe pousse plus vite que les bons plants, et devient vite envahissant. Donc ces fausses bonnes idées se multiplient dans la tête de plusieurs et les égarent complètement, biaisant ainsi leurs visions de la réalité.
Mais plusieurs ne veulent pas voir plus loin que le bout de leur nez, et sont prêts à gober n'importe quel courant de pensée, même si ce dernier est contradictoire à leurs supposées convictions. S'il y a un endroit au monde où les «autres» sont biens traités, c'est bien ici au Québec.
On leur donnera tout, jusqu'à temps qu'on ait plus rien, on acceptera sans rien dire les «bons» mots colportés à notre égard jusqu'à temps qu'on se sente écrasé, et tant qu'à faire on leur servira le tout sur un plateau d'argent.
Réveillons-nous, affirmons-nous et reprenons le contrôle de notre société, et ça presse..! Tuons les rumeurs malignes et les faussetés factuelles épivardées à gauche et à droite, avant, qu'à force des les entendre, nous les pensions véridiques. Cessons de plaire et d'accommoder à notre détriment, avant que ce balancier devienne irréversible.
Prenons la place qui nous revient, tenons nous debout, et cessons de céder du terrain !
André Lemay Répondre
12 octobre 2013Et ce lien supposément plus bas dans le texte?
Archives de Vigile Répondre
12 octobre 2013VOICI LE LIEN DE L'ARTICLE DU DEVOIR À LIRE ABSOLUMENT.
http://www.ledevoir.com/politique/canada/383814/les-colonises
Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre
12 octobre 2013Si Le Devoir publie ce matin ce grand texte de Robin Philpot pour dé-sanctifier Paul Desmarais, il pourra bien publier votre si justifiée colère contre le mensonge.
Rapport aux candidats à la Mairie, qui se préparent de beaux refus à Québec pour une nécessaire collaboration dans le développement de la ville, sachons que le seul candidat favorable à une ville de constitution française, Michel Brûlé, s'exprime régulièrement en faveur d'une charte québécoise mais qu'aucun des grands médias (concentrés) ne daigne le répercuter.
Non, notre défaite ne vient pas de l'extérieur. Notre indolence a engendré une nation masochiste.
M. Le Hir, Vigile doit s'extérioriser