Écoles passerelles - Loi 115

"Notre langue n’a pas de prix"

NON à loi 103



la Coalition contre le projet de loi 103, regroupant plus de trente organismes québécois, réitère sa demande d’appliquer la Loi 101 aux écoles privées non subventionnées

La loi 103 va fragiliser le français



En octobre dernier, la Cour suprême du Canada a invalidé la loi 104. Cette loi avait comme objectif d'empêcher le contournement de la loi 101. En effet, avant sa mise en place, plusieurs personnes inscrivaient leurs enfants dans une école anglophone privée non subventionnée pour qu'ils obtiennent rapidement le droit de fréquenter le réseau anglophone public, qui est normalement réservé à la minorité anglophone. ...

Écoles passerelles

Québec est accusé de traîner les pieds dans le projet de loi 103



Lisa-Marie Gervais - L'étau se resserre sur le gouverneme...

La liberté du renard... dans le poulailler

Legally clear and clearly absurd



Quebec governments keep on trying to patch and preserve the dam they have built to prevent parents from exercising language choice in education. How long can they ignore the evidence that parents, including many francophone ones, want more choice, not less?

Les hypocrites au pouvoir - Charest: visage à deux faces!

Forte croissance d'écoles anglaises 100% privées



Sébastien Ménard - Éducation - De plus en plus de parents se serrent la ceinture pour envoyer leurs enfants dans des établissements anglophones entièrement privés, au point où le nombre de...

Projet de loi 103 - Un vrai débat sur la clause dérogatoire



Le gouvernement du Québec a rejeté la recommandation du Conseil supérieur de la langue française (CSLF) d'imposer aux écoles privées anglaises non subventionnées le régime général instauré par la Charte de la langue française (CLF). Il propose plutôt le chemin tortueux de la loi 103. D'après le gouvernement et, paraît-il, de l'avis aussi de l'opposition, suivre l'avis du CSLF ne serait possible qu'en accolant à c...

Bilingues, dites-vous?

Soyons sérieux!

Bref, nos complexes ne viennent pas de nulle part, et à cause d'eux l'anglophilie qu'on connaît ailleurs revêt ici un caractère plus périlleux.


En définitive, voici un ennième dossier ou notre non-indépendance vient embrouiller les enjeux et boucher les horizons, et pas nécessairement du côté où l'on s'y attend...

"The rest of Canada allows all children of French-speaking parents to attend French schools." - [La "morale supérieure canadian" ne serait-elle qu'un mensonge, qu'une fiction?->http://archives.vigile.net/cit/francocanada.html]

A simple fix for panic over threat to French : a reality-check



The government of Jean Charest is enacting a new law to further strangle English schooling in Quebec. But a coalition including the Parti Quebecois, the Bloc Quebecois, and the New Democratic Party denounced the bill last Monday on the grounds that it doesn't go far enough. They all signed a statement calling on the Quebec government to invoke the "notwithstanding" clause of the Canadian Charter of Rights...

La loi 103, la loi 101 et l’avenir du nationalisme québécois



On le dit souvent d’une formule simple : la loi 101 a perdu son mordant. Il faudrait plutôt dire : elle n’a plus de dents. La loi 101 est devenue un symbole. Mais elle n’est plus que cela : un symbole, qui assure aux Québécois un sentiment de sécurité linguistique artificiel. Et la présentation du projet de loi 103 par le gouvernement libéral vient confirmer la spirale régressive de la question linguistique. On ...

La peur de l'anglais



La «condition fondamentale» d'une ouverture à l'anglais était que le français apparaisse clairement comme la langue identitaire première de la nation. Ce n'est cependant pas en ouvrant de nouvelles brèches dans la Charte de la langue française ou en laissant se dégrader le visage français de Montréal qu'on va renforcer ce sentiment.

L'aubaine du siècle

Pour ceux fascinés par les scandales, en voici un vrai.


Vous connaissez sûrement ce point de vue: vouloir renforcer la loi 101, c'est ringard, nationaleux, voire un symptôme d'anglophobie latente! D'une grande malhonnêteté intellectuelle, il flotte depuis belle lurette au Canada et au Québec. Même lorsque Statistique Canada et des spécialistes reconnus ne cessent de documenter les reculs du français. Il rappelle aussi celui de Jean Charest et Lucien Bouchard. Tous d...

Contrer la soumission à un jugement illégitime !

Bloquons le projet de loi 103


Cette lutte n'est pas partisane. Elle interpelle toute les composantes de la nation québécoise dont l'intégrité dépend de la consolidation du français comme langue nationale. On le voit bien, cette intégrité ne sera possible que si le Québec s'affranchit des dispositions de la Constitution canadienne.

Un mauvais jugement suivi d'une mauvaise loi



La loi 103 (accès aux écoles anglaises du Québec) qui vient d'être déposée à l'Assemblée nationale veut répondre aux exigences d'un jugement de la Cour suprême. C'est une mauvaise loi qui se conforme à un mauvais jugement de la Cour suprême. Cette loi, disons-le franchement, monnaye l'accès au réseau public anglophone et institue le cas par cas comme critère de sélection des enfants à admettre. Donc c'est l'argent...

Loi 103: la dictature de l’arbitraire



Ce courage, c’est de voter les lois qui permettent à nos valeurs communes de persister et qui réaffirment que la langue nationale, commune et consensuelle au Québec doit être le français et qu’il ne saurait être question pour l’État de faciliter d’une quelque façon que ce soit l’apprentissage d’une langue qui mine ce consensus.

La coalition contre le projet de Loi 103 réclame l’application de la Loi 101 aux écoles privées non subventionnées



Une nouvelle coalition regroupant plus de trente organismes québécois a tenu une conférence de presse le 7 juin à la Maison Lugder-Duvernay afin de réclamer l’application de la Loi 101 aux écoles privées non subventionnées.

Les Canadians ne sont pas nos amis! Ils s'acharnent à détruire ce qu'ils nous envient: notre identité nationale!

How can anglo MNAs support Bill 103?



Resolutely loyal to their party rather than their constituents, two Liberal MNAs from western Montreal Island insist they're comfortable with Bill 103, the Quebec government's newest measure restricting access to English schools. "Comfortable" is surely the mot juste for the numerous Liberal MNAs whose Montreal ridings have many anglophone and allophone voters, most of them reflexively Liberal at election...

Pratte debout et endormi - Éloge de la Cour de Pise

Couchons-nous!



À la suite de la présentation du projet de loi 103 sur les écoles «passerelles», la chef de l'opposition officielle, Pauline Marois, a accusé le premier ministre, Jean Charest, d'avoir «plié les genoux», de s'être «couché à terre» devant la Cour suprême du Canada. Que voilà un étrange reproche. Le projet de loi vise à remplacer des articles de la Charte de la langue française, introduits en 2002 par la loi 104...

La clause maudite



Sous le prétexte fallacieux de protéger des droits fondamentaux, en réalité les privilèges d'une poignée de riches désireux d'angliciser leur progéniture, Jean Charest renie une conception du fédéralisme que tous ses prédécesseurs ont défendue avec acharnement depuis près d'un siècle et demi. S'il est insensible à la protection du français, on s'attendrait au moins à ce qu'il défende les pouvoirs du Québec.

Projet de loi 103

Les méandres du cas par cas



Le gouvernement du Québec vient de se conformer à la décision de la Cour suprême concernant la prétendue «inconstitutionnalité» de la loi 104. Cette loi québécoise visait à empêcher les citoyens issus de l'immigration de faire passer leurs enfants par l'école privée non subventionnée de langue anglaise pour être en mesure de les inscrire ensuite à l'école de langue anglaise publique. La Cour estime que les ...

Double discours



(Québec) Avec de l'argent et un bon pointage de la part des fonctionnaires du ministère de l'Éducation, il sera toujours possible de contourner la loi 101 pour que son enfant puisse fréquenter l'école anglaise au Québec. Le gouvernement Charest a beau introduire un nouvel alinéa dans le préambule de la Charte des droits et libertés de la personne pour réaffirmer que le français est la langue officielle du Québec e...

Un ballon appelé « nonobstant »



Il fallait sans doute s'y attendre, mais le débat sur la loi 103 est en train de virer à la foire d'empoigne sur l'utilisation, ou non, de la clause dérogatoire de la Constitution. La clause dite « nonobstant », qui est devenue à la fois un symbole et un enjeu politique qui permet d'occulter tous les autres. Pour le gouvernement Charest, le jugement de la Cour suprême du Canada invalidant la loi 104 sur les éc...

Un projet de loi irresponsable

On dirait bien que le gouvernement Charest n'a pas encore atteint son quota de crises politiques pour son troisième mandat.


On dirait bien que le gouvernement Charest n'a pas encore atteint son quota de crises politiques pour son troisième mandat. Car le voilà maintenant ...

Écoles passerelles - Les privilèges des riches



Le gouvernement Charest a présenté hier sa solution au problème des écoles passerelles. Il se plie au jugement de la Cour suprême qui, l'an dernier, a invalidé la loi 104 adoptée en 2004 pour mettre fin à la pratique par laquelle des parents «achetaient» un droit à l'école anglaise par un bref séjour de leurs enfants dans une école anglophone privée non subventionnée. Cette pratique sera circonscrite et encadrée, ...

L'hypocrisie authentique



Si le gouvernement Charest cherchait un moyen de détourner l'attention des questions d'intégrité, quoi de mieux qu'une bonne vieille chicane sur la langue? Entre la corruption et la compromission, les gens préfèrent généralement la seconde.

Punishing the anglos lets Charest look tough



The first political imperative, for any Quebec government, is to be tough, and to be seen to be tough, unflinchingly, incessantly, unthinkingly tough, about language. The Liberal Party of Quebec learned that lesson way back in Robert Bourassa's day; his boast about suspending fundamental rights to protect French still resonates. Yesterday, when the government introduced an onerous new limit on English-s...