English and French condemn Bill 103, but for very different reasons
.It’s supposedly about equity. What’s really emerging is a confrontation between Quebec’s French majority and English-speaking minority. At the National Assembly, leaders of both communities appear daily before the parliamentary committee studying Bill 103. It restricts children from gaining a right to subsidized English schooling by first attending an unsubsidized private English school. All condemn Bill 10...
Et si le 18 septembre 2010 à Pierre-Charbonneau...
Oui, le Grand rassemblement-spectacle gratuit de la Coalition contre la loi 103 au Centre Pierre-Charbonneau n’est pas un rassemblement indépendantistes, même si la grande majorité des milliers de personnes qui y participeront veulent que le Québec devienne un pays et sont convaincus que sans indépendance, c’est l’assimilation. Cet automne, en l’année 2010, la Révolution tranquille a 50 ans, les événements d’octobre...
Samedi le 18 septembre aura lieu à Montréal une soirée politico-artistique pour soutenir le combat contre le projet de loi 103
Samedi le 18 septembre aura lieu à Montréal une soirée politico-artistique pour soutenir le combat contre le projet de loi 103. Organisée par la Coalition contre la loi 103, cette soirée vise à rassembler des milliers de personnes décidées à se battre pour conserver la langue française au Québec. La loi 103 du gouvernement Charest n’empêchera pas les parents francophones ou allophones d’utiliser le passage de l...
les parlementaires québécois se doivent de se dissocier d’un jugement excessif élaboré à partir d’une constitution qu’ils n’ont pas avalisée
Si les parlementaires québécois adoptent la loi 103, ils reconnaîtront qu’ils ont été excessifs en votant à l’unanimité la loi 104. En effet, pour les juges de la cour suprême, il est excessif d’empêcher l’entrée, dans les écoles publiques de langue anglaise, de tous les enfants de parents francophones, allophones ou anglophones nés hors Canada. Selon ces juges, lorsque des parents, de bonne foi, f...
Avec le déclin du français, c’est la culture québécoise qui s’effiloche, qui s’efface. La « paix linguistique » héritée des années 1990 a été signée sur la défaite du français. Il n’est pas interdit de reprendre la bataille.
La ministre Christine St-Pierre soutient que son projet vise à protéger la réputation internationale d’un Québec ne pouvant se permettre une nouvelle violation des « droits fondamentaux ». Cette criminalisation implicite de toute réaffirmation linguistique est inacceptable.
Au loin on entend un grand vent se lever pour chasser nos hontes, restaurer notre dignité et nous donner notre liberté
"Il ne faudrait pas invoquer la clause dérogatoire parce que ça nuirait à la réputation internationale du Québec", dixit la ministre St-Pierre, responsable de la politique linguistique du Québec. Ah bon! La constitution canadienne a ses parties honteuses? Elle contient des clauses qui ne sont pas montrables? S'en prévaloir risque d'emporter votre réputation? Que font-elles alors dans une constitution? Surtout dans cel...
Montréal, mardi 14 septembre 2010 – Le chef du Bloc Québécois, Gilles Duceppe, a demandé au chef du NPD, Jack Layton, d'indiquer clairement la position de son parti dans le dossier des écoles passerelles. « Au Québec, une vaste coalition s'est formée pour s'opposer au projet de loi 103 du gouvernement Charest, un projet qui ne règle en rien le cas des écoles passerelles. La solution préconisée par les membr...
Il n'y a pas d'autre choix que d'étendre aux écoles privées non subventionnées les prescriptions de la Charte de la langue française
La loi 104, adoptée à l'unanimité en 2002, fermait la porte au recours à l'école privée non subventionnée de langue anglaise comme école-passerelle permettant à un enfant francophone ou issu de l'immigration d'accéder à l'enseignement en langue anglaise dans un établissement public ou subventionné. Mais cette loi n'interdisait pas l'admission d'enfants francophones ou issus de l'immigration dans des écoles non sub...
Panique à bord - intimidation de la part d'une minisss tout sauf intimidante...
Langue d'enseignement
Le président des IPSO, Gilbert Paquette, s'est fait demander par la ministre des informations sur son regroupement, tant sur son financement que sur ses membres et ses experts.
Affiche trouvée dans un hôpital de Vancouver, envoyée par Jacqueline L., "Une exilée... sans illusion"
L’incurable assimilation et la loi 103
Quel fiasco! De toutes façons, en bout de ligne, la Cour suprême finira bien par dicter rien de moins que le libre choix.
Un Québec français est incompatible avec la cour d’Ottawa et son parlement, il faut le proclamer haut et fort à l’étranger et ce, unilatéralement.
peu de gens croient à la disparition de la langue française au Québec
Ces faits n’ont pas pour but de discréditer un auteur canadien à succès mais doivent nous amener à nous interroger sur les impacts qu’auront les écoles passerelles sur le Québec français de même que le libre choix de la langue d’études au niveau collégial et universitaire, ainsi que le surfinancement du réseau scolaire anglais.
Les audiences publiques que tient depuis le début de la semaine la Commission de l'éducation sur le projet de loi 103, dit des écoles passerelles, ont montré à quel point est insatisfaisante la solution imaginée par le gouvernement Charest pour encadrer l'«achat» d'un droit à l'école anglaise pour leurs enfants par des parents francophones ou allophones. Trop d'échappatoires demeurent qu'il faut refermer. L'adopt...
Le PQ n'est malheureusement pas en position d'imposer sa solution. Au reste, le discours qu'il tient dans l'opposition et ce qu'il fait une fois au pouvoir sont deux choses parfois très différentes.
Jacques Parizeau et Lucien Bouchard étaient parfaitement bilingues et personne ne s'en plaignait, a lancé mercredi l'ancien chef du Parti égalité, Robert Libman, qui comparaissait devant la commission parlementaire chargée d'étudier le projet de loi 103 sur les écoles passerelles. Il est vrai que, à l'exception de quelques «purs et durs» qui avaient reproché à M. Bouchard de répondre en anglais aux questions de...
Mémoire des IPSO lu à la Commission parlementaire de la culture et de l’éducation de l’Assemblée nationale Vendredi le 10 septembre 2010
1. Introduction Les Intellectuels pour la souveraineté, les IPSO, ont été créés en 1995 et regroupent actuellement quelque 150 intellectuels de différentes origines, majoritairement des universitaires, qui participent à la vie citoyenne par la réflexion, l’analyse et l’action en faveur de l’émancipation du Québec. Nous sommes un mouvement indépendant de...
Le premier inconvénient – et il est majeur, c’est qu’en encadrant le recours à l’école passerelle, on se trouve, qu’on le veuille ou non, à le légitimer.
L’article 23 de la Charte canadienne, qui est à l’origine de tout ce débat, a été imposé au Québec malgré son opposition. Il est et reste une des raisons principales pour lesquelles le Québec a refusé de ratifier la Constitution de 1982. Les circonstances actuelles montent bien que ce refus était justifié.
Lorsque, manifestement, les juges nommés aux juridictions supérieures ne sont pas représentatifs des valeurs majoritairement reconnues dans une société parce que leur nomination est politique, on se retrouve avec des jugements comme ceux rendus par la Cour d’appel et la Cour suprême du Canada dans le cas de la loi 104. Dans cette perspective, l'utilisation de la clause dérogatoire pour protéger la langue commune du Québec, le français, se justifie.
Surtout pas le modèle américain !
Et en bout de ligne, comme toute dictature, elle mène à la tyrannie
Pourtant, c’est exactement la même chose, et la ministre St-Pierre, nettement dépassée par les exigences intellectuelles de ce débat et prise à défendre l'indéfendable sans même en être consciente, serait surprise, voire même insultée, de découvrir que ses positions la jettent dans le même sac que le vieux fou de Floride.
Projet de loi 103
Le 27 juin dernier, je lançais dans cette même page un appel aux constitutionnalistes québécois pour qu'ils nous expliquent en quoi imposer le régime général de la loi 101 aux écoles privées non subventionnées porterait atteinte à la liberté garantie par l'article 7 de la Charte canadienne des droits et libertés. Cet appel est resté sans réponse. Je le réitère au moment où une commission parlementaire vient d'...
Malheureusement, cette «solution» ne tient tout simplement pas la route. Et ce, pour deux raisons.
Jeudi, à la Commission parlementaire de la culture et de l'éducation sur le projet de loi 103 sur les écoles dites «passerelles», l'ancien chef de cabinet de R...
LOI 103 de la ministre St-Pierre
Ne pas comparer le Québec de 1977 à celui de 2010
La clause nonobstant doit être la voie retenue, bonne pour les 5 prochaines années. En contre-partie, le gouvernement doit mettre sur pied des États généraux pour revoir globalement et en profondeur tout la question linguistique de 2010 au Québec. C’est un problème distinct et propre au Québec qui doit être réglé par les québécois. Il faut sortir des ornières d’Ottawa et de la Charte canadienne bonne pour le ROC, the rest of Canada.
Nier que le français soit en danger à Montréal est une sorte de péché contre l'esprit. Le mal s'étendra progressivement au Québec entier. Quand la maison brûle, on pense à sauver le plus précieux sans s'empêtrer dans les détails. Les scrupules paralysants sont un indice évident de la présence toujours active du vieux complexe d'infériorité nationale hérité de la Conquête de 1760. Est-il besoin d...
"Pourquoi s’arrêter en si bon chemin?" - Le Pratte de l'indécence!
Après leur avoir interdit l’accès aux cégeps anglais, on voudra empêcher les francophones et allophones d’étudier à McGill et à Concordia.
Après leur avoir interdit l’accès aux cégeps anglais, on voudra empêcher les francophones et allophones d’étudier à McGill et à Concordia. Depuis hier, une quarantaine d’organismes et individus défilent devant la commission parlementaire chargée d’étudier le projet de loi 103. Ce projet de loi doit baliser le recours à une école privée non subventionnée afin d’obtenir le droit de faire instruire ses enfants en ang...
Écoles passerelles
«S'il n'y a pas de fonds publics, il n'y a pas de justification» pour en restreindre l'accès aux francophones et aux allophones, estime le juriste.
Robert Dutrisac Québec — Louis Bernard, l'ancien secrétaire du Conseil exécutif sous René Lévesque, a taillé en pièces la position du Parti québécois qui réclame le recours à la clause dérogatoire pour contrer le phénomène des écoles passerelles. Mais il voit aussi de sérieux inconvénients au projet de loi 103 et propose un compromis. Lors de sa comparution hier en commission parlementaire, Louis ...
Appliquer une clause parfaitement constitutionnelle, légitime et légale serait «radical»? Vivement un cours de science politique 101 pour la ministre et ses collègues du cabinet.
Ce mercredi, la Commission parlementaire de la culture et de l'éducation a débuté ses audiences publiques sur le très controversé p...
En fait, si une chose nous parait honteuse, c’est cet aplaventrisme que le gouvernement libéral exhibe à la face du monde.
[->30267] La Coalition contre la loi 103 - Avant même que ne débutent les travaux de la commission parlementaire sur le projet de Loi 103, la ministre responsable de la Charte de l...
Par son refus d’agir, la ministre vient mettre en péril l’existence même de ce Québec francophone dont elle prétend aujourd’hui vouloir protéger l’image à l’étranger.
Sur le sujet précis de l'accès élargi à l'école anglaise (projet de loi 103), il ne faudrait pas permettre un tel contournement de la Charte de la langue française. Cette dernière devrait étendre son application aux écoles privées non subventionnées. La Cour suprême devrait prendre acte de cette décision gouvernementale, décision qui ne remet pas en cause le principe de la liberté d'enseignement (ou le droit à l'ex...