Le cercle vicieux : colonisation, résistance, répression

Propagande stérile et funeste



J'ai lu avec respect la lettre du consul général d'Israël au Québec publiée dans Le Devoir du 4 juin 2009 ([«Toute la perspective sur Israël»->20180]). Cette prose n'apporte -- hélas! -- aucune lumière et ne fait que témoigner de l'enfermement des adversaires dans leur mortelle autojustification. La candeur de M. Yoram Elron éclate à plein dans une phrase comme celle-ci: «Idéalement, la meilleure façon d'obte...

Deux compagnies de Montréal poursuivies pour crimes de guerre



La poursuite déposée par le village de Bil'in invoque la Loi sur les crimes contre l'humanité et les crimes de guerre, adoptée en 2000, pour faire appel aux lois internationales et canadiennes, qui interdisent aux puissances étrangères de peupler des territoires acquis par la guerre

Toute la perspective sur Israël



À la lumière de toutes ces considérations, permettez-moi de suggérer aux lecteurs de prendre le temps de comprendre et aussi d'analyser le conflit à travers les yeux des Israéliens avant de juger ou de condamner à la hâte mon pays, le seul du Moyen-Orient qui partage les mêmes valeurs et idéaux que ceux qui sont chers au coeur des Québécois.

Un processus de paix signé Obama



Au cours des prochains mois, les médias internationaux vont couvrir largement une nouvelle ronde de négociations pour une solution durable du conflit israélo-palestinien. Par cette initiative américaine, le président Barack Obama s'engage dans sa mission diplomatique la plus épineuse à ce jour. Elle sera déterminante pour sa présidence. Il a fermement indiqué à Israël qu'elle devra prendre des mesures difficiles pou...

Adieu Palestine



Barack Obama et Benjamin Nétanyahou se sont vus, se sont parlé, ont convenu de ne pas insister sur le fossé qui les divise. «Le temps n'est pas encore venu pour ces deux hommes», a commenté un ancien conseiller de Clinton. Et cela n'augure pas bien pour les Palestiniens. Difficile d'imaginer deux hommes politiques aussi différents. Obama est un intellectuel, un homme posé et réfléchi, un homme de droits et de princi...

Israël-Iran

Les risques et périls d'une attaque



Après avoir passé en revue tous les cas de figure d'une attaque contre l'Iran, Toukan et Cordesman concluent : "Une offensive israélienne contre les installations nucléaires iraniennes est possible, (mais) elle serait complexe et hautement risquée et rien ne garantit que la mission dans son ensemble se solde par un succès."

Québec

La Cour suprême refuse de se prononcer sur le statut de Jérusalem

Le vice-président de B'nai Brith, Frank Dimant, s'est aussi élevé contre la décision de la Cour suprême


(Photo PC) Agence France-Presse - La Cour suprême du Canada a refusé jeudi d'examiner la demande d'un juif canadien qui voulait que son passeport précise que son lieu de naissance, Jérusalem, fait partie d'Israël. Comme d'habitude, la plus haute instance judiciaire du pays n'a pas commenté son refus d'accéder à la requête de Eliyahu Yoshua Veffer. Ce citoyen canadien s'était vu refuser par le minist...

Il faut boycotter Israël, à commencer par le retrait par la STCUM (métro) des contrats accordés à une cie israélienne dont on ne sait pas trop si elle nous protégera des attentats ou si elle les préparera elle-même...

Par solidarité avec Gaza: des sanctions contre les crimes de guerre d'Israël

Ehud Olmert et ses ministres, le général Gaby Ashkenazi et le haut commandement des Forces israéliennes doivent tous être poursuivis par la Cour internationale de justice pour leurs crimes contre la population de Gaza.


Les efforts additionnels pour mettre fin à leur souffrance doivent provenir des mouvements de solidarité d'un peu partout dans le monde, incluant d'Israël. Ceux qui ne protestent pas aussi vigoureusement que possible se rendent complice de non-assistance à des personnes en danger. L'opinion publique internationale devrait demander à ses gouvernements respectifs d'arrêter de collaborer avec lsraël, qui commet des crimes de guerre et qui boycotte Gaza.

Québec

Bush a peu de chance de faire la paix entre Palestiniens et Israéliens

Dans cette mascarade, les dirigeants locaux ne font que jouer le rôle qui leur est attribué pour contenter Washington. Et une chose est sûre : le président Bush devra trouver son héritage ailleurs.


George W. Bush et Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne. (Phototèque Le Soleil) « Ne soyons pas trop optimistes. Nous avons affaire à deux dirigeants affaiblis, d'un côté comme de l'autre. Des dirigeants qui ont eux-mêmes une autonomie très réduite (...) On peut dire sans risquer de se tromper qu'il ne se produira pas de miracle. » Voilà ce qu'a écrit le journaliste israélien Yoel M...

Une de plus



Il y a eu les accords d'Oslo, puis les négociations de Madrid, la déclaration de Taba, les pourparlers de Wye Plantation, l'entente de Charm el-Cheikh, le sommet de Camp David, quoi d'autre? La Feuille de route dessinée à quatre. Autant de documents balisant les termes d'une paix négociée entre Israéliens et Palestiniens. À cette liste, non exhaustive évidemment, s'est ajoutée la rencontre d'Annapolis, qui s'est poursu...

Québec

De passage en Cisjordanie

Bush enjoint à Israël de mettre fin à l'occupation

Le président américain donne corps à un accord pour la création d'un État palestinien


Vingt-quatre heures après avoir garanti à Israël sa sécurité «en tant qu'État juif», George W. Bush lui a enjoint hier de mettre fin à 40 ans d'«occupation» et a réaffirmé son engagement ferme envers un État palestinien viable. Israël doit mettre fin à l'occupation des territoires commencée en 1967, «l'accord doit établir la Palestine comme la patrie du peuple palestinien, tout comme Israël est la patrie du peuple j...

Québec

La paix au point mort



Moins d'un mois après la conférence d'Annapolis et les espoirs qu'elle a suscités pour un règlement de la crise au Proche-Orient, le ton est de nouveau à la confrontation entre Israéliens et Palestiniens. L'Autorité palestinienne a dénoncé dimanche l'annonce faite par le ministre israélien responsable des affaires de Jérusalem, Rafi Eitan, voulant qu'Israël poursuive le développement de ses principales colonies en C...

Annapolis: audace et étapisme



Pour sa part, Israël devra lever les couvre-feu, faciliter la circulation des biens et des personnes, démanteler les avant-postes établis par des colons et cesser toute activité de colonisation, y compris l'expansion naturelle.

Annapolis (suite et sans doute fin...)

« La conférence de paix sur le Proche-Orient était officiellement convoquée pour résoudre le conflit israélo-palestinien. Mais il y avait, sous la surface, un but dont on ne parlait pas, arrêter la montée de l’influence de l’Iran et du radicalisme islamique. »


Maintenant vient une nouvelle demande : qu’avant toute négociation,ils reconnaissent Israël comme Etat juif. Non seulement cela introduit un nouvel élément dont Israël sait que les Palestiniens ne peuvent pas l’accepter, mais cette demande remet en cause le statut d’égalité des citoyens palestiniens d’Israël, soit 20% de la population israélienne. Cela ouvre la voie au transfert, au nettoyage ethnique. Tzipi Livni, la ministre israélienne des affaires étrangères, a dit récemment dans une conférence de presse que l’avenir des citoyens arabes d’Israël est dans le futur Etat palestinien, pas en Israël même. »

ISRAEL-PALESTINE

Le soleil pâle d'Annapolis



1 - Sur les chances d'aboutir à un quelconque accord de paix entre Palestiniens et Israéliens sous le prétexte que c'est le président George Bush lui-même qui les y invite, le scepticisme doit évidemment s'imposer. Le grand intérêt de cette conférence qui, sous l'égide des États-Unis, s'est ouverte à Annapolis le 27 novembre, ce serait, nous dit-on, qu'un pacte a été conclu entre Israéliens et Palestiniens pour l'o...

À la case départ



Les ennemis de la paix sont ceux qui diront bientôt que Mahmoud Abbas et Ehoud Olmert sont des traîtres à leur patrie. Ce sont des dirigeants du Jihad islamique et du Hamas qui rêvent à la destruction d’Israël. Ce sont des colons qui rêvent d’un grand Israël.

Dernière chance?

Un revers condamnerait définitivement la Palestine et propulserait l'Iran au premier rang des puissances du Proche et du Moyen-Orient


Sept ans après son arrivée à la Maison Blanche, George Bush s'est finalement décidé à s'emparer du dossier israélo-palestinien, dont il avait concédé jusqu'à présent la gestion aux gouvernements israéliens successifs. Il convient de saluer cet engagement américain, aussi tardif soit-il, et qui doit manifestement beaucoup à la secrétaire d'Etat Condoleezza Rice. Mais il faut également en rechercher les raisons véritable...

novembre 2007



- Scepticisme dans les deux camps après Annapolis Cyberpresse 28 novembre Israéliens et Palestiniens ont accueilli mercredi avec circonspection les bonnes intentions formulées la ve...

La colonisation israélienne, "principal obstacle à la paix" (Kouchner)



"Je dirai à mes interlocuteurs israéliens ce que je leur ai déjà dit et que la France répète chaque jour: la colonisation est non seulement juridiquement illégale, elle est aussi, politiquement, le principal obstacle à la paix", affirme M. Kouchner dans un entretien publié dimanche par le quotidien palestinien Al-Ayyam.

Québec

La paix est possible

je crois qu'une entente est possible, mais seulement si certaines conditions improbables sont au rendez-vous


La paix sera au rendez-vous à Annapolis, non pas parce que les Israéliens et Palestiniens tenteront un rapprochement, mais plutôt parce qu'ils sont exténués et unis par la peur. Il est de l'intérêt du Canada que les deux parties s'entendent.

Québec

Rice appelle Israël à faire des «sacrifices»



(Photo Reuters) Associated Press - La secrétaire d'État américaine Condoleezza Rice a averti mardi les dirigeants israéliens qu'ils devaient être prêts à faire «des sacrifices difficiles et douloureux sur certaines de leurs aspirations les plus anciennes» lors de la conférence sur le Proche-Orient qui doit se tenir avant la fin du mois aux États-Unis avec les Palestiniens. Mme Rice n'a pas précisé quels ...