Le mépris dans toute sa splendeur
Trois ans plus tard, l’OQLF est incapable de forcer l’usage du français sur le chantier
Voilà trois ans que l’Office québécois de la langue française (OQLF) sait que quelque chose ne tourne pas rond sur le chantier du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM). Pourtant, l’utilisation de l’anglais dans les communications, les documents de travail et les plans et devis du mégacomplexe hospitalier subsiste, ont déploré de nombreux travailleurs de la construction, vendredi, à l’occasion de la Journée internationale de la francophonie.