Crise étudiante
Charest aurait proposé un Forum sur les universités
Le premier ministre aurait promis aux étudiants que les discussions aujourd'hui aborderaient le thème de la hausse des droits de scolarité.
Crise étudiante
Le premier ministre aurait promis aux étudiants que les discussions aujourd'hui aborderaient le thème de la hausse des droits de scolarité.
Et si, à la source de la colère des étudiants québécois, il n’y avait pas simplement l’augmentation sauvage des droits de scolarité, mais aussi une conception de l’université ?
Si bien que l’implication, réelle, du philosophe dans la libération libyenne, ne saurait survivre au ridicule de sa posture.
Crise étudiante
Il est «inconcevable» d’avoir «laissé pourrir» le conflit, dit l’ancien premier ministre
Les compétences sont devenues la monnaie mondiale des économies du xxie siècle, a résumé son secrétaire général, Angel Gurría.
Alors que les "mauvaises lois" existent et doivent être combattues, même si elles émanent d'un pouvoir démocratiquement élu, Madame ne les voit pas, convaincue que le "bon pouvoir" ne peut qu'être menacé par la "rue", par définition irrationnelle, émotionnelle, excitée jusqu'à empêcher la réflexion, ce genre de réflexion silencieuse qui commande la soumission à l'ordre établi dont Madame profite sans vergogne.
Et si le joyeux tintamarre actuel servait aussi à empêcher d’entendre la gravité du silence sans lequel aucune pensée ne peut naître ?
«Résumer le conflit à un choc des générations serait une façon commode d’en évacuer l’aspect idéologique»
Loi 78
Ces jours-ci, le gouvernement Charest semble aussi déboussolé que l’était ce pauvre Louis XVI.
Firmes de génie-conseil
Les firmes de génie-conseil continueront d’en faire à leur tête tant que les liens politiques primeront l’encadrement qu’on essaie de leur imposer.
Monsieur le maire, la mauvaise réputation du Québec en ce moment à l’étranger, ce ne sont pas les étudiants, ce sont les flics et un gouvernement.
Sans aller jusqu’à un moratoire, le gouvernement devra vraisemblablement faire son « bout de chemin » sur les droits de scolarité.
Crise étudiante dans le monde
Cela souligné, l’exemple américain mérite, pour ne pas dire commande, une méditation, une réflexion approfondie sur ce qu’il faut bien appeler les effets pervers de l’augmentation.