Et la liste est longue !
Banal
Encore un relatif havre de paix jusqu’à récemment, le grand Montréal est méconnaissable. La violence, maintenant quasi quotidienne, s’est banalisée.
On peut entendre une décharge d’arme à feu tous les 2,5 jours, sans parler des agressions à l’arme blanche et des autres formes de crimes.
Si cette nouvelle réalité laisse pantois, que dire de la réaction hors-sol de nos élus ?
Valérie Plante aime penser que Montréal reste sécuritaire, tandis que d’autres élus s’acharnent sur l’accès aux armes.
Or, ce n’est pas la disponibilité, à elle seule, des armes qui éveille la violence.
Ce sont les gens violents qui créent une demande pour les armes.
Intransigeance
Il faut donc mater les voyous, avec fermeté et intransigeance. Le respect de la loi et le maintien de l’ordre devraient être non négociables.
Mais pour réussir, il faut rompre avec les délirantes élucubrations woke qui prônent le définancement de la police et la haine de l’autorité, et qui voient du racisme systémique partout. Il faut plutôt laisser la police traquer les criminels et les empêcher de nuire.
Certes, les problèmes familiaux et sociaux sont souvent à l’origine des comportements violents. Mais cela, ce n’est pas le problème des honnêtes citoyens.
On ne peut tout de même pas mettre en danger une population entière en attendant que les voyous veuillent bien entreprendre une thérapie comportementale !