À vouloir l’enfarger, les PLQistes et les CaQistes semblent se heurter à plus fort si l’on se fie au sondage. Ce n’est pas le passé d’affaire de Legault ni le bistouri de l’Arabie Saoudite de Couillard qui font le poids comme symbole de réussite personnelle. Les entourloupettes politico-éthiques de ces derniers, les a montré picosseux, envieux et jaloux comme des pouils.
Mais, certains éléments du sondage qui persistent ne doivent passer inaperçus plus longtemps.
Un peu comme le 93.5 % de personnes ayant voté au dernier référendum de 1995 est une information scientifique surprenante qui détonne dans un monde démocratique et non totalitaire, les faits suivants parlent:
-Presque d'un bloc, 85 % des anglophones voterait pour le Parti libéral du Québec et 66 % sont satisfait du gouvernement du PLQ (Couillard) pour moins de 33 % pour francophones;
-D'un bloc, 6 % des anglophones voterait oui à un référendum sur la souveraineté alors que les francophones le seraient à 45 % ou, pris autrement, 94 % des anglophones voterait non à un référendum pour moins de 55 % des francophones.
Ces faits pourtant évidents sont significatifs d’un braquage de la part de cette communauté depuis 40 ans. Ils sont d’une toxicité à conséquence pour l’évolution de tout le Québec.
L’émancipation française en Amérique du Nord de ces 2,5 % de la population leur fait retrousser le poil des jambes à hauteur des jupes écossaises ou britanniques.
Aussi est occulté par eux, que la minorité anglophone du Québec fait partie d’une majorité continentale avec en prime 150 ans de constitution avantageuse de toutes les façons, à plus soif;
En passant, il ne faut pas croire que l’utilisation dans ce sondage du mot « non francophone » au lieu d’anglophone sert la science. Quand même! Le moindrement qu’est affirmé le fait français aussitôt les allégations de racistes et de séparatistes pleuvent jusqu’aux tribunaux.
Faut se le dire, de facto, les vrais séparatistes sont ceux qui s’isolent en bloc dans le Québec.
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
4 commentaires
Archives de Vigile Répondre
17 novembre 2014Je sui entièrement d'accord avec le commentaire de Gaston
Carmichael. S'est clair net et précis. Maintenant s'est de réveiller
la fameuse majorité silencieuse. Comment le faire ???
Quand on parle de nationalisme s'est comme prêcher dans le vide.
Il n'y a rien de pire que quelqu'un qui ne veut pas voir et ne veut pas entendre. On dit que parfois une "étincelle" peut faire la différence.
Maudit que j'ai hâte que quelqu'un sorte une chandelle pour voir si
on peut encore l'allumer. Personne n'aime travailler dans la noirceur.
Pour y arriver cela prends de la lumière, du dynamisme, de la volonté de réussir et une once de bon sens.
Archives de Vigile Répondre
16 novembre 2014Il devrait être clair maintenant pour tous les indépendantistes lucides que le vote anglo et allo ne leur sera jamais favorable. Bien sûr, il y aura toujours quelques exceptions qui permettront à certains de garder espoir, mais cela n'en restera toujours que très marginal.
Lisée se refuse à voir cette réalité, et maintient que l'indépendance ne pourra pas se faire sans eux. D'où sa volonté de vouloir séduire ces irréductibles. Bien sûr, ils vont accepter ses courbettes et vanter son humanisme. Mais lorsque le temps des "vrais affaires" viendra, ils vont lui ch**r dans les mains.
L'indépendance ne pourra donc se réaliser qu'avec les francophones.
Selon recensement de 2011, il y aurait 80% de citoyens de langue maternelle francophone au Québec. Pour obtenir un 50% de OUI à un référendum, il faut donc convaincre 62.5% de ces francophones.
Voilà, c'est clair et limpide. Les maths sont sans appels.
En 1995, la conjoncture nous était favorable, et on y est presque arrivé. C'est donc possible. Lorsque qu'une telle conjoncture favorable se représentera, il faudra être prêt et y mettre toute la gomme.
Archives de Vigile Répondre
15 novembre 2014Dans le bon vieux temps il y avait toujours un "Calleux"
Aujourd'hui ont peut l'appeler un rassembleur. Cette personne
n'a pas besoin d'être flamboyante. S'est comme le vieux sage
du village. Juste le fait d'être présente cette personne nous
rassure, elle deviens un guide spirituel. Quelqu'un à qui on peut se
fier. Il peut être un grand-père, un père, une mère, une sœur,
une voisine, un ami ou une amie peut importe. Le plus important
est d'être en confiance la balance importe peu.