Lise Payette sous le radar de la FFQ

Un mépris scandaleux envers une grande dame du Québec!

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Tribune libre

En passant sous le radar le décès de Lise Payette, la Fédération des femmes du Québec (FFQ) vient d’entacher profondément les lettres de noblesse que lui avait conférées avec détermination et conviction Mme Thérèse Casgrain lors de sa fondation en 1966.



Au chapitre de la mission de la FFQ, il est écrit : « La Fédération des femmes du Québec est une organisation féministe autonome qui travaille à la transformation et à l’élimination des rapports sociaux de sexe et des rapports de domination dans toutes les sphères de la vie, en vue de favoriser le développement de la pleine autonomie de toutes les femmes et la reconnaissance véritable de l’ensemble de leur contribution à la société. »


Or, aujourd’hui dirigée par une transgenre, Gabrielle Bouchard, la FFQ a fait des femmes marginales sa priorité absolue, à tel point qu’une femme « ordinaire » se retrouve remisée dans le tiroir aux oubliettes, tel du menu fretin.



Lise Payette a œuvré toute sa vie d’adulte pour la défense et la promotion de l’égalité entre les hommes et les femmes du Québec. Le fait d’avoir omis de signaler sa contribution exceptionnelle à l’émancipation des femmes, à l’occasion de son décès, bafoue bassement la mémoire de ses fondatrices… Un mépris scandaleux envers une grande dame du Québec!


Pour connaître davantage les dessous de l’histoire… 


https://vigile.quebec/articles/trop-blanche-lise-payette


La réaction de la FFQ…une semaine après le décès de Mme Payette


https://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/la-ffq-sort-de-son-mutisme-après-le-décès-de-lise-payette/ar-BBNithf?ocid=spartandhp



Henri Marineau, Québec 



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Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com





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