Arrêt des négociations de l’Approche commune

Que faut-il en penser?

Tribune libre 2010



Le samedi 9 octobre 2010, dans Cyberpresse, Le Quotidien, en page 18 et 19,
il y a deux articles traitant de l’arrêt des négociations dans l’approche
commune.
La journaliste Mme Laura Lévesque, signe les articles qui concernent les
négociations de l’approche commune, pourtant, on ne les retrouve pas sur
son blog :
http://recherche.cyberpresse.ca/cyberpresse/search/?q=laura+l%C3%A9vesque

A défaut de les retrouver, je vais les recopier pour le bénéfice de mes
lecteurs.

Le premier article s’intitule, Benoit Bouchard n’est pas surpris, et le
second, La Conférence Régionale des Élus consternée par la tournure des
négociations.

Note : En ce dimanche le 10 octobre 2010, une copie de mon commentaire est
expédié à la direction du journal afin de le proposer à l’opinion du
lecteur .

Sur internet, Marie-Mance Vallée me demande de commenter les articles du
Quotidiens.
Oui, Mme Vallée, j'ai bien lu les articles du Quotidien de ma région sur la
suspension des négociations du traité dit de l'approche commune.

Dans les documents, il n'est fait aucune mention sur ce qui ne va pas dans
les négociations, c’est encore la règle du secret. On parle de notre avenir
à tous et on ne nous informe pas de quoi il est question et sur qu’est-ce
qui achoppe? Il s’agit de l’avenir d’un peuple, pas d’une négociation
syndicale. Donnez-nous les informations, les conditions premières de ces
négociations ne sont pas respectées, soit: faire connaitre les enjeux aux
citoyens, or, c'est tout le contraire qui se produit.

Ce que l'on sait par contre et c'est confirmé dans l'article, c'est qu'on
discute entre Amérindiens et Québécois depuis un certain temps sans la
présence d’Ottawa qui se désintéresse du contenu des discussions.

Je pense qu’il en est ainsi pour les raisons suivantes :

Les fédéraux n'ont pas besoin d'aller plus loin, c'est tout à fait inutile
à mon avis.

Tout à été conclu dans l'entente de principe de 2004 négocier par M. Yves
Fortier, un des présidents de l'Alcan qui fut nommé par Charest pour
négocier ce traité en notre nom. M. Fortier était un membre important du
groupe Action Canada contre nos aspirations lors du dernier référendum. Il
était donc tout à fait évident que cette personne n’allait pas défendre nos
intérêts. Voir :
http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/10/08-conflits-dinterets.qc

C’est une magouille et une manœuvre comparable au vol du référendum de
1995.

Le point majeur est le suivant : L'entente de principe ne remettait pas en
cause la tutelle qu'Ottawa détient sur les Amérindiens alors qu’elle aurait
dû, c’était dans notre intérêt à tous. Parce que la signature de ce
document par Québec est considéré par Ottawa comme l'acceptation de Québec
du transfert de cette tutelle sur l'ensemble des gens habitants l’ensemble
des territoires cédés et qui allait suivre toutes autres négociations
ultérieures.

Le traité est affublé d’une entente d’irréversibilité. Ainsi, tout
territoire cédé aux Amérindiens ne peut plus être rétrocédé et tombe sous
la tutelle canadienne.

C’est une arnaque du plus haut niveau, aucun traité dans le monde n’est
irréversible. Accepter cela c’est accepter d’être l’inférieur de son
voisin. L’attitude d’Ottawa ne pourra déboucher tôt ou tard que sur de
violente réactions.

M. Fortier, notre négociateur, n’avait pas intérêt à mettre sur la table
cette tutelle parce que son entreprise possède des barrages et des
installations sur nos territoires. Alcan a besoin d’Ottawa pour conserver
ses privilèges contre les intérêts des citoyens Québécois qui se «
prétendent » propriétaire de leurs territoires, puisque ces territoires
étaient reconnus comme une province égalitaire aux autres avant la présente
intervention.
M. Fortier, de l’Alcan, a gratté le dos des fédéraux au référendum de 1995
et il est de bonnes coutumes de retourner l’ascenseur en favorisant les
investissements d’Alcan sur les territoires du Québec, même à l’encontre
des intérêts des citoyens qui habitent le territoire et l’on développé.

Le retrait de cette tutelle est donc dans l’intérêt des Amérindiens et de
celui de tous les Québécois puisque nous allons en hériter si elle n’est
pas retirée. M. Fortier ne nous a donc par représenté de façon compétente.
Cette malversation devrait être dénoncé à l’ONU, les Amérindiens et les
Québécois n’étant pas des malades ou des imbéciles, la seule autre raison
d’agir ainsi ne peut être que de conserver une forme d’emprise ou
d’esclavage sur tous les habitants du Québec.

En approuvant l’entente de principe, Ottawa considère déjà comme acquise le
transfert de la tutelle sur l’ensemble des habitants du Québec.
Le Canada n'a besoin que de la signature de M. Charest pour considérer
cette entente comme étant valide. Contrairement à ce que déclare M. Benoit
Bouchard, je crois sincèrement que l'arrêt de ces négociations est
strictement politique.

Une signature, c'est tout ce qu'avait besoin les fédéraux pour faire de
vous et moi des sans nom par héritage selon la définition d'Ottawa de ce
qu'est un autochtone. Il met tous nos biens communs sous sa tutelle.
Pour Ottawa, tous les Québécois, par ce traité seront traités comme des
Amérindiens et ils seront soumis à la même tutelle qu'elle possède déjà sur
les Amérindien.

Même si le traité final ne sera jamais signé, l’entente de principe et la
signature de notre gouvernement devrait suffire amplement pour rencontrer
les buts recherchés par la fédération.

On aurait donc tous intérêt à rechercher la bonne définition des mots. Pour
Ottawa, le mot Autochtone exclus toute autre personne que les Amérindiens
même si vous êtes né au Québec d’un père ou d’une mère également nés au
Québec, vous n’aurez pas droit au titre d’amérindiens et vous serez
considéré comme un étranger sans actifs sur les territoires que vos pères,
vous et moi avons développé .

En approuvant l'entente de principe, M. Charest accepte au nom de tous les
citoyens du Québec que tous les citoyens soient désormais soumis à la
tutelle "Autochtone" par héritage.

Il ne faut donc pas s’étonner que toutes les négociations sur ce traité
soient faites dans le silence et en grande cachette entre amis du pouvoir
fédéral et libéraux.

Toutes les négociations qui ont suivi l'entente de principe sont pour moi
de la poudre aux yeux. Ces négociations n'iront jamais plus loin parce que
le but recherché par Ottawa a déjà été atteint.

Ottawa considère l'entente de principe comme étant un droit d'intervention
contre nous, militaire s’il le faut.

Les Amérindiens tout comme vous et moi possédons (possédions) tous, une
partie de nos investissements en barrages, lignes de transport, mines, eau
et autres ressources de nos territoires.

Collectivement nous sommes (étions riches) et capable d'assurer des revenus
d'entreprises appelés (Bras de Leviers) favorisant tous les habitants du
Québec en permettant de réduire les impôts généraux des citoyens aux moyens
de redevances annuelles importantes.

En approuvant de sa signature cette entente de principe entre Amérindiens
et la fédération, le Québec acceptait d'être confondu avec les Amérindiens,
appelés Autochtones par Ottawa.

La fédération n'en avait pas besoin de plus que cela, Québec perd le titre
de province par transfert des droits fonciers et des territoires de la
majorité vers le groupe dont il détient la tutelle et qu’il appelle
Autochtones.

Tout le reste devenait du faire valoir sans avenir. Les négociateurs
Québécois peuvent rentrer chez eux, avis à Louis Bernard.

Les Québécois et les Amérindiens doivent accepter de s'unir ensemble pour
créer une nouvelle dynamique inclusive. Amérindiens, Québécois de toutes
origines, régions et grands centres doivent comprendre cela et se tenir
debout devant l'envahisseur afin de conserver nos territoires et actifs
communs.

Je vous invite à lire ce document sur http://saglacweb.com pour constater
qu'en aucun moment la tutelle n'a été remise en question, ni par les
Amérindiens, ni par Québec.

Pour Ottawa, l'affaire est dans le sac, tous les Québécois sont maintenant
sous sa tutelle, que vous viviez à Saguenay, dans la ville de Québec ou de
Montréal.
Les citoyens des grands centres vont se rendre compte du mauvais tour qu'on
leur a joué beaucoup plus tard, lorsqu’ils constaterons qu’ils ne reçoivent
plus de redevance de l’Hydro-Québec pour les aider à sauver des impôts et
que leur compte d’électricité tend à se rapprocher de celui payé ailleurs
au lieu d’être privilégié comme il l’avait toujours été. Réf.
http://www.ameriquebec.net/actualites/2008/09/24-montreal-le-traite-de-lapproche-commune-va-te-faire-mal-2.qc
Le texte de l'entente de principe fait en sorte que si Ottawa décidait de
transférer les territoires de la ville de Québec ou de Montréal vers les
Amérindiens, (Autochtones pour Ottawa) nous n'aurons pas le choix de
l'accepter, c'est inscrit dans le traité. Voici deux lignes majeures de ce
traité qui en disent beaucoup sur les intentions d'Ottawa.
"...Le Québec acceptera, de plus, de renoncer aux droits de la Couronne sur
ces terres ou, au besoin, de transférer ces droits aux Innus..."

"...Le traité sera permanent et ne pourra être dénoncé ni modifié
unilatéralement par l’une ou l’autre des parties..."
Mme Vallée vous avez tout intérêt à vous inquiéter. Ne vous réjouissez
pas, l'affaire est déjà réglé pour Ottawa.

Seule L’union des forces autochtones du Québec inclusives comprenant les
Amérindiens et tous les citoyens ayant pris racine au Québec pourra
maintenant nous sortir de là. Il nous faut un peuple réuni en un front
commun. Il faut mettre dehors les manipulateurs et déchirer ce torchon. Les
fédéraux ont fait miroiter aux Amérindiens « Autochtones pour Ottawa » un
avenir qui n’en est pas un.

Un gouvernement n’a pas le droit de donner l’esclave en héritage à ses
citoyens. Décidons tous ensemble de mettre à la porte ce pays frauduleux et
récupérons l'ensemble de nos richesses et territoires.

Les gens doivent comprendre cela et non se réjouir de l’arrêt des
négociations de ce traité. Il n’y a rien d’autre à négocier pour Ottawa.

Nous sommes victime d'un leurre. Nous dormons sur l'interrupteur...

Merci d'être là


***
Jean-Pierre Plourde,
http://saglacweb.blogspot.com
-- Envoi via le site Vigile.net (http://www.vigile.net/) --


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8 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    11 octobre 2010

    "Pour moi, la ligne sur le droit de gestion d’un peuple sur un territoire c’est la démocratie du nombre dans un esprit ouvert."(Jean-Pierre Plourde)
    Si 15 brutes envahissent votre maison, vous allez faire un vote ?
    "Les Québécois de toutes origines ont travaillés très fort pour développé le Québec et ils y sont majoritaires."(Jean-Pierre Plourde)
    Vous pouvez nous énumérer ces origines qui ont développé le Québec avant sa conquête anglaise, M. Plourde ?
    "Le Canada nous l’avons également en grande partie développé mais on nous a retiré toutes majorité qu’on a eu dans le passé."(Jean-Pierre Plourde)
    Par "Canada" vous voulez dire le ROC ? Non, désolé, mais nous ne l'avons pas développé plus que les anglais.
    "Les cultures font les races,..."(Jean-Pierre Plourde)
    Non, les gènes font les races. Un "noir" massaï d'Éthiopie n'a pas du tout la même culture qu'un "noir" du Bronx aux USA. Ils sont pourtant de la même race.
    "...ce n’est pas raciste de se reconnaitre dans un groupe et de vouloir sa survie."(Jean-Pierre Plourde)
    Exact, puisque le racisme est l'idéologie qui détermine la supériorité d'une race à une autre. Tenir à la survie de son groupe n'implique pas nécessairement cette idéologie.
    "Ce qui l’est par contre c’est de faire comme Ottawa, tenter de détruire la culture d’un partenaire afin de le piller de ses droits, ses biens en plus de chercher à briser sa majorité. Ça c’est du racisme."(Jean-Pierre Plourde)
    Partenaire ? Les 15 brutes qui envahissent votre maison sont des partenaires ? Quel est le trait distinctif chez ce "partenaire" qui vous fait dire qu'il n'est pas de votre race ?
    Je prône l’union de toutes les forces sur le territoire du Québec afin que tout les Québécois puisse conserver pour eux le profit des actifs qu’on a tous contribué à construire et qu’Ottawa attaque de toutes parts,...(Jean-Pierre Plourde)
    Mais, une de ces forces, et pas la moindre, est ce "partenaire" qui a envahis votre maison et qui vous pille. Ne cherchez-vous pas ici à lui soutirer la loyauté de ses "invités" ?
    "Merci d’être là."(Jean-Pierre Plourde)
    Je n'ai jamais eu l'intention de partir. Je suis chez moi et ai bien l'intention de le faire savoir.

  • Jean-Pierre Plourde Répondre

    11 octobre 2010

    Pour moi, la ligne sur le droit de gestion d'un peuple sur son territoire c'est la démocratie du nombre dans un esprit ouvert.
    Les Québécois de toutes origines ont travaillés très fort pour développé le Québec et ils y sont majoritaires.
    Le Canada nous l'avons également en grande partie développé mais on nous a retiré toutes majorité qu'on a eu dans le passé. C'est maintenant le tour du Québec, dernière chance de faire rayonner notre culture.
    Les cultures font les races, ce n'est pas raciste de se reconnaitre dans un groupe et de vouloir sa survie. Ce qui l'est par contre c'est de faire comme Ottawa, tenter de détruire la culture d'un partenaire afin de le piller de ses droits, ses biens en plus de chercher à briser sa majorité. Ça c'est du racisme.
    Je prône l'union de toutes les forces sur le territoire du Québec afin que tout les Québécois puisse conserver pour eux le profit des actifs qu'on a tous contribué à construire et qu'Ottawa attaque de toutes parts, Hydro, Caisse de dépôt, etc. On a tous intérêt à conserver nos bras de levier chez nous, on les a construit et ils travaillaient pour nous, ils contribuaient à réduire nos impôt, nos tarifs d'Hydro, la cote du Québec sur les marché internationaux, etc. Comme le pétrole de l'Alberta travaille d'abord pour les Albertains.
    Merci d'être là.

  • Jean-Pierre Plourde Répondre

    11 octobre 2010

    Pour moi, la ligne sur le droit de gestion d'un peuple sur un territoire c'est la démocratie du nombre dans un esprit ouvert.
    Les Québécois de toutes origines ont travaillés très fort pour développé le Québec et ils y sont majoritaires.
    Le Canada nous l'avons également en grande partie développé mais on nous a retiré toutes majorité qu'on a eu dans le passé. C'est maintenant le tour du Québec, dernière chance de faire rayonner notre culture.
    Les cultures font les races, ce n'est pas raciste de se reconnaitre dans un groupe et de vouloir sa survie. Ce qui l'est par contre c'est de faire comme Ottawa, tenter de détruire la culture d'un partenaire afin de le piller de ses droits, ses biens en plus de chercher à briser sa majorité. Ça c'est du racisme.
    Je prône l'union de toutes les forces sur le territoire du Québec afin que tout les Québécois puisse conserver pour eux le profit des actifs qu'on a tous contribué à construire et qu'Ottawa attaque de toutes parts, Hydro, Caisse de dépôt, etc. On a tous intérêt à conserver nos bras de levier chez nous, on les a construit et ils travaillaient pour nous, ils contribuaient à réduire nos impôt, nos tarifs d'Hydro, la cote du Québec sur les marché internationaux, etc. Comme le pétrole de l'Alberta travaille d'abord pour les Albertains.
    Merci d'être là.

  • Archives de Vigile Répondre

    11 octobre 2010

    M. Plourde met en garde les Amérindiens et Canadiens français d'oser se considérer comme des groupes ethniques, car celà, dit-il, serait comparable à l'idéologie du régime nazi :
    "Il faut penser que nous sommes tous des métis, nés de parents plus ou loin éloignés et tous communs.
    Lorsqu’un groupe se prend pour l’élu suprême, on entre dans les problèmes de racisme à la Hitler ou on nie l’existence de la différence."

    Puis ensuite il compare aussi le fédéral canadian au régime nazi par l'argument qu'il entretiendrait notre différence ethnique comme ces nazis entretenait celle des juifs :
    "De plus, ce pays entretien la haine et le racisme contre nous auprès des citoyens des autres provinces, technique déjà utilisée par Hitler contre les juifs."
    Autrement dit, le fédéral est nazi et nous sommes nazis. Mais le fédéral entretient notre différence comme si nous étions des juifs !
    Pourtant, M. Plourde, le régime nazi est mort et le peuple élu, ethnique juif a acquis son État indépendant exactement sur la base de ce principe de race !

  • Archives de Vigile Répondre

    11 octobre 2010

    Les Allemands, peuple élu ?
    Est elle bonne celle-là M. Plourde !
    Pourquoi ne demandez-vous pas aux juifs de se renier comme ethnie, comme peuple élu, comme vous le demandez aux Amérindiens et Canadiens français ?

  • Archives de Vigile Répondre

    11 octobre 2010

    M. Plourde,
    Tenez-nous au courant de la réaction des Innus qui réagiront certainement. Ils ne se laisseront pas déposséder de leurs droits ancestraux et aborigènes plus que légitimes. L'article 35 de la constitution canadienne est très clair à ce sujet.
    Ce changement, ce revirement du gouvernement fédéral est sans doute une tentative d'unitarisme canadian qui est le seul objectif de ce gouvernement. Plus de droits, pas plus que le dernier immigrant débarqué au Canada la semaine dernière.

  • Jean-Pierre Plourde Répondre

    10 octobre 2010

    Bonjour Marie-Mance
    Il faut penser que nous sommes tous des métis, nés de parents plus ou loin éloignés et tous communs.
    Lorsqu'un groupe se prend pour l'élu suprême, on entre dans les problèmes de racisme à la Hitler ou on nie l'existence de la différence.
    C'est la réaction du Canada à notre endroit.
    L'expropriation des citoyens d'une province, le dépouillement des citoyens de leurs actifs, et le retrait de cette majorité du droit de gestion de leur territoire en leur faisant perdre le titre de province égale aux 9 autres.
    Avec l'approche commune, Québec devient virtuelle, Nous devenons un observateur des évènements que nous devrons subir.
    Il nous restera le droit de payer des taxes mais très de droit sur leur gestion.
    La notion de démocratie "Pas de taxation sans représentation" ne s'appliquera plus pour nous. C'est d'ailleurs appliqué chez nous depuis très longtemps.
    Avec nos impôts, Ottawa peut se permettre de nous dire non pour un nouveau stade, poser une limite de temps pour le financement de travaux, investir des milliards dans des avions derniers cris et une armée qui ne parle déjà plus notre langue, etc. les exemples abondes.
    De plus, ce pays entretien la haine et le racisme contre nous auprès des citoyens des autres provinces, technique déjà utilisée par Hitler contre les juifs.
    Merci d'être là.
    Jean-Pierre Plourde,
    http://saglacweb.blogspot.com

  • Archives de Vigile Répondre

    10 octobre 2010

    Je pense toujours que nous avons tous été, les Inuits, les Indiens, les Métis, les Canadiens français et les Québécois de souche, victimes du conquérant et il poursuit son oeuvre de destruction. Chaque geste qu'il pose, et l'Approche en est un, est pensé, calculé et vise notre disparition. Au rythme où va l'immigration nous serons bientôt en minorité. Nous deviendrons un souvenir... un fait divers...
    « Quel beau pays nous aurions si ce n'était des nations déjà établis en ce pays », disait-on à l'époque de la grande immigration de fin XIXe et début XXe siècles.