Chronique de Nic Payne

Option nationale, état des lieux



Aujourd'hui, nos convictions, et les raisons qui ont mené à la fondation d'Option nationale, sont intactes et toujours aussi fortes.

Mythes, et concepts creux: les "fédéralistes"



Est-ce que le "fédéralisme" est l'expression la plus appropriée pour décrire la relation Québec-Canada? Bien sûr que non.

On jase, là



Le PQ irait peut-être chercher les appuis qui lui manquent pour être majoritaire, et Option nationale accélérerait peut-être son développement à titre de force de relève indépendantiste.

Parlez-vous le souverainiste ?



Plaider cette évidence, et refuser de m'emberlificoter dans un discours plein d'impasses, de doubles-sens et de sous-entendus, ne fait pas de moi un "pressé", ni un radical, ni un "pur-et-dur". Je dis seulement que depuis des années, les souverainistes ne parlent qu'aux souverainistes. Il est temps de briser cette mauvaise habitude. Nous avons quelque chose de grand et beau à proposer; ayons confiance en nous !

Le concept surestimé par excellence ces temps-ci : la "division du vote"



La politique et la démocratie ne se résument pas à l'exercice du pouvoir. Je préfère une opposition bruyante, vibrante, mobilisée, grandissante, en face d'un PLQ sous haute surveillance, plutôt qu'un mouvement souverainiste s'ensommeillant alors le PQ patauge indéfiniment dans les marécages de la gouvernance provinciale. Ce film-là, on le connaît déjà.

Potins souverainistes en 3D : Drainville, Duceppe et divertissement



M. Duceppe méprise ostensiblement les "pressés" tant honnis, comme un vrai bon péquiste. Mais on ne doute pas qu'il ait le coeur à la bonne place, ni ne doute-t-on de sa capacité à rallier de nombreux Québécois

Mythes et leçons de 2011

Théorie de l'électorat imbécile, et autres sauf-conduits


Elle est là, toute l'absurdité du souverainisme officiel, devenu un véritable moulin à confusion, qui distille des odeurs de peur et d'opportunisme à des kilomètres à la ronde.

Sommes-nous contre le PLQ, ou pour l'indépendance ?



Obnubilés par le besoin viscéral de " battre " l'abominable Charest, de nombreux souverainistes insistent lourdement sur les dangers de la fameuse " division " du vote anti-libéral. Il ne faudrait pas exprimer ses idées, et encore moins leur donner de nouveaux partis politiques, quand elles n'en ont pas, sous peine de " faire le jeu " de nos adversaires. Se restreindre à de telles considérations, c'est foca...

L'expérience bloquiste

L'une veut donc moins de PQ et plus de péquisme, et l'autre, plus de PQ et moins de péquisme.


l'expérience bloquiste s'est-elle révélée utile à l'objectif indépendantiste, ou ce parti a-t-il plutôt servi de paratonnerre, de rempart servant à rendre le Canada plus confortable, plus acceptable ?

Le souverainisme de gouvernance règne toujours

Le mouvement souverainiste croule aujourd'hui sous le poids de l'insignifiance


Au-delà des tiraillements au PQ et dans le mouvement souverainiste, le fait est qu'une importante partie de ce mouvement et de son élite demeure en parfait accord avec la philosophie qui constitue le socle de la " gouvernance souverainiste " actuellement proposée par le PQ, comme elle fut autrefois le fondement des politiques de conditions gagnantes, d'affirmation nationale et d'étapisme. Cette philosophie,...

Assumons-nous

Plutôt que d'attendre le jour de la marmotte péquiste


Dans ce contexte, il serait normal que les indépendantistes se dotent au plus vite d'un parti politique qui promeuve et défende adéquatement l'indépendance.

L'union n'est pas possible

Excusez-moi, mais, ce n'est pas d'union dont nous avons besoin, mais de vision, et puis, derrière cette vision, de mobilisation


L'union. L'union par-ci, l'union par-là, encore et toujours l'union. On nous parle beaucoup de ça ces temps-ci, de l'indispensable union des indépendantistes, qu'on appelle de tous ses voeux pour contrer la division dans laquelle nous serions en train de nous disperser presque sans raison. Bien que je comprenne l'intention sincère derrière ces appels, je pense qu'on prend le problème par le mauvais b...

Les indépendantistes, ces hurluberlus



Ce n'est pas le travail qui repousse plusieurs indépendantistes, mais bien plutôt la perspective d'une gouvernance provinciale dont nous avons déjà vu à quelle sorte d'enlisement elle peut mener.

PQ - ne perdons plus notre temps



Les péquistes peuvent-ils réparer ce gâchis ? Ce problème ne concerne qu'eux. Pourront-ils à l'avenir servir l'indépendance ? Vaste question. Chose certaine, aux dernières nouvelles, ils avaient besoin de temps. Laissons-leur en, mais ne perdons plus le nôtre.

Lettre à Mme Andrée Ferretti

Réjouissez-vous !

Ce n’est pas la verve de certains intervenants sur Vigile qui discrédite le PQ. Ce parti est parfaitement capable de faire ce travail lui-même.


Lettre à Mme Andrée Ferretti, dans la foulée de sa récente intervention sur Vigile. Madame, Pour le dire tout simplement : je ne comprends pas votre raisonnement. Tout en faisant une critique implacable du souverainisme péquiste, vous laissez entendre que ce parti demeure quand même un bon...

Un Québec indépendant - une idée prête à être aiguillée et menée à son plus noble aboutissement



À cette heure, les indépendantistes sont donc toujours plus ou moins laissés pour compte. La propension intrinsèque des Québécois à l'émancipation nationale, même si elle est parfois latente ou inconsciente, gît toujours là, plus forte que toutes les gauches, les droites et les centres qu'on nous propose, prête à être aiguillée et menée à son plus noble aboutissement.

L'heure du réveil ?



Le populaire fondateur du Bloc répète depuis des années que l'indépendance est improbable, pendant que le Parti Québécois se dote d'un programme parfaitement conforme à cette vision des choses, et propose désormais de " faire progresser " le Québec à l'intérieur du Canada. Allo ? Comment se pourrait-il que cela n'ait pas eu d'effet mesurable sur les appuis au Bloc ?

Et maintenant, qu'arrivera-t-il au PQ, et à l'indépendance ?



Imaginons tout de même une prochaine élection québécoise où le PQ, aussi uni soit-il, continuerait de vendre à temps partiel son souverainisme dilatoire et incohérent, face à une quelconque figure soudainement montante qui canaliserait une forte envie de changement. À la lumière de ce qui se passe en ce moment au fédéral, comment ne pas penser que cela pourrait constituer un épineux problème pour les péquistes ?

PQ : Les raisins de la peur

Les péquistes sapent leur propre message


Mais alors, comment en sommes-nous arrivés à ce que les militants péquistes, légendairement exigeants, acceptent cette réorientation qui constitue un record historique de bas niveau d'engagement ?

Frénésie de l'immersion anglaise

Pour un Québec mi-lingue !

Qu'ils soignent leurs complexes !


on ne fait pas toujours la distinction entre l'adhésion aux vertus du plurilinguisme, et le besoin irrépressible d'identification à une culture dont on croit mordicus qu'elle " ouvre sur le monde ", qu'elle rend riche et prospère, qu'elle branche directement sur le cosmos, sinon sur l'univers, et quoi encore.

Bref instant de compétence libérale...

Les vrais idéologues sont démasqués


Dire qu'ils se réclament de la lucidité, et que ce sont souvent les mêmes qui prêchent la démission indépendantiste...

Les Conservateurs et les "gauchistes du Plateau"



Nous sommes nombreux, aussi, à rêver du jour ou le Montreal Canadian serait concurrencé par des Nordiques De Québec moins outrageusement anti-Québécois.