Hydroélectricité - développement et exportation

La politique du "cas par cas", on connaît...

La bataille des cinq «piasses»



Gros débat existentiel cette semaine, au Québec. Hydro-Québec a soumis à la Régie de l'énergie une demande de hausse des tarifs d'électricité de 0,2%. Je précise, deux dixièmes d'un pour cent. C'est trois fois rien. Cinq dollars de plus par année pour une famille moyenne. Pas plus que la fluctuation de la valeur d'un plein d'essence d'une semaine à l'autre. Et pourtant, l'insignifiance de la hausse n'a pas ...

Hydro-Québec: des erreurs de prévision qui coûtent cher



Hydro a signé en 2006 un contrat d'une durée de 20 ans avec TransCanada Energy, soit jusqu'en 2026. La centrale au gaz naturel de Bécancour a produit de l'énergie pendant seulement 15 mois, avant qu'Hydro demande l'arrêt de sa production pour cause de surplus, dès 2007.

Électricité: verser les profits directement aux Québécois



Le potentiel énergétique du Québec est phénoménal, non seulement en termes de ressources naturelles, mais également en ...

Charest Vandal-ise notre État

Le groupe MCN21 demande la démission de Vandal

MCN21 exige le congédiement immédiat de Thierry Vandal et une enquête publique pour raisons économiques


MONTRÉAL, le 9 oct. /CNW Telbec/ - 5 ans après avoir gagné la bataille du Suroît où le gouvernement Charest avait contredit son propre programme en autorisant deux projets de centrales au gaz naturel, que pouvons-nous retenir de la gestion d'Hydro-Québec sous MM. André Caillé, Thierry Vandal et Jean Charest? 1. Payer pour ne pas produire à Bécancour MM. André Caillé et Thierry Vandal ont caché ...

Québec-États-Unis - Pour exporter plus d'électricité



En exportant notre électricité, nous enrichissons le Québec. Et nous le faisons en vendant une énergie propre, renouvelable et non dommageable pour l'environnement.

Nourrir les alumineries coûte 2,5 milliards par année



Hélène Baril - (Montréal) Nourrir les alumineries affamées d'électricité coûte 2,5 milliards de dollars par année à l'État québécois, ce qui revient à donner une subvention d'environ 250 000$ par année à chaque employé d'Alcan et d'Alcoa (AA), selon l'ancien patron de la Standard Life, Claude Garcia, qui publie aujourd'hui une étude en faveur de la privatisation d'Hydro-Québec. La som...

Affaires... durables - Gare au mirage de l'exportation



Au cours des deux dernières années, le prix moyen de l'électricité sur le marché de l'Ontario n'a pas dépassé 5,74 cents le kilowattheure, ce qui est inférieur au coût de l'électricité facturé à ses clients du Québec, qui est supérieur à 6 cents. C'est une preuve que les ventes d'électricité dans les marchés hors Québec ne sont pas aussi rentables qu'on veut nous le faire croire, estime Luc Boulanger, le port...

Rupert : il y a d'autres solutions

Jean-Michel Parrouffe


Le gouvernement du Québec vient de lancer officiellement les travaux de construction du mégaprojet Eastmain 1-A-Rupert. Cependant, un point crucial reste toujours en suspens et n'a pas été analysé correctement par les deux commissions, provinciale et fédérale, d'examen environnemental, celles-ci ayant simplement pris acte et apporté leur caution institutionnelle inconditionnelle aux affirmations d'Hydro-Québec Pro...

Rupert : pas très sérieux! - Quatre pages d'alternatives... sur 2650 pages!

Par Réal Reid


Dernièrement, le gouvernement québécois et Hydro-Québec lançaient les travaux pour le détournement de la rivière Rupert, projet qui doit donner 880 MW de puissance et 8,5 TWh d'énergie. On nous dit que cette énergie est nécessaire, mais doit-elle nécessairement provenir du détournement de la rivière Rupert. Lors de la présentation du projet aux médias, Jean Charest a dit que le gouvernement avait le devoir de présen...

Guerre de chiffres au sujet de la Rupert

La Fondation Rivières prétend que le coût de revient sera supérieur de 75 % à ce qu'a annoncé Hydro-Québec


L'émission des permis par Québec et Ottawa pour le projet de dérivation des eaux de la Rupert n'a pas mis fin au débat sur le sort de cette rivière vierge de nos régions nordiques. Après le mercure, c'est la question des coûts qui refait surface. Les coûts du projet de la Rupert auraient bondi de 75 %, passant de 4,4 ¢ le kWh, selon l'évaluation d'Hydro-Québec dans son étude d'impacts environnementaux, à 7...

Eastmain-1-A/Rupert, une manne pour la Baie-James

Les retombées économiques pour la région sont évaluées à 210 M $


Par Hugo Joncas Les travaux de construction des centrales Eastmain-1-A et La Sarcelle et de dérivation de la rivière Rupert sont lancés. Dans la Baie-James, le chantier de 5 milliards de dollars (G$) constitue une véritable manne pour les entrepreneurs et les travailleurs. Selon le premier ministre Jean Charest, le chantier fournira 4 000 emplois par an pendant les quatre années que durera la construction, de...

Globalement positif



Ce sont les craintes de manifestations qui ont incité le gouvernement Charest à lancer les travaux d'Eastmain-1A-Rupert-La Sarcelle à Montréal plutôt qu'à la baie James. Heureusement que le ridicule ne tue pas. Alors, bon ou mauvais ce projet qui sera le plus gros lancé par Hydro-Québec depuis longtemps ? Comme tous les grands chantiers, il suscite la controverse. Rien de plus normal. À notre avis, ce...

Le projet de la décennie



Bien sûr, la photo de famille aurait été plus pittoresque dans le froid du Grand Nord, en plein coeur du chantier de la centrale Eastmain-1-A. Ça faisait effectivement un peu bizarre d'assister au lancement de ce qu'on appelle le projet hydroélectrique de la décennie dans la chaleur et le confort du siège social montréalais d'Hydro-Québec. Le party a, certes, eu moins d'éclat. Peu importe qu'on croie ou n...

Un grand projet, une petitesse



Au cours de la cérémonie marquant hier le début des travaux du projet hydroélectrique de la rivière Rupert, les participants ont répété que celui-ci inaugurait une "nouvelle ère". S'agit-il d'enflure verbale comme on en entend souvent dans des occasions de ce genre? Non. Ce projet-ci est, vraiment, radicalement différent des autres entreprises qui ont fait la gloire mais aussi la mauvaise réputation dans certain...

Une énergie nécessaire



Comme il fallait s'y attendre, la pelletée de terre annonçant le début des travaux de dérivation partielle de la rivière Rupert dans le but d'en tirer 8,5 TWh (térawattheures, ou milliards de kilowattheures) d'électricité par année à l'horizon 2015 ne fait pas l'unanimité. Mais comme toutes les sociétés, le Québec n'a pas le choix: il doit opter pour la forme d'énergie la moins chère, qui est aussi la mieux adaptée à s...

Les Cris entre résistance et résignation



Le ton grave du grand chef des Cris Matthew Mukash tranchait hier avec l'enthousiasme et les félicitations des autres dignitaires. «J'ai des sentiments partagés, a-t-il déclaré. La Rupert est une des rivières les plus importantes et historiques pour les Cris et le Québec. C'est probablement un jour triste pour bien des gens.» «Notre peuple et la nature devront vivre avec les impacts de ce projet. Mais il apport...

La Rupert pour alimenter Toronto

Hydro-Québec confirme que les coûts de la dérivation de la rivière sont passés de quatre à cinq milliards en deux ans


La première pelletée de terre -- virtuelle, évidemment -- de la centrale Eastmain 1A et de la dérivation de la rivière Rupert n'avait pas encore été faite par le premier ministre Jean Charest, hier à Montréal, que le coût du projet avait grimpé d'un milliard, passant de quatre à cinq milliards de dollars, soit une augmentation de 25 % en deux ans. C'est ce qu'a confirmé hier le p.-d.g. d'Hydro-Québec, Thierry Va...

La Rupert ou rien



Après avoir tenu de longues audiences publiques et épluché des milliers de pages d'études, deux commissions d'évaluation environnementale, l'une provinciale, l'autre fédérale, viennent de donner leur feu vert au projet de dérivation de la rivière Rupert. Le projet d'Hydro-Québec, le plus important depuis ceux de la rivière La Grande, deux fois la production de Manic 5, vient ainsi de franchir une étape cruciale....