Pacte électoral - gauche et souverainiste

Le difficile changement de paradigme (la suite)

Une Nation face à son destin

Du cran Madame


Bref, Charest a mis en place une stratégie qui vise la dépossession systématique de nos actifs collectifs. Compte tenu que cet enjeu porte sur des centaines de milliards, on ne parle plus de corruption, mais clairement de trahison de l’intérêt national. (...) Madame Marois doit comprendre que, la politique est une dynamique qui naît de l’antagonisme, et ne désigne que l’intensité des unités en présence. Faute d’assumer les trois rapports de forces (antagonismes) que suppose la cause : politique, économique et médiatique, le PQ se condamne à l’insignifiance politique. Et consacre sa démission, alors même que la nation fait face à un défi existentiel encore plus sérieux qu’en 1760.

Québec existe encore

Pour un certain sens politique : ici et maintenant


Serions-nous donc ce qu’un minable ministre dit un jour de nous : des losers, toujours en retard d’une bataille ?

Le Parti québécois manque de substance



Le 27 mars 2011, Jacques Parizeau avait posé un tas de questions de fond sur les tenants et les aboutissants de la souveraineté. Les temps ont changé en effet et le Parti québécois doit être capable de répondre à des questions de grande politique moderne pour convaincre les Québécois qu'il a l'envergure d'un parti national et que la nation possède toujours des vertus incontournables dans un monde qui se mondial...

Lettre à Mme Marois

Il serait tout à votre honneur

Ce Parti a besoin d’un renouvellement majeur qui ne va pas dans le sens que vous lui avez donné de bonne foi en en devenant la chef.


Bonjour Mme Pauline Marois, Rien n’y fait, je n’arrive pas cet été à prendre congé des affaires politiques nationales du Québec. Un soudain tourbillon d’événements déracine, emporte et décime les deux partis souverainistes qui étaient vus comme inspiration et moteur de la marche de notre peuple vers son indépendance politique. J’ai beau tourner et retourner en tous sens ces événements, les faits me ramènent touj...

Au tour de Drainville de lancer sa consultation

Pour «sauver le PQ», il faut «changer le PQ», estime le député resté fidèle à Pauline Marois


Dans un message publié sur son site Internet (bernarddrainville.org) hier et intitulé «L'urgence d'agir: réfléchir au Québec qu'on veut», le député invite les citoyens à lui écrire. Certes, il entend se reposer pendant ses vacances en famille, note-t-il, mais il compte en «profiter aussi pour réfléchir à l'avenir du Parti québécois et à l'avenir du Québec».

Planer au-dessus de la rivière Hudson



Assumer sa responsabilité, de la part de Mme Marois, demanderait de répondre en partie aux nombreux et bons arguments de celui et celles qui ont laissé le Parti. Leurs questions demeurent parce que nous les entretenons tous en nous. Il y a un malaise.

Le PQ en mode panique



"Et si le principal problème passé et actuel, c’était surtout, depuis fort longtemps, une zizanie entre petits bourgeois ambitieux, et j’ajouterais en pesant bien mes mots, sans véritable envergure nationale." - Source

Lectures de vacances…

Si jamais on peut y arriver, il sera difficile de réparer le tort que le Parti québécois vient de s’infliger à lui-même.


Lectures de vacances… par Claude Morin Si jamais on peut y arriver, il sera difficile de réparer le tort que le Parti québécois vient de s’infliger à lui-même. On peut néanmoins profiter de la période de vacances qui s’en vient pour prendre du recul et essayer d’identifier quelles étranges influences ont agi sur le parti et en son sein. Ça pourrait se révéler utile. Car ce n’est pas la p...

Avenir du Parti québécois

Crise de leadership ou crise idéologique?



Pauline Marois doit vaincre, non seulement l'esprit défaitiste hérité de l'élection fédérale du 2 mai, mais aussi les peurs traditionnelles du Parti québécois. Il y a, d'une part, la peur chronique d'une autre défaite référendaire et, d'autre part, la peur du report illimité d'une éventuelle consultation populaire.

Parti québécois

Le grand saut en arrière

La réalité est qu'ils ont pris conscience que leur parti avançait désormais dans le vide.


La réalité est qu'ils ont pris conscience que leur parti avançait désormais dans le vide. Puisque le Parti québécois n'allait pas gagner la prochaine élection, aussi bien faire table rase et se consacrer à ce qui est pour eux l'essentiel, la souveraineté, soit en fondant un nouveau parti, soit en cherchant à refonder le Parti québécois sur de nouvelles bases et avec un nouveau chef.

"La fatigue du rêve"... dilué et trahi!

La fatigue du rêve

Lors de leur caucus qui devait prendre la mesure de la crise que vit actuellement le Parti québécois, l'ensemble des députés semblent s'être entendus pour s'enfermer dans un déni dangereux.


Somme toute, une crise d'eczéma de quelques ados boutonneux. Pauline Marois, plus sobre que son coloré collègue abitibien, a résumé la situation en concluant que tout rentrait dans l'ordre et qu'il fallait dorénavant «tourner la page». Voilà un commentaire peu perspicace qui évacue la réalité. Car plus qu'une page qu'il faut tourner ou un chapitre qu'il faut clore, c'est peut-être un tout nouveau livre qu'il faut écrire.

The perils of the PQ: people are starting to laugh

"Toward a parallel PQ?" teased the marquee headline on a Le Devoir front page this week


If people are slagging you, it's worrisome. If they're laughing at you, it's fatal.

Une dernière chance de survie pour le PQ

Ou le Parti Québécois s’assume pleinement et devient le fer de lance d’un nouveau mouvement anti-mondialisme de reconquête de l’économique par le politique, ou bien il disparaît.


L’indépendance, n’en déplaise à certains, constitue un projet révolutionnaire. C’était vrai en 1837, c’était vrai en 1976, et c’est encore vrai aujourd’hui. Les Patriotes se battaient contre le pouvoir colonial britannique, les indépendantistes des années soixante-dix luttaient contre l’oppression canadienne ; aujourd’hui, le combat a évolué et c’est contre le mondialisme, le libre-échange et l’affaiblissement du pouvoir des nations qu’il faut reprendre la lutte.

Imaginer le Québec de demain sans le PQ

laisser le pouvoir aux mains des Libéraux ou des Legault/ADQ, voici ce que cela signifierait


Hier, un militant péquiste m’a envoyé une missive angoissée. Y a-t-il un avenir pour son parti et pour son rêve souverainiste? Elle fut très lue et très commentée. Je lui ai promis, non “des” réponses, mais du ...

La volonté de changer

Il ne s’agit pas ici de jouer à jeu ouvert, mais simplement de ne pas prendre les citoyens pour des idiots.


Certains affirmeront que Pauline Marois peut faire ces changements. Mais, je ne la crois plus, les citoyens du Québec ne la croient plus. Elle a trop fait dans la politique du « mon père est plus fort que le tien ». Le ciment est pris. Pour de bon.

Le problème du PQ ce sont les péquistes

Les péquistes ne veulent pas comprendre que ce n’est pas leurs convictions politiques qui leur font perdre des votes mais bien leur absence de convictions politiques. Ils disent qu’il ne faut pas mettre la charrue devant les bœufs sans se demander où est la charrue.


Les péquistes sont plus nombreux qu’on pense. Ils sont au PQ ou gravitent autour. Ce sont des fédéralistes québécois en faveur de la souveraineté d’un Québec déjà souverain mais dépendant. On les reconnaît à leur façon de faire un pas en avant suivi de deux pas en arrière. Ce sont des gens qui se soucient de ce que les Canadiens pensent d’eux et qui se comportent de manière à ne pas leur donner matière à ronchonner....

«L’hémorragie est stoppée»

Le député de Bertrand songe à se rallier à Legault

Député péquiste de Bertrand depuis 1998, Claude Cousineau se prépare, avec deux ou trois collègues, à se joindre aux troupes de François Legault l'automne prochain.


Quel jugement!...

Serment d'allégeance à Marois

«L'hémorragie est stoppée. Chacune des personnes autour de la table s'est engagée formellement. On peut tourner la page», a déclaré la chef péquiste


Selon la chef péquiste, ce qui «choque beaucoup» les militants et la députation, c'est que les démissionnaires se sont fait élire sous la bannière du PQ et qu'ils siègent désormais comme indépendants.

Benoit Charette

Démission du caucus du Parti Québécois



--- En date de : Jeu, 23.6.11, Benoit Charette a écrit : De : Benoit Charette _ Objet : Démission du caucus du Parti Québécois _ À : ycsocio@yahoo.ca _ Date: jeudi 23 juin 2011 01 h 28

Le PQ est ingouvernable... par des chefs "approximatifs"

Vivement l'été pour Mme Marois



Le Parti québécois est-il en train d'exploser ? Que signifie tous ces départs, expulsions, remises en questions, virages ? Se dirige-t-on encore une fois vers un changement à la direction ? Lucien Bouchard et d'autres ont souvent dit que le PQ était tout simplement « ingouvernable ». Il est vrai que le PQ est un parti politique torturé depuis qu'il a perdu son référendum de 1980. Aussitôt qu'il a détourné so...

Ce Ducon, vénérable vénéneux, illustre bien ce qu'est devenu le PQ - des champions arrogants du déni.

François Gendron fait une sortie contre les démissionnaires



M. Gendron a affirmé que les démissionnaires ont choisi de «se regarder le nombril» et ont quitté le navire péquiste à cause d'un «petit mal de ventre».

Un cinquième député péquiste quitte le navire

Pauline Marois demande également à un 6e député de se retirer


Benoit Charette, qui siégera comme indépendant à l’Assemblée nationale, est le cinquième député péquiste à claquer la porte du caucus en deux s...

Pauline Marois doit démissionner comme chef du PQ

Québécois! Il est temps d'être libres et maîtres chez nous!

On constate aujourd’hui l’échec du leadership de Pauline Marois par le fait que l’électorat souverainiste est maintenant plus que jamais divisé, notamment entre le PQ, Québec Solidaire et le nouveau mouvement de François Legault.


Pendant que la Jovialiste Castafiore qui est actuellement chef du PQ tarde à comprendre qu’elle ne deviendra jamais premier ministre du Québec, des enregistrements de ses échanges téléphoniques stratégiques avec les présidents d’exécutifs de comté se retrouvent dans les journaux de « Mononc Paul » et ailleurs…("CIEL MES BIJOUX !") Comme si le PQ, sous sa brillante gouverne ("AH! JE RIS DE ME VOIR SI BELLE EN CE MI...

Le PQ miné de l'intérieur

La pétition pour la création d'un nouveau parti souverainiste a été lancée par des membres en règle d'exécutifs péquistes


Un des instig...

Marois has shown a willingness to act in bad faith



So when Pauline Marois surrounds herself with several Parti Québécois members of the National Assembly at her news conferences these days, the effect is not to make her leadership look secure, but rather threatened.

Élections automnales fatales

Vlan dans les dents !


À la place de John James Charest, je déclencherais des élections dès la rentrée. Je ne laisserais pas le temps au PQ de recoller les pots cassés, ni à François Legault de former son parti L’Ego. Bien sûr, QS obtiendrait un certain succès, grâce à son député vedette rêveur communautaire, mais pas de l’ampleur de celui qu’a connu ce dear Jack, car les fédéralistes votent fédéraliste et, pour eux, rien n’est plus fédérali...

Pauline Marois doit s’éclipser

Pour le bien de la cause indépendantiste et du Québec, Pauline Marois n’a plus le choix : elle doit s’éclipser et le plus tôt sera le mieux.


Les événements des derniers jours ont confirmé bien des propos que j’avais tenus en 2008, lors de l’arrivée de Pauline Marois à la tête du Parti Québécois. À l’époque, j’avais été le seul à m’opposer publiquement à l’idée que Pauline Marois devienne chef du principal parti du mouvement souverainiste. Après la catastrophe André Boisclair, les militants étaient prêts à accepter à peu près n’importe qui à la tête d...

Pratte, vantant la «gouvernance souverainiste», deviendrait-il un allié de Pauline? Pratte&Marois... même combat? Rien de tel que semer le doute; et Pratte y réussit bien cette fois!

PQ: la vraie crise



La meilleure chance des souverainistes, à court terme, c’est que survienne une crise majeure entre le Québec et le reste du pays. Alors pourrait se recréer la ferveur indépendantiste qu’on a vue après l’échec de l’Accord du lac Meech. C’est le fondement de la «gouvernance souverainiste» mise de l’avant par Mme Marois. Les fédéralistes, dont je suis, voient d’un très mauvais oeil cette stratégie d’affrontements systématiques. J’ai toutefois du mal à comprendre pourquoi certains militants péquistes s’y opposent.