Pacte électoral - gauche et souverainiste

Crise au Parti québécois

Embardées suicidaires



Continuer autrement - Une telle démarche n’a jamais été tentée. En phase avec les aspirations naturelles des Québécois, elle renouvellerait les termes du débat politique, éviterait les pièges d’autres approches, mettrait les adversaires sur la défensive et aiderait le Québec à sortir de l’impasse actuelle. Et on peut l’adapter aux circonstances, l’important demeurant de faire avancer le Québec.

Qu'en pensent les électeurs québécois?

Crise au Parti québécois

Danger: femme au pouvoir

Les parcours des femmes parvenues aux hautes cimes des responsabilités sont semés d'embûches, et leur ascension est sous haute surveillance


Une femme au pouvoir? Oui, pourquoi pas, enfin! Pauline Marois a tout ce qu'il faut de savoir-faire et d'expérience pour devenir la première femme première ministre du Québec, une victoire considérable et symbolique en Amérique du Nord.

Chronique du jeudi - René Boulanger

Les propositions Drainville : jouer à l’apprenti-sorcier



Je vais me résumer : tout ça ne mène nulle part. C’est du populisme style Alliance Party. Un leader digne de ce nom doit savoir identifier les problèmes historiques et structuraux qui traversent une société. Ce n’est pas le cas de Bernard Drainville.

À lire absolument

Non à la «gouvernance souverainiste» de Mme Marois!

De son discours ne passent que critiques et remontrances, attaques étriquées, sur un ton déplaisant et suffisant... si bien que les gens ne l'écoutent plus.


Les citoyens attendraient plutôt du PQ une alternative durable au fédéralisme canadien destructeur. Non, la gouvernance souverainiste n'est pas séduisante: c'est un vague néologisme mystificateur.

Les dérives du bipartisme



Monsieur Curzi, la proportionnelle constitue, en théorie, un mode de représentation plus équitable des minorités. Intéressante vue de l'esprit, marque d'un esprit sensibilisé à l'éthique de l'auto-gouvernement. MAIS, dans la réalité québécoise, c'est donner aux minorités anglo et allo (pratiquement unanimes) une représentation accrue aux dépens de la majorité (naturellement divisée), puisqu'au jeu des comtés, la pro...

Quand le PQ sera littéralement balayé de la carte électorale



Réponse à l'article Ils sont brisés Vous avez tout à fait raison, monsieur Savoie. La preuve que la population ne croit plus au Parti québécois et à Pauline Marois pour réaliser quoi que ce soit, c’est quand le PQ sera littéralement balayé de la carte électorale lors de la prochaine élection. Pour avoir un gouver...

Rentrée

L’annonce de la mort du PQ est-elle prématurée ?

L’élection tournera autour de deux ou trois enjeux-clés et autour d’un thème: le changement.


Dans sa lettre de démission de son poste de président du PQ de Montréal-Centre, l’ami Atim Leon écrit que “le PQ est en train de foncer dans un mur électoral historique”. On lit ailleurs qu’il pourrait ne se retrouver qu’avec 4 ou 5 députés lors des prochaines élections. Est-ce possible ? Oui, bien sûr....

Le PQ et l’avenir du Québec

Une perche à saisir

Dernière chance pour rétablir la confiance et l’espoir


Pour être légitimes, l’exaspération et l’impatience n’en sont pas moins mauvaises conseillères. Vaut mieux d’abord vérifier s’il n’y a pas moyen de sauver les meubles. Et je crois que la chose est possible, sans que personne ne perde la face.

PQ - rétablir la confiance



Avant ou après les élections ? Avec ou sans Marois ? PQ - rétablir la confiance En cette période d’ébullition dans le camp souverainiste, je propose une solution de compromis rassembleuse comportant deux volets simultanés : A.- Gouvernance souverainiste par l’aile parlementaire du PQ et B.- Application de la proposition Crémazie par un Regroupem...

Réplique à "Une perche à saisir"

Ils sont brisés

Le PQ n’a plus la capacité de saisir la perche


Le PQ n’a plus la capacité de saisir la perche. Les militants et sympathisants de ce parti se sont tricoté un programme confortable, la gouvernance souverainiste, qui les protège d’une autre bataille qu’ils n’ont plus l’énergie de mener. Après deux défaites, ils ont abdiqué, mais continuent, n...

Chronique du lundi - Carlo Mosti

Les planètes sont bien plus alignées que le PQ.



Écrit par Carlo Mosti - Récemment, Pauline Marois a déclaré : « Il doit y avoir un changement de stratégie. On ne peut plus se comparer aux référendums de 1995 ou 1980. En 1995, il y avait l'échec de l'accord du Lac-Meech, la naissance du Bloc québécois. Les planètes étaient alignées. On n'en est pas là. Il faut s'engager tranquillement à préparer un référendum, mais aussi pren...

Le programme sacré



Mme Marois a été on ne peut plus claire à l'issue du caucus de Saguenay. Peu importe les conclusions auxquelles pourraient arriver d'éventuels états généraux, il n'est pas question de renoncer à la «gouvernance souverainiste», qui se confond maintenant avec son leadership. On ne voit pas comment le dialogue avec les souverainistes hors PQ, de plus en plus nombreux, serait encore possible.

Résilience

Un compromis est possible


La situation actuelle au PQ est périlleuse, mais il faut profiter des difficultés pour devenir plus fort et grandir. C’est ce qu’on appelle la résilience, cette capacité à vivre, à réussir, à se développer en dépit de (ou même grâce à) l’adversité. En cette période d’ébullition dans le camp souverainiste, je propose une solution de compromis rassembleuse comportant deux volets simultanés : A.- Gouvernance souvera...

La sortie de secours

Mme Marois a feint l'indifférence, mais le président démissionnaire de Montréal-Centre, Atim Leon, a parfaitement raison: le PQ se dirige tout droit vers un «mur électoral historique».


Mme Marois a feint l'indifférence, mais le président démissionnaire de Montréal-Centre, Atim Leon, a parfaitement raison: le PQ se dirige tout droit vers un «mur électoral historique».

Crise au Parti québécois

La perte de conscience nationale

ce ne sont pas de «petites rénovations» démocratiques déjà proposées depuis plus de 40 ans qui viendront modifier cette réalité


Ne pouvant plus compter sur le sentiment de révolte, noyé dans l'ensemble multiculturel canadien et sans un conflit pour ranimer la flamme nationaliste, les Québécois perdent peut-être peu à peu cette conscience nationale qui permettait au mouvement souverainiste d'incarner les ambitions d'une société.

Parti québécois - Le mur

Rien n'est encore assuré pour Pauline Marois


Mais Pauline Marois n'en est pas la cause, comme celui-ci le pense. C'est collectivement que le Parti québécois fonce vers ce mur, autant sa direction que ses militants qui ne veulent pas voir que le mouvement souverainiste est l'objet d'un décrochage politique. L'élection fédérale du 2 mai nous l'a révélé brutalement. Après le Bloc québécois, c'est le Parti québécois qui est en train d'en être la victime. Le montre bien la chute vertigineuse de popularité de ce parti dans les sondages.

Marois n'est pas au bout de ses peines



La chef péquiste a confirmé hier qu'elle avait envoyé la veille deux émissaires — le député de Drummond Yves-François Blanchet et le président du PQ Raymond Archambaul...

À lire absolument

La mise sous tutelle

La crise qui perdure au PQ est la plus périlleuse de son histoire.


Au point où si rien ne réussit à stopper la saignée d'ici la prochaine élection, il devra envisager la possibilité de subir un sort comparable à celui du Bloc. Vivotant autour des 18% dans les sondages dès qu'on y ajoute le nom de François Legault, le Parti québécois est en chute libre. Même Jean Charest - sachant qu'on ne tire pas sur une ambulance - s'en prend dorénavant beaucoup plus à François Legault qu'au...

Les mantras de Pauline Marois



Pendant ce temps, pour la chef péquiste, son refus de discuter de l'essentiel ferait montre de «leadership» et de «détermination». Le problème étant que pour plusieurs, cela risque d'être plutôt vu comme de l'«entêtement» et la source de cette division croissante.

Pauline Marois maintient la «gouvernance souverainiste»



Mme Marois a également réitéré que ses députés pourront voter sans égard à la consigne du parti sur le projet de loi 204. Photo...

Démission

La lettre d'Atïm León

le PQ est en train de foncer dans un mur électoral historique


Au lieu de mettre à profit les années d’opposition pour rebâtir les alliances perdues ou estropiées, elles ont imaginé un tout autre agenda pour le PQ. Le voici dans son plus simple appareil : attendre que l’alternance naturelle entre les deux grands partis ramène le PQ au pouvoir. Le problème de cet agenda est qu’il n’en est pas un. Il n’a rien à dire sur rien et tout à gagner à ne rien trancher… avant le retour au pouvoir. De plus, il place les dirigeants du parti en position de faiblesse non seulement vis-à-vis de l’opinion publique, mais également à l’interne du parti.

L'erreur de M. Drainville

Ce n'est pas le système politique qui déçoit mais ceux qui s'y agitent.


Les propositions du député Bernard Drainville visant à réformer la démocratie québécoise ont suscité plusieurs commentaires, notamment sur les ambitions personnelles que cette démarche révélerait. On pourrait débattre longtemps des mérites et faiblesses de chacune de ces propositions. À nos yeux, l'essentiel est ailleurs: quoi qu'en pense M. Drainville, des changements institutionnels de ce genre ne diminueront p...

Le PQ a tué le PQ



Personne n'a tué le PQ. Le PQ s'est tué lui-même. Il a accumulé, au fil des années, tous les ingrédients pour le mener au suicide politique. À une mort certaine, inévitable, bien calculée. Lentement, progressivement, il a abandonné son âme. Qui plus est, il a même vendu son âme au plus offrant; il a vendu son idéal pour un plat de lentilles; il a tergiversé, reculé, démotivé, rejeté, démobilisé les troupes. Il a ...

Ah, tout ce qu'on peut faire dire à des "sondages en ligne" si facilement manipulables. Les médiasmensonges, vous connaissez?

Il faudra plus qu'un striptease



Pauline Marois est manifestement capable de garder son sens de l'humour, même dans les périodes difficiles. Il y a quelques jours, avouant qu'elle ne savait pas quoi faire pour «pogner», elle a ajouté: «Je ne peux pas faire des stripteases, je suis trop vieille.» Mais Mme Marois n'est pas trop vieille pour donner un coup de barre au parti qu'elle dirige. Parce que le problème, ce n'est pas Pauline Marois. C'est...

À lire absolument

Loin d'être un "initiateur"...

Drainville l'abdicateur



Drainville rêve en couleur : par ses affirmations, il démontre sans le savoir sa faiblesse, sa non-popularité, de même que celle de son parti. Le message qu'il propage n'est pas un message de renouveau, mais bien un message de désespoir.

Chronique du samedi - Bernard Desgagné

Le refus du débat au PQ



Depuis l’Afrique, j’observe l’inévitable désintégration du PQ. C’était écrit dans le ciel. Je partage en bonne partie les points de vue exprimés par mes camarades Bourgeois et Boulanger dans leurs chroniques des deux derniers jours, mais j’aimerais ajouter mon grain de sel. Il n’y a plus rien à attendre de Pauline Marois, de ses admirateurs béats et de son entourage de pauvres inconscients. Depuis quelques an...

À lire absolument

Quel avenir pour le PQ?



Si l'état de confusion au PQ fait couler tant d'encre, c'est sans doute qu'il reflète des fractures qui ne pourront pas être «réparées» avec des appels bien intentionnés à se «resserrer les coudes». Il y a peut-être derrière ces tumultes une profonde mutation, laquelle ferme et ouvre des portes en même temps.