Voici le repêchage du CH, le Club de hockey Canadien de Montréal, en fin de semaine :
22 ième rang Jarred Tinordi (US U18)
113 ième rang Mark MacMillan (Alberni Valley -BCHL)
117 ième rang Morgan Ellis (Cap-Breton - LHJMQ)
147 ième rang Brendan Gallagher (Vancouver- WHL)
207 ième rang John Westin (Suède)
Si les Nordiques revivent à Québec avec le double et plus de bons joueurs québécois francophones que ce qu'il y a chez le CH, les Québécois francophones vont avoir une excellente raison de prendre partie pour les Nordiques, club qui pourrait faire renaître la bonne époque des Richard, Béliveau, Geoffrion, Lafleur, Roy et autres qui a été remplacée par celle des Européens et Américains qui peuvent difficilement s'exprimer en français, en qui il est difficile de se reconnaître.
Les amateurs de hockey espèrent que Messieurs Péladeau, Angélil et compagnie vont finir par décrocher un club de la LNH qui devrait bien se tirer d'affaires dans la belle Ville de Québec…enfin.
Ce serait un plaisir de remplacer son fanion pour un bleu et blanc si le CH ne change pas son indifférence au sujet des joueurs francophones.
Auteur : Gilles Bousquet
Le CH a fait patate au repêchage
Aucun Québécois francophone
Est-ce qu'ils seraient tous poches ?
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5 commentaires
Jacques Bergeron Répondre
29 juin 2010Quand arrêterons-nous de nous diminuer?Nous sommes passés de «Canadiens», à «Canadiens-français» pour devenir des Québécois francophones sous la plume, ou le clavier, de plusieurs de nos compatriotes? Quant aux «choix» de l'équipe des «Canadiens de Montréal», on aurait dû s'en douter puisque cette équipe est dirigée par des «anglophones»,même Pierre Gauthier, ou le président Boivin,qui s'est permis de nommer l'équipe dont il préside la destinée, de «Canadian»,lorsqu'il s'adressait aux Anglophones, lors du concert donné par l'OSM, autre organisme anglophone présidé alors par un certain lucide/L. Bouchard, à l'occasion du «100ème» anniversaire de cette «ancienne grande et glorieuse équipe canadienne» qui nous a permis d'applaudir, les Maurice et Henri Richard, les Béliveau et autres Geoffrion, Provost,Saint-Laurent, Prévost,Goyette,Bouchard, père et fils, sans oublier Jacques Plante et plusieurs autres Canadiens-français. Mais ce temps est révolu puisque les hommes qui dirigent cette équipe ne sont que des valets sans la culture nationale
«Française» et «la fierté» d'exister,qualités qui leur seraient pourtant nécessaires.Savent-ils seulement ce que représentent les couleurs, «Bleu-Blanc-Rouge», de l'équipe qu'ils dirigent? Poser la question est déjà donner la réponse!Et si cette équipe se nommait les « Montreal Maroons» dans la tête de ces dignes serviteurs de celles et ceux qui habitent l'ouest de Montréal?
Archives de Vigile Répondre
27 juin 2010Aucune nation au monde n'endurerait une telle organisation raciste sur son territoire et surtout aucune nation au monde irait les applaudir donc les financer . Incroyable d'aimer être méprisé à ce point .
Archives de Vigile Répondre
27 juin 2010Mon commentaire comme le vôtre relève plus d’un gérant d’estrades que d’un connaisseur du domaine. Je crois que les critères qui influencent le repêchage des nouveaux joueurs (chacun est une PME en puissance) sont concoctés pour alimenter l'industrie de ce sport professionnel avec une formule qui s’apparente à celle des fast-food.
D’abord le profit, les émotions sont des bonis pour les amateurs. Cessons de rêvasser !
Jean-Louis Pérez-Martel Répondre
26 juin 2010À part les Canadiens français, qui sont les autres Québécois francophones qui jouent au hochey au Québec ?
Cessons de tourner en rond et appelons les gens ayant une entité nationale propre par leur vraie dénomination ethnique, ce qui nous permettra d'arriver plus tôt que tard à réaliser notre indépendance nationale.
JLP
Isabelle Poulin Répondre
26 juin 2010Merci Monsieur Bousquet de nous confirmer que le repêchage est de plus en plus embarassant !
Non, les Québécois francophone sont loin d'être poches!Demandez aux joueurs si des recruteurs les ont au moins regardé jouer !
Comme la plupart des billets sont vendus à l'avance, il nous reste à encourager les ligues locales et universitaires qui offrent un bien meilleurs spectacle.
À nous de nous tourner vers notre hockey et pas cher à part ça !