Julie Payette a fauché mortellement un piéton en 2011 au Maryland

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Ça la fout mal pour la représentante de la Reine (1)





La nouvelle gouverneure générale Julie Payette a fauché mortellement une femme de 55 ans au Maryland en juillet 2011. Après une enquête qui a duré huit mois, les policiers ont conclu à un accident et elle n’a pas été accusée, rapporte le Toronto Star, jeudi.


Selon le rapport de la police de St Mary’s que Le Journal a pu consulter, il aura fallu une enquête de 8 mois pour conclure qu’aucun acte criminel n’a été commis par Mme Payette.


Chronologie


Julie Payette conduisait vers son domicile après avoir passé le week-end à Orlando. Alors que la victime, Theresa Potts, se rendait à pied à une réunion des Alcooliques Anonymes.











La victime, Theresa Potts.




La victime, Theresa Potts.





Mme Potts a alors traversé une intersection passante de la municipalité de Leonardtown lorsqu’elle n’avait pas le droit de passage. C’est alors que la Volkswagen Touareg que conduisait Mme Payette l’a frappée de plein fouet à environ 60 km/h.


La victime a été projetée à une vingtaine de mètres. Elle a été par la suite transportée par hélicoptère à l’hôpital où son décès a été constaté.


La police a conclu que des problèmes de vision de Theresa Potts seraient la cause de l’accident. Au terme de l’enquête, la vitesse, l'alcool, la fatigue et l’utilisation d’un cellulaire ont été écartés. MmePayette n’a pas été transportée à l’hôpital selon le rapport de police.


L’accident est arrivé quelques mois avant l’affaire de violence conjugale qui ont menée à une accusation, par la suite été abandonnée.


Regrets


Dans les mois qui ont suivi le tragique événement, Julie Payette a contacté la famille de la défunte pour exprimer ses regrets. Elle leur a fait parvenir une carte expliquant que les dernières semaines ont été très difficiles depuis qu’elle a tué Mme Potts.


Elle leur a souhaité tout le courage nécessaire pour passer au travers de l’épreuve.


La sœur de la victime, Jo-Ann Potts, était très fâchée à l’époque. «Elle était ma confidente, ma meilleure amie, elle habitait chez moi. Mais lorsque j’ai compris que c’était un accident, je l’ai accepté.» Elle dit aujourd'hui n’avoir aucun remords à l’endroit de Mme Payette.




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