Sonnet d’espoir
Une rivière perfide coule au pays
La terre suinte, saturée de ce poison
Elle sue, elle pue les exhalaisons haïes
Son souffre schistique brunit l’horizon
Une coulée putride envahit nos villes
Entrainant un air irrespirable qui étouffe, qui écoeure
Pendant qu'une peste grossière s’évade de l’ile
Contamination de la langue qui pourrit les coeurs
Mais des âmes implacables veillent
Et le soleil sur la plaine malade apparait
Frappée de ses rayons, la liberté se réveille
Les crapules prennent peur, l’espoir renait
L’appel passé du Chevalier résonne alors
Et la rivière se glace au bruit de notre accord
L'Engagé
http://www.vigile.net/Jeunesse-leve-toi
Rappelez-vous De Lorimier
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2 commentaires
Marie-Hélène Morot-Sir Répondre
17 novembre 2010" La liberté se réveille .. " c'est beau .. merci de nous avoir fait partager ce sonnet rempli d'espoir !
Lise Pelletier Répondre
17 novembre 2010L'engagé, merci à vous
ces mots et maux de notre pays qui soulèvent la colère de ses habitants ne doit pas rester virtuelle, il nous est interdit de se rasseoir en pensant avoir fait notre devoir
Debout Québec Debout
si je savais comment organiser une manifestation
ce serait déjà un fait
elle aurait ce samedi 20 novembre 2011
Lise Pelletier