Un mal pour un bien
15 mars 2010
Remettre le SPQ Libre à sa place sera bénéfique au P.Q.
Les bénéfices l’emporteront très largement sur les quelques inconvénients que cette décision plus que nécessaire vaudront au P.Q.
Ce qu’une certaine gauche ne pardonne pas, c’est que le P.Q.s’affranchisse enfin d’un symbole : la souveraineté, non plus que l’indépendance, ne passe ni par elle, ni par les syndicats.
La gauche n’a pas encore compris que le P.Q., pour la première fois depuis très longtemps, le P.Q. a un chef.
Très plaisant à écrire : le P.Q. a un chef. Une vraie.
Si la gauche ne le comprend pas, Charest, lui, doit commencer à entrevoir une très sourde menace.
Bravo Mme Marois.