La nouvelle mais très conservatrice politique de coopération avec le Sud qui prend forme à Développement et Paix est inacceptable
Dans les circonstances, la démission spectaculaire de quatre députés incarnant chacun à leur manière la crédibilité du souverainisme officiel annonce une crise qui n’en est encore qu’à ses premiers instants.
CROP a sondé 860 internautes
Près des deux tiers des Québécois (62%) estiment que Mme Marois devrait quitter son poste «à la lumière des événements d'aujourd'hui» (la démission des députés Beaudoin, Curzi et Lapointe, lundi), mais 38% croient au contraire qu'elle devrait rester.
La crise des derniers jours est moins une condamnation de son leadership qu'un révélateur de l'impasse dans laquelle se retrouve le Parti québécois en ce qui a trait à sa raison d'être, l'indépendance.
Nouvelle génération, nouveaux leaders
Il croit que Mme Marois incarne une vieille façon de faire la politique, très partisane, qui déplaît à sa génération de Québécois.
Depuis hier matin, les libéraux de Jean Charest rient dans leur barbe. Ils devraient s'abstenir.
De petites concessions trompeuses - le retrait repoussé d'année en année. Quant aux objectifs poursuivis, la description par le Premier Béotien canadian n'a d'égale que l'explication donnée par les Grands Barons-Voleurs du "retrait" de 40 milliards de la CDPQ: "un grand mystère de la vie"! INDIGNONS-NOUS!!!