Jean Pelletier fait partie de la triste liste des grands collaborateurs de
l'ennemi. (...)
Parce qu'il s'agit plus d'ennemi que d'adversaire ici. Jean Pelletier,
ex-maire de Québec était tout sauf un démocrate malgré l'avalanche
d'hommages rendus par des centaines d'hypocrites. Pelletier a museler ses
opposants de façon cavalière à l'hôtel de ville. Il a bousculé le chef de
l'opposition monsieur Mainguy physiquement. Il s'est livré à de véritables
abus de pouvoir disgracieux envers des membres de l'opposition tels que
Réjean Lemoine et madame Fromm.Mais là n'est pas le pire. Pelletier n'avait
rien à foutre des lois électorales du Québec, de ses règles ainsi que de
son mode de financement.Il le déclarait lui même:''Dans la guerre, on ne se
demande pas si les munitions sont payées, on les tire!'' Il a aussi
déclaré: '' Quand on est en guerre, on vas-tu perdre le pays à cause d'une
virgule dans la loi?''
Pour Pelletier, la loi sur les consultations populaires, ce n'était pas
autre chose qu'une virgule. Quel mépris de l'Assemblée Nationale qui a
adopté cette loi, quelle mépris pour le peuple québécois!
Oui, il avait raison, nous sommes en guerre et quand allons nous cesser
notre naïveté et notre angélisme? Quand allons-nous commencer à nous
comporter comme de véritables patriotes au combat. Comprenons-nous bien, je
n'invite pas mes compatriotes à prendre les armes. Je les invite à une
résistance un peu plus musclée. Je les invite à plus de vigilence, à plus
de lucidité parce que les fédéralistes comme Pelletier nous ont montré de
quel bois eux se chauffaient.Jean Pelletier s'inscrit dans les basses
oeuvres de Jean Chrétien et de tous les autres qui durant la période du
référendum de 95, du love-in et du reste ont démontré leur immense mépris
de la démocratie québécoise.
Denis Julien
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4 commentaires
Robert Bertrand Répondre
19 janvier 2009En démocratie, il y a des lois qui permettent un bon fonctionnement de nos institutions et de nos activités.
ILS SONT EN GUERRE, nous disent-ils.
Alors, tous les coups sont permis : manifestations d'amour, on vote à 98% et 99% dans certaines boîtes de scrutin ou dans certaines circonscriptions.
LEURS VOTES sont unanimes CONTRE le développement du Québec et des Québécois.
EN GUERRE, on peut tout se permettre. Aucune loi ne doit les contraindre. Ils nous en font la démonstration.
Comment se protéger contre de tels abus ?
La carte d'identité doit exister pour voter.
Il faut déterminer qui sont ceux et celles qui ont le droit de voter.
S'ils sont en GUERRE... Sont-ils nos concitoyens ? Sont-ils nos amis ? Sont-ils ceux et celles en qui nous devons faire confiance avant tout ?
Qui étaient les collaborateurs de Jean Pelletier qui nous faisait la guerre ? Tous les députés et ministres LIBÉRAUX du temps n'étaient-ils pas en guerre également ?
Ne sont-ils pas venus saluer leur confrère guerrier pour le conduire à son dernier repos ?
Robert Bertrand
Jean-François-le-Québécois Répondre
16 janvier 2009Je me souviens bien de l'épisode où Jean Pelletier, en pleine séance de délibérations, à l'Hôtel de ville de Québec, a d'abord bousculé, pour ensuite l'empoigner, le chef de l'opposition Pierre Mainguy, lui disant «...et vous allez sortir!». C'était assez disgracieux à voir!
Le distingué Pelletier a présenté des excuses, le soir-même, disant que Pierre Mainguy était «un jeune homme au comportement exemplaire»...
Si on repense à l'aggression sauvage et gratuite de Jean Chrétien (autre charmant personnage) sur la personne de Bill Clennet, ou au coup de pied de Pierre Elliot Trudeau dans les bijoux de famille de Pierre Brassard (devant les caméras!), on peut se dire que ces chefs fédéralistes s'octroient parfois le droit de se livrer à de véritables voies de fait, sur la personne de quiconque n'est pas d'accord avec eux!
Disons que ça ne vole pas très haut...
Archives de Vigile Répondre
15 janvier 2009Coup bas de Pelletier sur son lit de mort : Paul Martin est un « bâtard ».
Monsieur Lavoie,
Je n'ai pas vu ce commentaire dans l'article de la Presse ou du soleil!!!! Est-il véridique? Si oui, où puis-je le trouver?
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/dossiers/jean-pelletier-1935-2009/200901/13/01-817327-le-referendum-de-1995-perdre-le-pays-pour-une-virgule-dans-la-loi.php
Laurent Desbois
Longueuil (Québec)
-------------
Pelletier's deathbed Parthian shot: Paul Martin ‘a bastard’
Traduction libre : Coup bas de Pelletier sur son lit de mort : Paul Martin est un « bâtard ».
Posted: January 13, 2009, 10:48 AM by Shane Dingman
National Post
http://network.nationalpost.com/np/blogs/posted/archive/2009/01/13/pelletier-s-deathbed-parthian-shot-paul-martin-a-bastard.aspx
"I have nothing but contempt for him. And you know that in the Robert dictionary, there's a word for a despicable man — a bastard. And, in my book, Paul Martin will always be a bastard," Mr. Pelletier told Quebec City newspaper Le Soleil in a series of interviews to be published after his death.
Mr. Pelletier, a former mayor of Quebec City who had been called Mr. Chretien's "silent executioner",
Archives de Vigile Répondre
15 janvier 2009Jean Pelletier et Chuck Guitté en guerre contre le Québec????
Jean Pelletier, le bras droit de Jean Chrétien lors du référendum de1995, affirmait récemment, lorsqu’on le questionnait sur le non respect par Ottawa du financement par rapport à la loi référendaire du Québec, que « Dans la guerre, on ne se demande pas si les munitions sont payées, on les tire. » et « Quand on est en guerre, on va-tu perdre le pays à cause d’une virgule dans la loi ? ».
La Presse, 14 janvier 2009, p. A16.
Chuck Guitté exprimait la même vérité et la perception d’Ottawa, lorsqu’il parlait des commandites à la commission Gomery : « Nous étions en guerre ! ». Ce dernier était l’exécutant d’Ottawa et il est présentement en prison pour ses (ces) gestes criminels.
Quitte à vous surprendre, Ottawa et les anglais ont toujours été en guerre contre la nation Québécoise !
Huit oppressions au Canada, dont certains sont reconnus comme génocides, en deux siècles d’histoire commune :
1. En 1970, lors de la crise( ?) d’octobre ;
2. En 1900-1920, lors de l’élimination des droits des francophones en Ontario, au Manitoba, au Nouveau-Brunswick, etc.…
3. Entre 1870 et 1930, l’exil de millions de Québécois aux États-Unis (13 millions en 1980) ;
4. En 1885, lors du massacre des Métis et la pendaison de Louis Riel ;
5. En 1837-38, lors des patriotes ;
6. En 1800, lors de l’occupation militaire ;
7. En 1759, suite à la prise de Québec ;
8. En 1755, lors de la déportation des Acadiens.
Laurent Desbois
Longueuil (Québec)
Voir « Les 10 pires moments de l’histoire du Québec »
http://www.youtube.com/watch ?v=G6j85oXCyqU
Voir vidéo en 2 parties de Canal D : « GRC Guerre indépendance Québec »
http://www.youtube.com/watch ?v=t9V309BPSU0
http://www.youtube.com/watch ?v=bFuOynzqYDM&feature=related