La commission

Le merdier des bouffons

PLQ - congrès d'octobre 2011

Jean Charest est un petit bouffon puant. Mais si puant que son odeur se propage pour s’imprégner à tous ceux qui le côtoient. C’est toute l’Assemblée Nationale qui est devenue puante, au point qu’après les libéraux, les péquistes eux-mêmes finissent par sentir mauvais. Dans ces conditions, il est facile à Legault de prétendre qu’il sent la rose.
La vérité, c’est que tout le Québec sent mauvais.
Le R.O.C. n’avait donc pas tort de dire que le Québec faisait sa politique autrement, et qu’il ne sentait pas bon.
La députation péquiste actuelle vaut toutes celles du passé. Je dirais même qu’elle les surpasse de loin, j’insiste, de très loin, parce jamais le P.Q. n’a eu à faire face à une situation aussi empoisonnée. Jamais, depuis très longtemps, le Québec ne fut autant intoxiqué, car jamais le malpropre ne fut mis autant sur le même pied que le propre, ici la propre.
Dans cette commission « sur mesure », elle-même à la mesure du bouffon, personne ne pourra s’empêcher de trouver qu’une odeur persiste. Car, ce dont il s’agissait pour notre société distincte, ce dont il s’agit encore, et ce dont il s’agira de toute façon, c’est de se laver, de laver quelque chose qui s’appelle l’honneur. Envoyer des pas bons en prison n’est rien, ils seront remplacés, mais ne pas les y envoyer, rien de moins que misérable. Car les libéraux Nous rendent misérables, alors que Nous ne le sommes pas. Nous n’avons pas à avoir honte de Nous, mais d’eux, qui ont été dressés contre Nous. Cela est devenu patent.

Le merdier dans lequel se trouve tout un peuple, c’est celui fabriqué par d’autres que Nous, ici même au Québec, depuis très longtemps, qui bloquent tout effort de nettoyage, aidés qu’ils sont par une armée de petits bouffons puants bien de chez nous. C’est de là que provient notre merdier : le P.L.Q. du West Island.



Laissez un commentaire



15 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    22 octobre 2011

    @ Roger Warren
    Ce que vous apportez relève de bien plus haut que la politique partisane. C’est une affaire d’État.
    De ce point de vue, vous pourrez multiplier les exemples afin de prouver votre point de vue qui relève de « tous pareils, tous des pourris ». Je ne partage ni votre méthode ni votre point de vue partisan à l’égard de ce sujet important. Il arrive que ce qui est bien de dire, c’est de le dire sans rien rajouter…
    Pour le reste, peut-être le P.Q. n’a-t-il pas les mains immaculées, mais les rouges ont les mains sales. Il y a une différence.

  • Marcel Haché Répondre

    22 octobre 2011

    @ François M.
    Je n'hésiterais pas à serrer la main de Jean Charest si je le rencontrais.Il est le premier ministre de tous les québécois.Vous avez raison.
    Mais lorsque le premier ministre de tous les québécois se comporte en simple chef de parti,mais au gouvernement,personne n'a à le respecter plus qu'il ne respecte lui-même l'électorat.Dans cette saga de la commission,il est clair pour moi maintenant que Jean Charest a méprisé l'électorat depuis 2 ans sans discontinuer. Moi,j'appelle ça un bouffon, parce qu'il se comporte en bouffon,tout premier ministre qu'il est.
    On ne peut pas passer son temps à reprocher au P.Q. de ne pas parler net,et s'empêcher de le faire à l'encontre d'un premier ministre bouffon.
    Nous n'avons aucune obligation sur Vigile à l'égard de la rectitude politique. Et c'est très bien ainsi !

  • Marcel Haché Répondre

    22 octobre 2011

    @ O
    Merci de le dire aussi bien : le pays peut naître,l'espoir renaître.
    Il y a une fenêtre d'ouverte...pour s'échapper.

  • Marcel Haché Répondre

    22 octobre 2011

    @ Patrick
    Pensez-y un instant : si le P.L.Q. était lui aussi discrédité pour une génération,si le West Island était isolé,la situation de la question nationale serait radicalement changée,elle qui n'a pas véritablement évolué depuis Duplessis.
    Il faut remarquer que les conservateurs ont largué le West Island au profit d'un rapprochement avec l'électorat ontarien. Me semble que...qu'il y a là une ouverture béante pour les indépendantistes

  • François Munyabagisha Répondre

    22 octobre 2011

    Pour servir l'intéret bien compris des Québécois, il conviendrait mieux de soigner le discours et le langage.
    On aime ou pas le premier ministre, il reste premier ministre.
    Toute personne qui ne partage pas notre compréhension ne sera pas un déchet.
    Il y a des problèmes, au Québec comme ailleurs. Il faut secouer les meninges, pour appréhender la nature et les causes des désordres. Depuis les premiers signaux de la crise financière aux USA, ca sentait la fumée. Sur ce site, nous l'avons relevé. Comment en sommes nous toujours à poser les problèmes? Le problème est posé. Que faut-il faire? D'abord retrouver en nous le sens de la dignité.

  • Marcel Haché Répondre

    22 octobre 2011

    Maintenant que Charest essaie de se donner une pose de chef d’État, en acceptant ce que l’électorat et les partis d’opposition réclamaient avec si grande constance, depuis si longtemps, il est clair maintenant qu’en plus d’être un bouffon, il se comporte en girouette. En quelque sorte, cela fait partie du rôle. Son mépris de l’électorat est maintenant démontré. Mais le mépris de l’électorat à son égard ne se démentira pas.
    À Mme Marois de lui faire payer très cher sa sortie du coin où elle l’avait peinturé.
    Next : l’autre bouffon de service, François Legault, le célèbre indépendantiste d’arrière scène, qui devint fédéraliste pour se projeter à l’avant scène ? Nous y voilà bientôt.
    Je fais un vœu : qu’elle opère selon la formule du jamais deux sans trois :
    1. Mario Dumont… out
    2. Jean Charest… out
    3. François Legault…
    Chapeau Pauline Marois.

  • Archives de Vigile Répondre

    21 octobre 2011

    La commission Gomery était tout à fait selon les paramètres demandés par Pauline Marois. Pourtant, cette commission n'a pas réussi à freiner grand chose. Gagliano est disparu. Jean Brault s'est fait taper dessus. Mais Jean Chrétien, il en est sorti blanchi. Les architectes de cette immense fraude n'ont pas été identifiés par la commission Gomery. Corrigez-moi si je me trompe.
    La commission Gomery n'a été qu'un gros cirque. Un gros spectacle qui n'aura réussi qu'à faire disparaître le PLC des intentions de vote. Je pense que la même chose se reproduirait au Québec, mais avec un problème bien différent: le financement des partis politiques.
    C'est un problème encré profondément dans nos pratiques politiques depuis bien avant ce gouvernement. Je me souviens de mon père, du temps de Robert Bourassa, qui s'était fait offrir une campagne électorale municipale clé en main.
    C'était d'une certaine façon toléré. Tout le monde savait. Les politiciens disaient qu'il fallait voter du bon bord. Les péquistes reçoivent le financement, les bénévoles, les locaux des syndicats. Le PLQ d'avantage du patronat. Tous les partis reçoivent du financement des firmes d'ingénieurs et autres compagnies de travaux publics. C'est comme ça, mais aujourd'hui ce n'est plus toléré.
    D'enrayer ça, c'est une tâche ingrate qu'aucun gouvernement ne souhaite assumer. Un mandat c'est 5 ans et on espère s'en sauver. Pour Jean Charest, ce n'est plus possible de s'en sauver. C'est à lui que revient cette tâche ingrate. On est rendu là, même si de toute évidence ça ne lui tente pas.
    Pour faire le ménage, l'opposition réclame une commission à la Gomery, mais est-ce qu'on peut reprocher à Jean Charest d'espérer faire le ménage autrement qu'en détruisant son parti ? Franchement, il est là depuis 10 ans. Évidemment qu'il sera d'avantage éclaboussé dans un cirque médiatique d'une commission d'enquête que le PQ qui est loin du pouvoir depuis une décennie.
    Mais à la fin, qui serait gagnant d'une telle commission ? Les Québécois ? Les vrais architectes du scandale des commandites sont sortis blanchis... Qui alors serait gagnant ? L'opposition et c'est tout. Pas étonnant d'entendre les péquiste parler de patente, de puanteur et d'insulter de toutes les façons.
    Faire le ménage sans tout démolir. C'est ce qui servirait le mieux les Québécois. La commission Gomery a fait mal aux intentions de vote du PLC pour au moins 15-20 ans. Est-ce que les Canadiens sont gagnants de ça ? Ça leur a donné Steven Harper comme premier ministre sans réelle alternative. Il peut être le plus mauvais des mauvais premier ministre, il est là et il y reste. Voilà tout l'héritage de la commission Gomery. Et Jean Chrétien vit sa retraite bien tranquille loin des tracas de la politique.
    Faire aussi mal au PLQ, voici le rêve de Pauline. Sans opposant, peut-être qu'elle aurait des chances d'accéder au pouvoir ? Avec des belles pancartes installées sur les poteaux par des "bénévoles" des syndicats...
    Mettons le feu à la cabane, foutons le bordel et rapprochons nous du pouvoir se dit Pauline. Casser le système ? Faire le ménage ? Arrêter les coupables ? Pauline s'en fou. Elle n'a qu'une idée : être première première ministre ? Et pour faire quoi ? La souveraineté ? Oui ? Non ? Ça dépend ? C'est quoi le mieux pour les sondages ?

  • Archives de Vigile Répondre

    21 octobre 2011

    Mr Cloutier,je vais vous expliquer une chose.Le P.QMarois comme vous aimez le répéter ne lève pas parce que les gens attendent Legault mais,mais quand les journalistes vont lui poser des questions et qu'on aura des réponses je crois que les gens vont changer d'idées et revenir au P.Q Marois.Soyez juste un peu patient ça s'en vient.

  • Archives de Vigile Répondre

    21 octobre 2011

    Les bouffons. ça vient du film de Pierre Falardeau.
    C'est le PLQ-West Island des anglos et allos qui a laissé Gérald Tremblay au pouvoir à Montréal malgré la corruption révélée par le contrat des compteurs d'eau (qui a été annulé).
    Quand j'entends Guy A. Lepage, le king du politiquement correct essayer, dans une question, de mettre sur le même pied le financement du Parti québécois (lui aussi touché par les prête-noms et les dons intéressés) et le financement du Parti libéral, pour paraître neutre, je m'indigne. Le Parti québécois dans l'opposition comme au pouvoir récolte autour de 4.5 millions de dollars. Le Parti libéral, lui, engrange 9 millions de dollars (officiellement admis...) quand il est au pouvoir, il doit bien y avoir une raison. La famille Desmarais et ses associés mettent 200,000 dollars minimum par année: c'était pour payer le salaire caché pendant 10 ans mais aujourd'hui officiellement admis de 75,000 dollars par année à Jean Charest. Combien reçoit-il en-dessous de la table, au noir, ce minable mercantile? Combien ont donné ceux qui ont eu des places en garderie selon le système libéral de Tony Tomassi. Et les firmes de génie conseil qui se servent du système de prête-noms. Et les entrepreneurs en construction. Vous avez vu le délicat Franco Fava et le rondelet Charles Rondeau à la commission Bastarache. Vous pensez que ces gens-là appelés des "collecteurs de fonds" sont ainsi nommés parce qu'ils organisent des cocktails et des brunchs du dimanche matin? Voir le rapport Duchesneau et les enveloppes brunes.
    Il vient un moment où ceux et celles qui essaient de se montrer neutres sont les complices de la malhonnêteté intellectuelle de Jean Charest et de Jean-Marc Fournier (qui est sans limite) qui se gargarise avec le rapport Moisan. Ce n'est pas parce que le Parti Québécois au pouvoir n'a pas été sans reproche que ça justifie le fait qu'avec sa pseudo commission d'enquête, Jean Charest veut protéger ses amis qui le financent et qui sont au coeur du système dénoncé dans le rapport Duchesneau. Ses amis ne seront pas obligés de témoigner et ceux qui témoigneront, qui ne sont pas ses amis, n'auront pas l'immunité.
    Il me semble que c'est clair. Au club des ex, Jean-Pierre Charbonneau a parlé "de complicité après le fait". L'animateur Simon Durivage a protesté montrant ainsi qu'on venait de quitter le terrain du politiquement correct puis Liza Frulla, la voluptueuse, essaya de noyer le poisson selon son habitude. Celle-là, cette fausse vertueuse, elle est partout pour essayer de noyer le poisson: ce doit être payant d'être partout à Radio-Canada. Elle est orpheline depuis qu'elle a perdu Michael Ignatieff. Pauvre elle qui essaie de défendre l'indéfendable.
    Une consolation: au moins 70% de la population est en colère. Et le Barreau du Québec rejette la commission. Voici l'article de Tommy Chouinard dans La Presse du 21 octobre 2011.

    (Québec) Coup dur pour le premier ministre Jean Charest. Le Barreau du Québec «ne peut soutenir la commission d'enquête dans sa forme actuelle».
    C'est la position adoptée par son comité exécutif au terme d'une réunion qui s'est tenue hier soir. «Nous ne pouvons avaliser totalement cette commission, puisque trop de questions demeurent en suspens. Le gouvernement a fait un pas important en acceptant de créer une commission d'enquête, il doit maintenant lui donner les moyens d'atteindre les résultats visés», explique le bâtonnier du Québec, Me Louis Masson, par voie de communiqué.
    Selon lui, la Commission d'enquête doit avoir les pouvoirs prévus à la Loi sur les commissions d'enquête. Le Barreau exprime de «vives inquiétudes» sur le fait que le décret adopté par le gouvernement indique que «cette commission ne puisse accorder d'immunités et qu'en conséquence, elle ne puisse contraindre à témoigner».
    «Pour que les témoins n'aient pas peur de s'y présenter et de dire la vérité, il faut être en mesure de les contraindre à témoigner et la Loi sur les commissions d'enquête donne ce pouvoir aux commissaires et prévoit, en contrepartie, que si un témoin avoue un crime, il ne peut être incriminé par ce témoignage. Il peut cependant l'être à l'aide d'une autre preuve indépendante, comme celle rassemblée par les forces policières, par exemple», souligne le bâtonnier.
    L'absence d'immunité, tant pour les commissaires que pour les témoins, «en plus de faire en sorte que les témoins seront réticents à participer à l'exercice, engendre un fort risque de poursuites inutiles».
    Le Barreau du Québec taille en pièces le principal argument du gouvernement. Il se dit en effet «en désaccord avec l'affirmation qu'une commission d'enquête avec le pouvoir d'obliger les gens à témoigner viendrait nécessairement contaminer les enquêtes policières».
    «Cette affirmation sème la confusion dans le public. Il n'y a aucun cas où une Commission d'enquête ait empêché les policiers de faire leur travail et de porter plainte par la suite», affirme le bâtonnier.
    Il conclut que «la confiance du public, déjà fortement ébranlée, n'est pas préservée par la forme de la commission».
    La position du Barreau plonge Jean Charest dans l'embarras alors que s'ouvre ce soir le congrès de son parti. Comme le révèle La Presse, des libéraux se préparent à déposer une proposition d'urgence pour donner «plus de mordant» à la commission d'enquête. Des présidents régionaux du PLQ ont exprimé des réserves semblables à celles du Barreau. (fin de la citation)
    Commentaire:
    Ou Jean Charest répond à la demande du Barreau ou il démissionne. Il va falloir nous impliquer. Soyons à l'écoute du RRQ à qui je conseille de faire preuve de jugement dans ses actions en se demandant, chaque fois, comment ce sera perçu par l'ensemble de la population dont un grand nombre ne sont pas politisés. L'action contre la visite du prince William a été bien menée.
    Robert Barberis-Gervais, 21 octobre 2011


  • Archives de Vigile Répondre

    21 octobre 2011

    « Non mais que c'est qu'ça sent donc... ?».
    Ne cherchez plus ce que ça sent : Ça sent la marde, et pas du caca de poule, de la grosse marde, de la shit de bull, de la marde à Charest, à Fournier, à Dutil et à Dupuis avant lui ; de la marde de conseil de ministres autour de la cuve, de la marde mafieuse, de la marde de voleur, de lâche... et même pire : de la fiente, mollasse, liquide et puante comme la peur.
    De la marde libérale.
    Et dire qu'on continue à se diviser en vue de la prochaine élection !
    André Vincent

  • Archives de Vigile Répondre

    21 octobre 2011

    Cette semaine,une motion a été présentée pour offrir des excuses à la population délogée par le fédéral et le provincial pour créer le Parc Forillon.
    Tous les partis se sont levés pour applaudir énergiquement les discours du PLQ et du PQ à cette occasion.
    Le dernier à prendre la parole,Monsieur Khadir a aussi fait les choses poliment et a ajouté que l'on devrait éviter les mêmes erreurs dans l'avenir...
    Il y a eu quelques rares applaudissements mais,tous les libéraux sont demeurés bien assis,immobiles, ainsi que Pauline qui n'a pas fait un geste et est restée bien assise comme la majorité de ses suiveux.
    Dommage que la caméra ne nous ait pas montré les auteurs des rares applaudissements entendus.
    Charest et Marois, même attitude stupide.

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    21 octobre 2011

    Le chien mauvais qu’on a forcé à reculer dans le coin va grogner, montrer les dents, hérisser ses poils, japper, et au besoin, charger. Un politicien dominé par des puissances occultes, qui se sent pris entre deux feux, ses bailleurs de fonds et les payeurs de taxes, agira de même.
    La récente publication du sociologue Éric Gagnon, « Éclats, figures de la colère » (Liber, août 2011) nous décrit des formes de colère. Citons celle de Sénèque :
    « … veux-tu la preuve qu’un homme sous l’emprise de la colère n’est pas sain d’esprit? Regarde-le. Les signes caractéristiques de la démence –l’air rogue et menaçant, les traits durcis, l’œil torve, les grandes enjambées, les mains qui n’arrêtent pas de remuer, le teint qui vire au rouge, les grands jets d’air sans cesse expulsés des poumons-, ce sont les mêmes qui nous signalent la colère : les yeux jettent feux et flammes, à gros bouillons le sang monte des profondeurs et peint en rouge vif la figure tout entière, les lèvres s’agitent en tous sens, les phrases s’arrêtent net sur des mots imprécis, le poing frappe encore et encore l’autre main, le sol reçoit des pieds un pluie de coups, le corps entier est sens dessus dessous, jouant la grande scène aux fureurs menaçantes, et l’on a le spectacle affreux, horrible à voir, d’un visage qui gonfle et se contorsionne! C’est à se demander si ce vice est plus détestable que laid ou le contraire! » p. 41-42.
    L’homme traqué qui nous a présenté ce spectacle en croyant se distancier des partis d’opposition qui le talonnent ne doit pas nous entraîner dans ses humeurs. Pour garder notre calme, pensons au père de la Charte de la langue française, le Dr Camille Laurin, stoïque, qui n’hésitait pas à affirmer d’un ton égal, l’œil mi-clos par sa fumée, devant le Canadian Club : « Il faut que le Québec devienne aussi français que l’Ontario est anglaise. ».
    Cet objectif doit rester le nôtre. Donc évincer les porte-paroles de l’anglicisation, au moment même où ils vacillent.
    Ça veut dire parler d’une seule voix.
    Les débris d’une droite aveuglée dans la bulle de Mario Dumont se roulaient à terre hier soir de constater des approches nouvelles entre émissaires PQ/QS… Un chef de parti déjà tombé d’une escabeau bancal ricanait d’entendre son invité ridiculiser QS et s’apitoyer du PQ qui s’y abaisserait…
    L’idéologie mondialiste qui perd la logique de la résistance nationale face à la pensée unique. Si le Parti Québécois rationalise enfin le risque de l’entêtement sectaire par rapport aux concessions nécessaires à l’émergence de la cause, et qu’il retrouve en Québec Solidaire la même sagesse, le pays peut naître.

  • Archives de Vigile Répondre

    21 octobre 2011

    Amen. La corruption est partie intégrale du régime Canadian, mais le Québec fait l'objet d'un déchaînement de cynisme sans précédent de la part de nos bons satrapes. À quand l'occupation de Québec?

  • Archives de Vigile Répondre

    21 octobre 2011

    [1] Pourquoi dans ces conditions de puanterie excessive, le PQMarois ne lève-t-il pas, alors que c'est le contraire qui devrait se produire et que c'est l'Opposition officielle qui devrait en profiter?
    [2]Pourquoi monsieur Haché?
    [3] N'est-il pas temps, dans ces circonstances, que Pauline Marois comprenne le message et tire sa révérence au lieu de s'accrocher comme elle le fait?
    Pierre Cloutier

  • Archives de Vigile Répondre

    21 octobre 2011

    Je suis entièrement d'accord avec vous.Je vais travailler
    avec vigeur jusqu'à la derniére sueur afin de sensibiliser
    toutes les Québécoises et les Québécois à cet état de faits.