« Je subodore la mauvaise foi parce que le recul d’une langue n’est pas une fatalité, c’est un choix politique »
La place du français au Canada
En début de campagne, les chefs des partis ont beaucoup parlé de l’état du français au Québec, mais très peu de sa situation au Canada. Le sujet aurait mérité plus d’attention, car, là aussi, le français va mal. Très mal.